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Retour au sujet PARROT

PARROT : demande d'expertise

16 mars 2017 11:37

Il y a une trentaine d’année (oui, je suis vieux), on me présenta, en avant première, un Amiga absolument époustouflant. Il enfonçait complètement le Macintosh alors en vente. Je ne crois pas que cet Amiga fut jamais mis en vente.
Le Mac bénéficiait alors d’un dispositif triangulaire, qui l’arrimait alors solidement à un métier, certes marginal, mais suffisant pour voir venir, à savoir le monde de la publication assistée par ordinateur. La triangulaire était constituée du Mac, de l’imprimante laser et du logiciel Quark Xpress. Mais voilà, pourquoi le Mac put alors se maintenir dans cet espace ?…parce que les ressources QuickDraw étaient disponibles dans ses entrailles. De même, l’IPhone…sans Interface Builder n’est qu’une hypothèse. L’invisible, l’abscon auquel le petit porteur ne comprend que couic.. fait la différence.
Je suis désormais très éloigné du codage…mais je sens bien qu’une bonne connaissance du SDK de Parrot peut me convaincre ou m’inquiéter, plus que les chiffres de vente. Une imprimante 3D, en sus du matériel disponible, ferait-elle la différence ?

Les connaissances, les appréciations négatives et positives, et le jugement de Droniste sur le sujet sont ici vivement demandées ;-)

13 réponses

  • 16 mars 2017 13:13

    Si on parle du même Amiga (de Commodore), il a été mis en avant pour créer de la musique et faire du jeu. C'est peut-être la stratégie marketing du Mac qui a fait la différence : "follow the money".

    Sinon, excellente machine en effet. J'ai passé de longues heures à m'amuser avec cet ordi.


  • 16 mars 2017 13:35

    le marketing a ses limites. On peut sortir des colombes et des lapins d’un chapeau haut-de-forme, mais d’un béret, c’est plus difficile. S’il est vrai, pour paraphraser Clémenceau, que l’innovation est un sujet trop important pour la confier à des ingénieurs, il n’en reste pas moins vrai que l’ingénieur est une pièce essentielle du dispositif.
    C’est pourquoi je réitère mon humble demande à Droniste -;)


  • 16 mars 2017 15:23

    ca fait plaisir que des anciens sur parrot ,dont je fais partie


  • 16 mars 2017 20:09

    Mdr !


  • 16 mars 2017 21:41

    Que dire à ce sujet!?
    Comme d'habitude avec Parrot, j'ai du mal à trancher: génial ou pas?

    Le SDK sorti avec le Bebop 1 n'était pas bien documenté, pas compréhensible... Puis au fil du temps Parrot a bien amélioré les outils proposés aux développeurs. Ils ont tellement bien fait les choses que cela à permis à des tiers de développer des appli plus complète que l'officiel FreeFlightPro et moins cher que les achats in-app qu'a fini par proposer Parrot.

    Parrot en 2014, a beaucoup abusé des termes Open Source dans sa com. Alors bien sur, si le firmware est propriétaire, l'OS qui le fait tourner est ouvert et je dois avouer que dans les drones grand publique, ceux de Parrot doivent être champion en terme d'ouverture pour la bidouille. Si avec le Bebop ça reste limité avec le Disco, y a un potentiel énorme.

    Alors je me réjouis de la présence d'un vrai SDK ainsi que de la base Linux qui permettent à la communauté de renforcer l'intéret du Bebop. Mais comment expliqué que des mecs seul dans le garage en quelque semaines est proposé: de l'écran partagé pour le FPV, du follow Me, du planificateur de vol avant Parrot qui a une armée de dev (volonté commercial d'égrainer les fonctions au fil du temps? Je penses notamment au follow me qui fonctionne uniquement sur le Bebop 2.. Alors que le matériel embarqué (SOC ARM / mémoire) sont identique sur le Bebop 1 qui n'a pas le droit à la fonction...

    Parmis les fonctions que les dev tiers proposent grâce au SDK et qui n'existe pas chez Parrot, il y a le head tracking notamment.

