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EGIDE : INFO EUROPE1

10 avr. 2015 13:14

http://www.europe1.fr/economie/vente-de-rafale-apres-l-egypte-l-inde-2424355

3 réponses

  • 10 avril 2015 13:19

    c'est top!


  • 10 avril 2015 15:00

    En visite en France, le Premier ministre indien pourrait finaliser l’achat de Rafales construit par Dassault Aviation.

    Après 27 années d’attente, Dassault Aviation a réussi mi-février à vendre pour la première fois son avion de combat à l’Egypte. Et ce n’est peut-être pas fini : l’Inde, intéressée par le Rafale depuis 2012, pourrait à son tour passer commande à l’occasion de la visite à Paris du Premier ministre indien. Le quotidien Le Monde évoque même la signature imminente d’un contrat pour 63 appareils. Un nombre bien inférieur aux 126 Rafales initialement évoqués, mais qui présente un avantage pour l’économie française : ils seraient fabriqués en France, et non en Inde, qui réclamait depuis des mois un transfert de technologie.

    Une signature imminente ? L'Inde négocie l'achat de 63 avions Rafale de l'avionneur français Dassault Aviation pour un montant de 7,2 milliards d'euros, écrit vendredi Le Monde sur son site internet. Après une nuit de négociations, les discussions se poursuivent vendredi et le contrat pourrait être annoncé dans la journée ou samedi dans le cadre de la visite à Paris de Narendra Modi, le Premier ministre indien.

    Un client intéressé de longue date mais dur en affaires. L’intérêt de l’Inde pour l’avion multitâche conçu par Dassault n’est pas une nouveauté : New Delhi y pense depuis 2001 et négocie officiellement avec Paris depuis 2012. Mais ces discussions trainaient en longueur, l’Inde négociant les moindres détails, dont certains ne sont pas anodins : initialement, les discussions portaient sur l’achat de 126 Rafales, mais les Indiens souhaitaient bénéficier d’un transfert de technologie et pouvoir les construire eux-mêmes sur leur sol. Il a même un temps été question que New Delhi puisse ensuite commercialiser elle-même ce Rafale "Made in India" dans la région.

    En échange d’une première vente tant attendue et d’un contrat d’environ 20 milliards, la France et Dassault Aviation étaient donc prêts à faire d’importantes concessions. Mais entre-temps un premier contrat d’exportation a enfin été conclu avec l’Egypte, incitant les Français à moins se presser. L’Inde a bien répliqué en évoquant son intérêt pour un concurrent du Rafale, la dernière version du Sukhoï russe. Mais la stratégie s’est visiblement révélée peu payante.

    Car l’Inde, qui jouait la montre, commence à être elle-même pressée par le temps : le pays a beau être l’un des principaux acheteurs d’armements dans le monde, son aviation commence à vieillir. Vendredi matin, The Hindustan Times affirmait ainsi qu’une signature pourrait être imminente en raison de "nécessités opérationnelles", une manière pudique de dire qu’elle en a besoin rapidement. D’autant plus que l’armée indienne est en conflit larvé avec le Pakistan et la Chine et ne peut se permettre de ne pas avoir de force aérienne opérationnelle.

    Une bonne nouvelle pour la France. Côté français, une telle signature serait une bonne nouvelle, même s’il serait question de 63 exemplaires, et non plus de 126. Car sur les 126 Rafales évoqués initialement, seuls les 18 premiers devaient être construits en France, le reste devant alors être assemblé en Inde. Dans le nouveau contrat évoqué par Le Monde, les Rafales seraient finalement construits en France pour deux raisons : d’abord car la création d’une ligne d’assemblage en Inde aurait pris trop de temps aux yeux de New Delhi, ensuite parce que cette création ex-nihilo aurait finalement coûté plus cher qu’une fabrication en France, où les usines et les équipes sont déjà rodées.

    La signature serait donc une bonne nouvelle en termes d’emplois, mais aussi pour le budget de la France. En effet, avant de mettre au point le Rafale, Dassault avait pris la précaution de conclure un partenariat avec l’armée française qui prévoit que si l’avionneur n’arrivait pas à exporter son avion, les militaires français en achèteraient jusqu’à ce que l’entreprise rentre dans ses frais. 63 avions vendus à l’Inde, c’est donc autant d’appareil en moins à acheter pour l’armée française, actuellement confrontée à des difficultés budgétaires en raison de son engagement sur plusieurs fronts à l’étranger. Or, un Rafale coûte entre 90 et 150 millions d’euros l’unité.


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