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FIEBM : Etude FIEBM

27 juin 2005 18:25

Un ambitieux projet immobilier dans les cartons, dont l'aboutissement n'est cependant pas certain.

La vie n'est décidément pas un long fleuve tranquille. Elle tient parfois même du roman. Roland Sulitzer, frère de l'écrivain à succès du même nom, en sait quelque chose. Depuis quinze ans, le dirigeant de la Financière Immobilière de l'Etang de Berre, se bat pour rendre constructibles 60 des 84 hectares de terres que possède sa société, dont il détient 51 % du capital. Une telle opération aurait le mérite de doubler au moins la valeur intrinsèque des terrains possédés, qui passerait de 75 euros à plus de 150 euros le mètre carré ! « Des discussions sont engagées avec le maire de Carry-le-Rouet, où nous possédons 80 hectares, dont près d'une vingtaine sont déjà occupés par notre camping quatre étoiles, Le Lou Souleï », nous a confirmé Roland Sulitzer. « Tout ceci va prendre du temps, modère Pierre Pène, professeur de médecine et maire de la commune de Carry-le-Rouet depuis 1989. Il apparaît en effet raisonnable d'accueillir 1.000 personnes de plus dans la commune d'ici une dizaine d'années, ce qui porterait le nombre d'habitants à environ 7.300 personnes. Mais avant d'envisager la construction des 250 logements nécessaires, il nous faut obtenir la bonne volonté de l'Etat pour rendre constructibles les terrains de M. Sulitzer. » Selon le premier magistrat de la ville, les 60 hectares détenus par FIEBM sont actuellement classés en zone boisée. Pour que ces terrains soient constructibles, il faut obtenir des services de l'Etat (dont la communauté urbaine de Marseille-Provence Métropole, qui regroupe 20 communes autour de la seconde ville de France), la modification du plan local d'urbanisme (PLU). Or une telle procédure met généralement deux ans à obtenir la concertation de tous les intervenants. Roland Sulitzer ne peut donc espérer une reclassification de ses terrains avant l'horizon 2007 à 2008. Parallèlement, il faudra vaincre l'extrême réticence des associations anti-urbanisme qui sont contre tout projet d'extension foncière dans la commune depuis de nombreuses années. « Le dernier projet de constructions neuves a mis quatre ans avant de sortir de terre en raison d'un grand nombre de recours de tiers », confirme l'employée d'une des principales agences immobilières implantées dans la commune. Les professionnels de l'immobilier confirment toutefois vivre très confortablement grâce à l'explosion des prix des maisons anciennes situées au bord de la mer Méditerranée avec vue sur un charmant petit port de plaisance.

Roland Sulitzer est donc potentiellement assis sur un tas d'or. Actuellement, la valorisation boursière de la société qu'il dirige (12 millions d'euros) tient compte uniquement d'un camping haut de gamme (piscine, restaurants, bar, supermarché et 170 mobile homes loués aux vacanciers) qui occupe 19 hectares, de 150 places de parking situées à Marseille au prix moyen de 15.000 euros la place, et d'un portefeuille de valeurs mobilières d'une valeur de 1,76 million d'euros au 31 décembre 2004. Reste à valoriser le trésor caché de FIEBM, à savoir 60 hectares situés en bord de mer et sur de superbes collines boisées de Carry-le-Rouet, et 4 hectares dans la commune voisine de Sausset-les-Pins. Ces terrains, pour l'heure non constructibles et non viabilisés, vaudraient environ 75 à 150 euros le mètre carré, selon les tarifs qui nous ont été communiqués par plusieurs experts fonciers de la région. Soit 48 à 96 millions d'euros ! Sur cette base, notre estimation d'actif net réévalué à la casse ressort à 27,7 euros par action, soit quatre fois plus que le cours actuel de l'action FIEBM ! Si Roland Sulitzer obtient le statut de constructibilité pour une première tranche de logements à construire dans les dix prochaines années, le tiers des 60 hectares qu'il possède à Carry-le-Rouet serait immédiatement valorisé pour un minimum de 75 millions d'euros, portant l'actif net réévalué à 41,7 euros par action. Autant dire que la Bourse ne valorise pas le potentiel d'appréciation du foncier détenu par FIEBM. Mais il est vrai que l'aboutissement du projet n'est pas certain, même si plusieurs sources proches du dossier de la communauté urbaine de Marseille nous ont signalé être très favorables à une extension de l'habitat dans les communes de Carry-le-Rouet et Sausset-les-Pins. Roland Sulitzer, qui bataille depuis près de quinze ans pour voir fleurir sur ses terrains le projet immobilier de ses rêves, y croit. Ses tiroirs renferment en tout cas toutes les études techniques, et même les dessins d'un projet signé du célèbre architecte Ricardo Bofill, dont les bâtiments se sont déjà fait remarquer dans des villes nouvelles de la région parisienne comme Cergy-Pontoise (Val-d'Oise) ou Marne-la-Vallée (Seine-et-Marne).

