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ENEL : Conseillé dans une lettre boursière ==>

12 sept. 2007 09:42

Depuis maintenant plus de quatre ans, les marchés boursiers connaissent une belle ascension, soutenus par la croissance des bénéfices des entreprises, une économie mondiale dopée à la globalisation et un environnement monétaire très favorable. Ce mouvement haussier n’a été interrompu que par de brutales mais tout aussi brèves corrections qui s’avèrent, a posteriori, constituer des opportunités pour rentrer à bon compte sur les marchés d’actions. La nouvelle correction que nous avons vécue cet été ne dérogera probablement pas à la règle si l’on se positionne pour l’année 2008. À court terme, l’incertitude de la crise des «subprimes» risque en revanche d’encourager un peu plus la volatilité.
Afin de continuer à réaliser une meilleure performance que le CAC 40 – ce qui est bien parti, cette année encore, grâce à nos achats menés en début d’exercice et aux nombreuses ventes réalisées avant l’été alors que les indices étaient au plus haut –, il convient donc d’intégrer dans vos portefeuilles une dose de valeurs de rendement. Ces dernières, si elles sont bien identifiées, présentent en effet l’avantage de mieux résister dans les phases de turbulences, leur rendement élevé constituant un parachute à la baisse. En outre, quand les beaux jours reviennent, et dans un environnement où les taux des obligations restent toujours très bas et donc peu attractifs, elles font l’objet de vagues d’achats (cf. l’année 2003). D’autant plus si leur métier est séduisant et porteur... Cette stratégie a été mise en place dans la lettre depuis plusieurs semaines déjà. Kingfisher a ainsi rejoint Altria et PagesJaunes dans le sérail des valeurs favorites, tandis que HSBC et Rubis ont intégré la sélection plus opportuniste des valeurs conseillées. Toutes, à l’exception d’Altria, sont encore aujourd’hui à des cours d’achat. Afin de compléter vos lignes de rendement, nous vous proposons toutefois, cette semaine, une dernière valeur à l’achat sur ce thème : Enel.
Enel, un énergéticien bradé

Après Rubis, conseillée dans le PU n° 2285, nous revenons cette fois-ci sur une société d’une toute autre envergure. Enel est en effet le 4ème groupe énergétique européen avec une capitalisation de 45,8 Mds € et un chiffre d’affaires proche de 38 Mds €. Au cours des derniers mois, l’Italien a considérablement fait parler de lui. Après qu’on lui a prêté des vues sur Suez – ce qui a finalement déclenché le projet de fusion de ce dernier avec GDF –, le groupe, associé à Acciona, s’est engagé avec succès dans une rude bataille boursière pour le contrôle d’Endesa, le 1er producteur d’énergie espagnol. Alors que l’opération ne sera officiellement bouclée qu’en octobre prochain, le potentiel de synergies n’a pas encore été entamé. Des annonces, à même de soutenir le cours, devraient ainsi être faites en fin d’année sur ce sujet. Dans le même temps, l’ampleur de ce rachat, qui a été suivi par l’acquisition de la compagnie russe OGK-5, accroît la visibilité quant à la stratégie et la performance du groupe pour les prochaines années. Comme l’a souligné la direction, l’expansion internationale – le groupe opère notamment en France, Espagne, Bulgarie, Russie, Roumanie ainsi que sur le continent américain – est en effet maintenant achevée. «Tout ce qui viendra après cela ne concernera que des investissements complémentaires plus petits et des acquisitions d’actifs complémentaires au réseau existant (...) et cela n’aura pas du tout d’impact sur notre capacité financière et notre politique d’investissement», a même ajouté l’administrateur délégué Fulvio Conti. Une bonne nouvelle alors que l’acquisition d’Endesa a bien entendu alourdi la dette du groupe qui représentera, au 31 décembre de cette année, plus de 130 % des fonds propres. C’est d’ailleurs ce qui a récemment pesé sur le titre, les investisseurs craignant un durcissement des conditions de crédit pour les entreprises. Pour autant, les inquiétudes sur ce front paraissent excessives. Même en cas de hausse du coût de la dette, les bénéfices devraient en effet afficher une progression substantielle, liée au rachat d’Endesa. Parallèlement, la libéralisation du marché résidentiel en Italie, mise en place en juillet dernier, va soutenir la rentabilité d’Enel. Enfin, les actionnaires vont être choyés. Alors que des programmes de rachats d’actions ne sont pas exclus pour les prochaines années, la politique de distribution est généreuse : l’objectif est d’assurer un taux de rendement supérieur aux deux-tiers des valeurs du secteur.

Le groupe italien vient d’annoncer une hausse de 2,3 % de son excédent brut d’exploitation semestriel à 4,462 Mds €, soutenue par la bonne performance de ses activités à l’étranger. Alors que le consensus des analystes a été battu, la direction a indiqué tabler sur une progression de ses bénéfices annuels. Le prochain rendez-vous est maintenant fixé au 8 novembre pour la publication des résultats trimestriels. Avec la récente baisse de son cours, le titre affiche un rendement proche de 7 %. L’historique de distribution de la société, la visibilité sur sa stratégie d’acquisitions et sa décote de 15 % par rapport au secteur rendent ce taux encore plus attrayant. Nous achetons donc le titre au cours actuel, avec un objectif fixé à 9 €.

www.proposutiles.com
Propos Utiles © 2007

1 réponse

  • 12 septembre 2007 15:53


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