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Grogne des agriculteurs : après le discours de Gabriel Attal, la FNSEA "attend des annonces claires" d'Emmanuel Macron au Salon de l'agriculture
information fournie par Boursorama avec Media Services 21/02/2024 à 14:12

Gabriel Attal à Paris le 21 février 2024. ( POOL / TERESA SUAREZ )

Gabriel Attal à Paris le 21 février 2024. ( POOL / TERESA SUAREZ )

Durant son discours ce mercredi 21 février, le Premier ministre Gabriel Attal "a clairement fixé un cap, mais il faut que cela se traduise", a estimé la FNSEA.

Après les annonces du Premier ministre Gabriel Attal ce mercredi 21 février, la FNSEA dit attendre toujours "un calendrier clair" du gouvernement. Le syndicat agricole majoritaire a néanmoins salué "des avancées certaines" et "la reconnaissance" de l'importance de l'agriculture depuis le début de la crise. "Il y a eu des avancées certaines, mais on attend toujours un calendrier clair, sur le plan élevage par exemple", a déclaré à l'AFP Yohann Barbe, porte-parole de la Fédération nationale des syndicats d'exploitants agricoles (FNSEA).

Le Premier ministre a placé l'agriculture "au rang des intérêts fondamentaux" de la France au même titre que sa sécurité ou sa défense, réaffirmant que "l'objectif de souveraineté agricole et alimentaire" serait inscrit "noir sur blanc" dans le futur projet de loi d'orientation agricole. "Il a clairement fixé un cap, mais il faut que cela se traduise (...) Le projet de loi d'orientation ne cesse d'être modifié, on ne sait pas trop où on en est. On veut des orientations claires : comment va se traduire la souveraineté dans les installations, les transmissions de fermes?", a déclaré Yohann Barbe. "On attend des annonces claires du président de la République (Emmanuel Macron) au Salon de l'agriculture", a-t-il ajouté.

Sur les contraintes européennes, "on sent une volonté mais les échéances sont trop lointaines", notamment sur les obligations concernant les prairies, a-t-il ajouté, attendant de la France qu'elle soit plus active et plus ferme dans ses échanges avec Bruxelles.

2 commentaires

  • 21 février 15:54

    La mondialisation a enrichi les mastodontes économiques et ruine les petites entreprises agricole , industrielles et commerciales . Pour équilibrer la situation il faut des taux d’impositions très différents ou même exemptés sur les charges sociales ,taxes foncières taxes de succession etc la justice doit être l’équilibre


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