L'action peut donc être placée en portefeuille à titre uniquement spéculatif. Notre premier objectif de cours ressort à 15 euros.

Comp. C ; code FR0000062341 (BERR) ; cotation Fixing ; cours au 23/06 6,8 € (45 F) ; cours extrêmes sur un an 4,5-6,8 € ; BNPA 2004, 2005 et 2006 estimés 0,07, 0,10 et 0,15 € ; PER 2004, 2005 et 2006 estimés 87,10, 65,33 et 43,55 fois ; rendement 1,02 % ; moyenne quotidienne des transactions 1.000 titres ; capitalisation boursière 13 M€ ; activité principale Immobilière.

NOTRE CONSEIL : ACHAT SPECULATIF

22 réponses

  • 27 juin 2005 19:18

    article du JDF du 26/06/2005


  • 28 juin 2005 11:06

    l'action se réveille et cet article n''y est pas étranger, espérons que le projet de M. SULITZER aboutisse


  • 24 juillet 2007 16:55


  • 25 juillet 2007 07:20

    Cet article est vieux de 2 ans : que va nous apprendre le prochain article ?


  • 26 juillet 2007 07:39

    doublé donc 200 millions d'euros
    et que le maire est d'accord et que l'on
    arrive en 2008 !


  • 08 août 2008 18:45

    Dans l'article il était question de 2007/2008 et nous sommes en 2008. Le dossier a très légèrement avancé, mais il faut toujours se projeter dans un futur à deux ou trois ans. Ne pas oublier que lorsque ce sera terminé il risque d'y avoir devant les tribunaux des combats d'arrière garde qui peuvent durer plusieurs années. Les opposants joueront probablement la montre. Il y a aussi le risque que les surfaces soient moins importantes que ce qui était espéré.


  • 27 novembre 2009 19:01

    non, tu n'est pas le seul à con....naitre cet article, il est déja vieux de plus de 4 ans (article du JDF du 26/6/2005)
    Dans quelques années, j'en suis sur, on verra plus clair ! !


  • 27 novembre 2009 20:40

    des articles de 88 89 ou 90 dans ces eaux la


  • 28 novembre 2009 08:08

    que tu aies encore dans tes archives des articles de 88 89 ou 90. Si tu as le temps de les rechercher et si tu les retrouve tu verras qu'il disent exactement la même chose à l'exeption des chiffres qui eux sont régulièrement mis au gout du jour.
    Je partage l'opinion de uran quand il dit que en non constructible cela vaut très peu et qu'en constructible la valeur monte en flèche.
    A titre personnel j'ai vécu personnellement la même chose dans une affaire semblable : j'ai touché le jack-pot....au bout de quarante ans en vendant en terrain à bâtir des bois dont initialement personne ne voulait. La seule chose que j'ai eu à faire c'était de faire preuve de patience (et accessoirement aussi de le faire savoir : c'est important et cela ne coute rien).
    Pour BERR, en ce qui me concerne, j'applique la même méthode, la patience : "tout vient à point à qui sait attendre".
    Pour l'instant je ne pense pas qu'il y ait grand chose en chantier à part peut-être un frémissement du coté de la conversion des parts en actions pour simplifier la structure de la société. Ce qui pourrait expliquer la mention "pas de carnet d'ordre disponible" que l'on peut lire actuellement sur la fiche de EBPF et ce depuis quelques jours.
    J'espère sincèrement que ces quelques lignes ne vous auront pas trop ennuyés..... ou déçus.
    Bon week-end à tous.

    P.S. : En attendant de toucher le jack-pot je me suis contenté d'aller encore une fois chercher des champignons "dans la forêt de notre société" (39 hectares près de la forêt de Rambouillet à la Celle les Bordes si mes renseignements sont exacts).
    Cette année il y avait beaucoup plus de monde, tous les amateurs de champignons se rabattent sur la forêt de Rambouillet (donc "chez nous") car il n'y avait pas de champignons dans la forêt d'Orléans.
    Cet avantage en nature peut être considéré comme un dividende non déclarable donc ne subissant pas de retenue à la source CSG, RDS ....