    Quand à l'impression 3D, elle fait fureur au sein de la communauté Parrot mais là aussi pour palier à des défauts de conceptions ou proposer des accessoires que Parrot aurait très bien pu mettre au catalogue.
    Vous avez sans doute vue que DJI propose depuis peu des carters de protections d'hélice pour son Mavic Pro... Chez Parrot ce sont les clients qui impriment leur propre carter de protection.. Tout comme une protection de la lentille beaucoup trop exposé sur le nez et qui a le mauvais gout d'etre serti sur la caméra (piècee détachée à 150€).
    En impression 3D, les propriétaires de Bebop se confectionnent des pieds pour ré-hausser le drone qui tellement court sur pattes qu'il fait souvent tondeuse quand il décolle sur une pelouse. On voit même passer des support de fixation pour action cam.

    Parrot à promis de nouveaux usages pour les Bebop et Disco en 2017.
    Pour le Disco, le potentiel évolutif est énorme.
    Aujourd'hui par exemple, les utilisateurs fixent de manière hasardeuse des cam filmant à 360° sur le dos de l'aile volante pour faire des vidéo à regarder en VR.
    Même si vous n'avez pas de casque de réalité virtuelle, je vous invite à tester en jouant avec la souri, vous verrez à quel point c'est immersif (cherchez sur youtube: parrot disco 360 vr test flight)
    Parrot pourrait très bien proposer un modèle de capot pour le Disco avec un vrai système de fixation pour cam. Je dirais même qu'il pourrait utiliser les sorti servo moteurs du chuck qui sont libre pour contrôler une nacelle stabilisé ou monter une action cam.
    Et pourquoi pas une caméra officiel Parrot filmant à 360° qui se raccorderait au chuck et la cam d'origine ne servirait plus que pour le FPV.
    Le bebop ne peut pas embarqué beaucoup de poid supplémentaire et n'a pas de connectique libre, le Disco c'est tout le contraire...

    Bref Parrot n'a qu'a piocher dans les idées de ses clients et sortir des accessoires officiel renouvelant l’intérêt des non bidouilleurs... Car il ne faut pas se leurrer les éléments third party que ce soit hardware ou software seul une toute petite partie des clients s'y intéressent.


  • 17 mars 2017 09:49

    Merci Droniste. Toutes les défaillances que tu notes semblent révéler un gros potentiel, notamment du Disco. C’est l’essentiel. Le drone n’est pas seulement un support de regard, mais une mémoire intact du regardé et de ce qui aurait pu l’être mais ne le fut pas, sauf pour la caméra; cela, ensuite, immédiatement mobilisable, en toute intégrité, pour l’analyse. Galilée avait validé le principe de l’homme augmenté, avec son télescope. Ce qui s’avéra fécond. Cà continue, donc.

    Ce serait bien que tu travailles pour Parrot…en contre-partie, il te faudrait évidemment accepter d’être enduit, au moins une fois par trimestre, un jour choisi, de goudron et de plumes d’oies…pour qu’ils évitent le burn-out, avec une pause festive. ;-)


  • 17 mars 2017 10:41

    J'attends Parrot au tournant avec leur nouveau drone disruptif car au final les utilisateurs de manière détourné font déjà beaucoup sur les drones de la marque et chez les constructeurs tiers et éditeurs tiers on trouve énormément de chose.
    Je me demande ce que pourra être leur game changer super innovant quand on sait que la concurrence propose déjà:

    - appareil hybride type VTOL (décollage vertical façon multirotor, évolution dans les air avec la vitesse et l'autonomie d'une aile volante et en changeant la position des moteurs la possibilité de stationnaire comme un quadricopète)
    - vidéo à 360° pour regarder en VR (réalité augmentée)
    - FPV évolué avec jeux vidéo intégré. Le vol en immersion est agrémenté de réalité augmentée pour faire apparaître dans le retour vidéo un circuit et des portes à passées dans les airs.
    - support de fixations d'origine pour rajouter des capteurs ou caméra spécifique (la fameuse passerelle entre drone ludique et pro ce trouve là pour moi. Une base de moins de 800 grammes à vide pour respecter les décrets d'application de 2018 / 2019. Ensuite en fonction des éléments rajoutés selon le besoin, c'est a chacun de se débrouiller pour répondre aux exigences d'un changement de catégorie... Et Parrot pourrait vendre en accessoire les éléments nécessaire aux exigences des différentes catégorie (avertisseur lumineux, sonore...).
    Parrot peut révolutionner le marché en sortant une plateforme polyvalente et évolutive (ce qu'ils ont commencés à faire avec le Disco sans aller au bout des choses... un hybride en terme de firmware proprio / open source, la connectique ouverte à la bidouille.)
    Les idées, il y en a foison!

