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Italie: les mains sales du parti de Matteo Renzi
information fournie par Le Point 05/05/2016 à 16:47

Rude semaine pour le Parti démocrate (PD) italien. Depuis le 27 avril, Stefano Graziano, président du PD de la Campanie, fait l'objet d'une enquête pour « association externe » avec les Casalesi, le clan mafieux immortalisé par Roberto Saviano dans son ouvrage Gomorra . Vendredi dernier, Antonio Bonafede, conseiller communal PD de Syracuse, s'est retrouvé derrière les barreaux après la découverte par les carabiniers de 20 kilos de haschich dans ses bagages. Enfin, mardi, c'est le maire PD de Lodi, Simone Uggetti, qui a pris le chemin de la prison pour une affaire d'appel d'offres public truqué. Les derniers épisodes d'un bulletin de guerre qui s'allonge depuis des mois. Car de « Mafia capitale », qui a révélé l'ampleur de la corruption à Rome, jusqu'au récent scandale des puits de pétrole en Basilicate, on ne compte plus les inculpations, dans la plupart des cas pour corruption, de responsables du Parti démocrate.

Autant d'affaires qui embarrassent Matteo Renzi. En effet, le président du Conseil italien est également secrétaire général du PD. Sa responsabilité est donc engagée, même lorsque les dossiers ne concernent que des élus locaux. Cela ne pouvait pas tomber plus mal. On votera au printemps pour renouveler les maires de Rome, Milan, Naples et Turin. Et en octobre, les Italiens retourneront aux urnes pour un référendum sur les réformes constitutionnelles que Renzi aurait voulu transformer en un plébiscite sur sa...

1 commentaire

  • 05 mai 18:56

    Comme la France ou la Grèce, mais ça ne plait pas à la censure socialo !!!!!!


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