Écosse : une histoire de kilt et de kif
À Hampden Park, un mardi soir qui ressemblait d’abord à un mardi comme un autre, l’Écosse a renversé le Danemark (4-2), décrochant sa première qualification pour une Coupe du monde depuis 1998. Un match-stress, un match-folie, un match-joie, de ceux qui bousculent une nation entière et rappellent pourquoi on s’entête à aimer ce sport.
Il y a des soirées où le football ne se contente pas de raconter une histoire : il la fait ressentir. Ce mardi, chacun des 52 000 supporters du stade de Hampden Park avait l’impression d’être venu avec sa propre part de malchance accumulée depuis 28 ans. Comme si l’air écossais transportait encore les fantômes des campagnes manquées, des « presque » qui font soupirer tout un pays.
Et puis, parfois, un match vous regarde droit dans les yeux et vous dit : « Ce soir, tout peut basculer ». Le stade de Glasgow vibrait comme un vieux pub un soir de concert improvisé : pas parfaitement accordé, mais totalement vivant. Un peu comme le Parc des Princes en mai 2025, quand le PSG a enfin soulevé sa première Ligue des champions après des années de rendez-vous manqués – ce moment où une attente si longue finit par devenir une émotion brute, presque disproportionnée. L’Écosse était exactement là : sur le fil entre la foi et le miracle.…
Par Cyprien du Brusle pour SOFOOT.com
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