
es gains retirés des sicav et fonds monétaires sont imposés au prélèvement forfaitaire unique (PFU) de 30%.(© Shutterstock)
Les gains sont imposés au prélèvement forfaitaire unique de 30%, sauf option pour le barème de l’impôt sur le revenu, mais il est toujours possible d’ouvrir un PEA.
À la différence des livrets réglementés (Livret A, LDDS, LEP), les gains retirés des sicav et fonds monétaires sont imposés au prélèvement forfaitaire unique (PFU) de 30%.
Ce PFU se décompose en un taux forfaitaire d’impôt sur le revenu de 12,8%, auquel s’ajoutent les prélèvements sociaux au taux global de 17,2%. L’application du barème progressif de l’impôt sur le revenu reste néanmoins possible pour les contribuables les plus modestes.
Dans ce cadre, les gains s’ajoutent à vos revenus ou à vos pensions et sont donc imposés au taux marginal, celui de la plus haute tranche. À cet impôt, il convient d’ajouter les prélèvements sociaux au taux global de 17,2%.
Si vos revenus ne sont pas imposables, les plus-values ne sont donc soumises qu’aux prélèvements sociaux de 17,2%, ce qui est évidemment plus attractif que le taux de 30% du PFU.
Ne pas oublier le PEANéanmoins, le plan d’épargne en actions (PEA) est l’enveloppe la plus adaptée, car il est possible d’acquérir dans ce cadre des parts de fonds monétaires disposant de ce label. C’est un paradoxe au regard des conditions d’éligibilité du PEA, mais parfaitement licite.
Pour rappel, sur ce compte-titres, un particulier peut déposer des espèces jusqu’à 150.000 euros (et 75.000 euros sur le PEA-PME). Atout de taille : les gains réalisés à l’intérieur du plan ne sont pas taxés. Seuls
Lire la suite sur LeRevenu.com
1 commentaire
Vous devez être membre pour ajouter un commentaire.
Vous êtes déjà membre ? Connectez-vous
Pas encore membre ? Devenez membre gratuitement
Signaler le commentaire
Fermer