    Me faire embaucher par Parrot j'en serais fier, j'aurais postulé volontiers si un poste avait correspondu à mon profile.. Mais je ne suis qu'un geek et pas un ingénieur.


  • 17 mars 2017 10:50

    « je ne suis qu'un geek et pas un ingénieur »
    Steve Wozniak était un geek…Il a eu son diplôme d’ingénieur en 1986 ! …10 ans après avoir inventé l’Apple I.


  • 23 mars 2017 08:49

    Tiens encore un exemple de possibilité offerte via une application tierse pour le Bebop.
    Le tap & fly: il suffit d'indiquer au drone sur le retour vidéo la zone à survoler et il se rend dessus.
    Quand est ce que Parrot se bouge et fait aussi bien que ce petit indépendant Italien?

    Chercher sur Youtube la vidéo: Bebop Pro" app - Update 3.0 - TapFly Mode and more de Michele Vagnetti


    PS: j'en profite pour dire que parrot n'a toujours pas rendu fonctionnel le support des clé USB indiqué fonctionnel depuis 2014 :p


  • 23 mars 2017 12:18

    « Quand est ce que Parrot se bouge et fait aussi bien que ce petit indépendant Italien? »

    Si Parrot prend l’habitude d’intégrer en propre, dans un temps court, toutes les innovations de tierce parties consacrées à ses différents supports, alors elle condamne systématiquement ces petites entreprises à une faillite certaine. Il s’ensuivra que le vivier de tierce parties s’assèchera et Parrot périra alors dans son isolat. La capacité et la volonté de Parrot d’offrir du potentiel plus que du réalisé est gage de création possible d’un éco-système, où les meilleurs propagandistes de son offre seront ceux qui, paradoxalement, grignoteront ses marges et une partie de sa réputation. Une imperfection maîtrisée, fut ainsi, à mon avis, un élément majeur du succès de Microsoft, et ceux qui s’en gaussaient n’avaient, eux, pas compris la manoeuvre, qui consistait à créer, de toutes pièces, une armée de mercenaires qui avaient un intérêt à ce que la pérennité de l’entreprise soit associée à la continuité de ses imperfections.

    Evidemment, du point de vue du consommateur, ce n’est pas la panacée.


  • 23 mars 2017 15:25

    Je comprends votre vision mais ne la partage pas.
    Des fonctions comme le tap & fly comme beaucoup d autres options, c est devenu quelque chose de "série" chez les concurrents depuis un moment.

    Un éco système avec des indépendants qui apportent une plus value c est bien pour répondre à des besoins spécifiques mais pas pour combler un manque sur les fonctions générique.


  • 24 mars 2017 10:52

    Ce n’est pas une vision mais un constat. Il n’y a pas de vérité du drone « en soi » hors de sa viabilité dans l’espace social, c’est-à-dire dépendant non pas de l’usage qu’en fait une personne, mais de l’usage qu’en fait tout le corps social, considéré comme une entité. Steve Jobs 1.0 s’est planté sur cette distinction; pas Bill Gates.

    Pour éviter que les termes « générique » et « spécifique » ne renvoient au subjectif relatif, quoique péremptoire, il conviendrait donc, au préalable, si nous gardons les termes, d’établir une ontologie du drone, dévoilant sa substance et distinguant les attributs nécessaires des attributs accidentels; je crois totalement vaine cette opération ;-)

    A mon avis, la solution sera celle d’un chef d’orchestre qui serrerait de près la vérité d’une partition en disant simplement: là c’est un peu trop fort, ici un peu trop rapide. Avec la 9eme de Beethoven, par exemple, ce n’est sans doute pas de la tarte; or, il se fait que Parrot a poussé ses investigations techniques dans tous les sens, avec ses drones ludiques. Ils sont donc maintenant devant un jeu de Mikado, à faire des ponctions délicates, à la manière, donc, du chef d’orchestre, parmi les brevets qu’ils possèdent pour juger de la pertinence actuelle de quelques uns, dans un contexte d’urgence.
    Ce qui est dominant, c’est ce que font les autres; un consensus du moment; ce qui est déterminant ne dépend pas de ce qu’ils font, quoique l’on en tienne compte, et reste, ou à inventer, ou à compiler sous une apparence nouvelle. Lorsqu’Apple a choisi Next, en 1996, plutôt que BeOs, ils ont fait un choix conservateur, Unix ayant trente ans d’âge. C’était le bon choix. « il faut être absolument moderne » ? certainement pas.


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