  • 28 novembre 2009 09:11

    il y a une chose que je ne sais pas faire
    c'est de reconnaitre un champignon !(commestible ou non ?)
    donc je n'irais jamais dans un bois pour ne pas payer la taxe la CSG CRDS


  • 28 novembre 2009 10:01

    des parts.
    Monsieur Sulitzer possède 49% des actions. Actuellement la société est non opéable. En cas de conversion elle le devient. Les parts qui ont été négligées deviennent du poil à gratter en cas de changement au niveau de la constructibilité. J'imagine plutôt un rachat au fil de l'eau par petites quantités sous réserve que le prix de la part reste à un niveau bas.
    Principalement porteur de part je suis cela avec attention. J'ai par ailleurs été surpris qu'il n'y ai pas eu de rachat de parts au cours des 2 ou 3 derniers exercices. Le nombre de parts en portefeuille n'a pas changé depuis plusieurs années.


  • 28 novembre 2009 11:54

    Tu dis plus haut que : "Le nombre de parts en portefeuille n'a pas changé depuis plusieurs années."
    Pour ma curiosité personnelle, peux-tu, svp, me dire quel est ce nombre.
    Le nombre total étant d'environ 10.000 si je me souviens bien.
    Merci par avance.


  • 28 novembre 2009 16:43

    258 parts portif 2007 et 2008. Pas d'aquisition ni en 2007 ni en 2008.
    Il me semble qu'ils les ont depuis plusieurs années. Il faudrai que je retrouve la date d'achat. Il existe au total 10500 parts. Ils en possèdent seulement et environ 2,5%. Je dois en avoir 580. J'espère, il est permis de réver, toucher un jour le jackpot.
    Prix d'achat des 258 parts 15570 euros ce qui n'est pas cher.


  • 28 novembre 2009 16:47

    Je peux être joint facilement. Il suffit d'aller sur le site pieds-humides . com
    Ensuite on peux discuter par téléphone.


  • 29 novembre 2009 15:04

    Je viens de retrouver par hasard le portefeuille au 31/12/2002. Il fait mention de 188 parts pour un coût historique de 10810 euros provisionnés pour 4175,48 euros car sur la base du cours au 31 déc. 2002 elles valaient 6634,52 euros. Aucun achat ni vente au cours de l'exercice 2002.


  • 29 novembre 2009 15:09

    Apparemment les dernières 70 ont été achetées 15570 - 10810 = 4760 ce qui fait 4760/70 = 68 euros.


  • 29 novembre 2009 16:56

    A ma connaissance les 188 parts auraient été achetées en 2000.


  • 04 décembre 2009 18:10

    l'etude est très fidèle à la réalité et très bien expliquée; s'il est très difficile de comprendre pourquoi le titre ne se négocie pas (pas encore...) à sa vraie valeur on peut penser que c'est le découragement de certains porteurs qui n' a pas encouragé le cours! ilest vrai que l'attente du PLU est longue, très longue. Mais moi je suis loin de me décourager et j'attends depuis tois j'attends et surtout je ne vends pas...
    delazer


  • 04 décembre 2009 18:11

    j'ai mal tapé la dernière phrase; il faut lire: j'attends depuis trois ans
    delazer


  • 04 décembre 2009 18:30

    10 ans voir beaucoup plus.


  • 04 décembre 2009 18:53

    il est évident que dans le Midi les gens affuent (touristes et résidents principaux) pour 2 raisons: 1--le nombre des habitants augmente déjà sur toute la Terre
    2-- en proportion il augmente beaucoup plus dans le Midi parce qu'il y fait beau
    J'entends par Midi, bien qu'il y ait partout de belles régions en France (chacune a son cachet), le sud qui va de Narbonne à Nice
    Donc j'ai espoir dans le PLU. Tout le monde y gagnerait (même sans parler des actionnaires de Berr qui y gagneraient sans faire aussi de mal à quiconque): la commune avec plus de tourisme et d'habitants, les Impôts, les commerçants, eh bien tant mieux!
    Enfin en ce moment remarquons que si certains ont eu le tort de perdre patience, par contre celui qui fait le ramassage actuel en a, de la patience, il en a!
    delazer


  • 11 juillet 2017 10:20

    Je remonte ce vieux post qui n'est hélas plus d'actualité, le PLU attendu comme le messie s'étant à la fin révélé défavorable. C'est juste pour rappeler nos sentiments en 2005/2006 et aussi le mettre en parallèle avec celui de Hisbours qui lui n'a que peu vieilli et est finalement toujours d'actualité.


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