Or : le Ratio Dette/PIB

f4419

20 avril 2014 •12:40

les états prennent 47 %de taxes sur les prix initiaux revendu par total ou autres carburants et ils viennent dire qu il n en sorte plus , quel gâchis !
cela ne peut plus durer il faudra les y déloger sans tarder ou si il reste mettre leurs tetes a tous au bout d une branche tel que vals et Fillion sans parler de l équipe de bras cassés qu ils trainent les pattes ,

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20 avril 2014 •16:59

Le PIB de la Grèce a baissé de 36% passant de 340 milliards de $ en 2008 à 250 milliards de $ en 2012.
Si on applique cette baisse de PIB à la France, en partant de 2800 milliards $ en 2008 ou 2000 milliards d'euros (1 dollar = 0,72 euros) - 36% soit 1280 milliards de PIB avec une dette de 1950 milliards, on obtient : 1950/1280 (dette/PIB) X100 = 152% du PIB !!!

De quoi faire fuir les investisseurs et tondre les détenteurs de soit-disant "assurances -vie"

On peut dire aujourd'hui qu'il suffit d'un petit accident pour que la machine s'emballe...

Et comme on atteindra probablement les 2000 milliards d'euros et les 100% de dette / PIB avant la fin de l'année, on peut dire que le mur se rapproche. D'autant que les agences de notation vont repasser notamment en mai et septembre pour Moody's qui s'était senti un peu "obligé" pour ne pas dire forcé de ne pas nous dégrader la dernière fois. Mais cette fois, la situation allant de mal en pis, et le résultat des élections européennes qui pourrait voir le FN devenir le 1er parti de France (ce qui ne plait évidemment pas aux européistes, mondialistes et banquiers) risque de nous coûter une nouvelle dégradation (sachant qu'au début, c'était pas grave, mais là, ça va le devenir surtout si on ne parvient plus à payer les intérêts de la dette).

Données PIB (Google) en milliards de $ (attention, convertir ensuite en euros soit multiplier par
0,72)

http://www.google.fr/publicdata/explore?ds=d5bncppjof8f9_&ctype=l&a mp;met_y=ny_gdp_mktp_cd&hl=fr#!ctype=l&strail=false&bcs=d&nselm= h&met_y=ny_gdp_mktp_cd&scale_y=lin&ind_y=false&rdim=region&i dim=country:GRC&ifdim=region&hl=fr&dl=fr&ind=false

Compteur de la dette :

http://www.financespubliques.fr/

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21 avril 2014 •15:07

Il ny a plus de pognon et quand il ny a plus de pognon, ceux qui trinquent sont forcément ceux qui « dépendent » de largent des autres.
Fonctionnaires, retraités, chômeurs ou allocataires du RSA et tous les autres, vous dépendez pour vos revenus de largent des autres. Cest ainsi et lorsque les autres nont plus dargent, nous compensons par de lendettement. Et lorsque nous avons accumulé tout plein de dettes alors… on commence par arrêter de vous « indexer » votre salaire sur linflation. Vous hurlez déjà mais ce nest que le début. Ce nest que le début car nous navons plus de pognon.
Alors lannée prochaine, ce ne sont pas des hurlements pour un « gel » que vous pousserez mais des cris de douleur parce que votre revenu baissera. Il baissera car la croissance ne reviendra pas et quil ny a plus de pognon
Alors tous ceux qui bénéficient de largent des autres, il faut tenir comme le disait Manuel Valls le seul discours de vérité possible. IL Ny A PLUS DE POGNON
donc il faut que chacun en prenne acte et se prépare.
Pour linstant, et je vous renvoie au papier que javais écrit sur comment redresser la France en 100 jours, il ne sagit pas dhurler ou de rouler par terre en criant aux « droits opposables » ou encore à linjustice sociale. Le monde est injuste. Profondément. La bonne question est comment peut-on adoucir ces injustices.
Que doit-on payer et que doit-on ne plus payer tout en sachant que lon na plus vraiment dargent disponible

Ch Sannat
objectifeco

divers accents volontairement supprimés
non traduits par l editeur Bourso

editeur html deplorable

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21 avril 2014 •15:33

DÉFLATION MONDIALISÉE actuelle
Japon en tète

La déflation, ce n est pas seulement la baisse de la plupart des prix des biens, des marchandises et des services du fait de la mondialisation (poussant au libre échange globalisé donc à la compétition sans limite) et de la chute du pouvoir d’achat des agents économiques, comme des dettes massives privées et publiques qui ne se réduisent pas en raison de la faiblesse de la croissance.

La déflation, c est surtout un phénomène monétaire qui se caractérise par la double chute de la vitesse de la circulation de la monnaie et du multiplicateur de crédit, même si les banques centrales poursuivent ou accélèrent leurs politiques de création massive de monnaie ex nihilo.

Étant donné que (comme les économistes autrichiens l’avaient prévu toute cette monnaie, improductive parce qu absorbée dans la “trappe à liquidités”, n allant donc pas dans l économie réelle, ne sert qu à créer des bulles d actifs à l évidence sur les actions surtout puisque c est vers elles que va encore -mais de moins en moins- le cash détenu par les agents économiques les plus liquides qui, à un certain niveau de sur-évaluation artificielle, éclatant nécessairement les unes après les autres, entretiennent sans fin ladite déflation jusqu à l écroulement de tout le processus d endettement c est-à-dire l implosion des prix desdits actifs surévalués.

La double chute de la vitesse de la circulation de la monnaie et du multiplicateur de crédit aux USA continue et la même situation se généralise en Europe et chez les BRICS

C est un phénomène qui ne s est jamais produit dans l histoire à une telle échelle.

Cela démontre l échec des politiques keynésiennes de centralisme monétaire des banques centrales depuis 1971 (la fin de la convertibilité du dollar US en or entre banques centrales, impuissantes à diriger la monnaie là où l on en a besoin, et des grandes banques privées, à agir pour assurer le rôle de pourvoyeur de crédit par le Système bancaire, puisque de moins d agents économiques ont confiance dans la capacité des banques centrales et privées de remplir leur rôle