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Amandine Henry, une légende qui laisse sur sa fin
information fournie par So Foot 14/10/2024 à 17:05

Amandine Henry, une légende qui laisse sur sa fin

Amandine Henry, une légende qui laisse sur sa fin

Retraitée internationale à 35 ans, Amandine Henry restera malgré elle l’un des symboles du gâchis de l’équipe de France féminine ces dernières années. Malgré les déceptions, c’est tout de même l’une des meilleures Bleues de l’histoire à son poste qui tourne la page.

« C’est avec une immense émotion que je vous annonce aujourd’hui ma décision de mettre un terme à ma carrière en équipe de France. Après tant d’années de passion, de défis et de souvenirs inoubliables, il est temps pour moi de tourner la page ! » L’annonce est tombée ce dimanche sur ses réseaux sociaux : Amandine Henry ne portera plus le maillot de l’équipe de France. Quinze ans après ses débuts sous les ordres de Bruno Bini, celle qui incarnait alors un grand espoir du football féminin tricolore du haut de ses 19 piges a décidé quinze ans plus tard de mettre fin à un parcours sinueux avec l’équipe de France. « Bien que je me retire des compétitions internationales, ma passion pour le football reste intacte , assure celle qui poursuit sa carrière au Mexique, sous les couleurs du Deportivo Toluca. Je continuerai à soutenir notre équipe de France et à encourager la prochaine génération de talents pour que nous puissions enfin soulever nos premiers trophées. »

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Comme un symbole

Un premier sacre que la Nordiste avait tout pour offrir à la France, elle qui ne sera jamais vraiment parvenue à tenir son niveau avec la tunique frappée du coq. Sept fois championne d’Europe au fil de ses deux passages à Lyon, elle restera l’une des meilleures joueuses de la décennie à son poste. Sans jamais réellement parvenir à retranscrire cette domination en sélection, au-delà de quelques éclairs de génie. Déjà mise à l’écart par ce même Bruno Bini lors du Mondial 2011 et des Jeux olympiques 2012, les plus gros regrets concernent forcément les années suivantes. La Coupe du monde 2019 aurait dû être le tournoi de la consécration pour l’ensemble du football féminin hexagonal, et en particulier pour celle qui s’est imposée comme capitaine et maître à jouer de l’équipe. Il n’en fut rien. Malgré un but magnifique en ouverture contre la Corée du Sud d’une frappe dont elle seule a le secret et – surtout – celui de la qualification face au Brésil en huitièmes lors de la prolongation, l’élimination en quarts face aux Américaines aura laissé des traces.…

Par Tom Binet pour SOFOOT.com

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