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EURONAV : Avis de T.A.

28 janv. 2016 13:21

Analyse (22/01/2016)
Euronav : craintes à moyen terme ?

Alors qu’Euronav aura renoué avec le bénéfice en 2015 (après quatre ans dans le rouge), certains craignent pour l’horizon 2017-2018 un équilibre offre/demande de bateaux moins favorable.
Ces craintes sont exagérées. Certes, l’action reste risquée (4). Mais depuis fin 2014, les tarifs du transport de pétrole sont à nouveau rentables. Nous prévoyons des dividendes record : 1,25 EUR net pour 2015 (dont 0,42 EUR déjà distribué en septembre), 0,67 EUR net pour 2016 et 0,58 EUR net pour 2017. Et Euronav cède actuellement ses vieux bateaux avec des plus-values. Nous estimons ainsi la valeur de l’action à au moins 13 EUR. Profitez dès lors de sa baisse récente. ACHETEZ.

Pétrole pas cher mais abondant
Depuis mi-2014, le prix du baril crève ses planchers. Pourtant, la demande croît (+1,8 % en 2015, soit plus vite que la moyenne des dernières années, qui est de 1 %). Et cela va continuer. Car si la Chine inquiète, il faut rappeler qu’on n’y parle que de décélération de la croissance économique. En 2015, la demande de pétrole y a encore crû de ±3,5 %.
La chute des prix est donc due surtout à une offre abondante : face à l’explosion de la production américaine (grâce au pétrole de schiste, aux sables bitumeux…), qui a initié la pression sur les prix, l’Arabie Saoudite, déterminée à défendre ses parts de marché, s’est mise à produire de plus belle. Et à présent que l’Iran est libéré de son embargo, ses ambitions de production future pèsent aussi déjà sur les prix actuels.

Quoi qu’il en soit, ce qui compte pour Euronav, c’est que le volume de pétrole à transporter augmente, et les distances parcourues aussi. Et même si les tarifs de transport ont à nouveau un peu baissé, ils restent très rentables et permettent à Euronav de se couvrir, avec des contrats sur plusieurs années.
De plus, le faible prix du baril permet des économies sur les frais de carburant (qui représentent 40 à 50 % des coûts opérationnels !).

Danger de surcapacité ?
En 2015, la flotte mondiale a crû de 3,3 %. En 2016, cela pourrait s’accélérer. Car quand les tarifs de transport sont favorables, les bénéfices des armateurs attirent les investisseurs.
Aussi, les commandes aux chantiers navals représentent-elles actuellement déjà ±19 % de la flotte en circulation. Cela signifie que beaucoup de bateaux neufs entreront en activité en 2017, 2018 et 2019, ce qui pourrait créer un surplus d’offre, lequel serait néfaste aux tarifs et donc aux transporteurs.
Mais il faut relativiser. Car la durée de vie moyenne des bateaux étant de 20 ans, ce sont 5 % de la flotte mondiale qui doivent être renouvelés chaque année pour maintenir les capacités à niveau ! D’ailleurs, le marché de l’occasion ne s’y trompe pas : il est à son sommet depuis 2011. Euronav en profite pour céder ses vieux bateaux, avec des plus-values.

Cours au moment de l’analyse : 10,06 EUR

Euronav est un transporteur maritime belge de pétrole brut et de produits pétroliers. Il figure parmi les plus gros acteurs indépendants (non affilié aux compagnies pétrolières) au monde.

2 réponses

  • 28 janvier 2016 15:49

    la grosse part des commande n'arrivera que dans 2ans cela nous laisse encore 2ans de gros tarif et le stockage en mer est lancé a commencer par glencore :Glencore Plc est censée être stocker l'huile sur les navires au large de la côte de Singapour et la Malaisie comme une structure de marché dite contango permet aux traders de bénéficier tenant à fournitures en vente plus tard.


    Le trader de produits de base a au moins 4 très grands bruts transporteurs, dont chacun peut contenir environ 2 millions de barils, flottant en mer au large de la côte des nations en Asie du sud-est, personnes ayant connaissance de la question, demandant de ne pas être identifiés parce que l'information est confidentielle


  • 28 janvier 2016 16:13

    au tarif actuel les usa envisagent de suspendre l'extraction du bitumineux au profit du moyen orient avec le transport a la clef
    dans6mois l'IRAN aurait besoin de40 vlcc (au conditionnel)


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