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ANNUAIRE PHONE : SORTIE DE L'EURO pr GRECE

06 mai 2012 20:57

Les élections de ce jour en Grèce ne permettent pas au gouvernement de coalition de poursuivre son fonctionnement. Il fallait 37% à chacun des 2 partis de coalition pour poursuivre. Les résultats donnent 31 et 37%. Le futur gouvernement qui sera composé incluera des néo-nazis et des anti-plan de rigueur qui a été mis en place pour rester dans la zone euro.
----------------------------------
Ce nouveau gouvernement risque fort de s'opposer au plan de rigueur mis en place ces derniers mois à la demande des pays de la zone euro et d'aller au clash avec la zone euro pour en sortir le plus rapidement possible. Cete semaine ou la semaine suivante, la Grèce peut sortir de l'Euro.
Regardez les futurs à partir de minuit ce soir sur IGmarkets; Vous verrez la cote de l'euro. Idem pour les CDS grecs à suivre (et CDS Français).

11 réponses

  • 16 mai 2012 22:16

    Aujourd'hui d'après les news, 100 millions d'euros sont sortis des bq grecques! Hier c'était un peu moins!
    Demain ce sera combien ?
    De plus la BCE a annoncé qu'elle ne prêtait plus à quelques unes d'elles! Lesquelles ?
    La faillitte de ces bq est toute proche. Le prochain gouvernement sera mis en place en juin après les élections. Pour l'instant il n'y a pas de gouvernement il est donc impossible de stopper les retraits!
    -------------------------------------------
    Nous avons maybe en miniature en Grèce ce qui pourrait se produire en Espagne et maybe en France.


  • 28 mai 2012 13:07

    On disait voilà 3 mois des banques qu'elles faisaient des plans secrets, rumeurs vite démentiés par les hommes politiques ou économistes politisés.
    Depuis début mai, les économistes ouvrent la bouche, doucement, puis maintenant de plus en plus grandes. Les bq admettent qu'elles font des plans.
    Et maintenant ce jour la suisse toujours sérieuse, s'y met. Des plans sont établis et on commence à en parler sérieusement dans les médias. Sortie desordonnée ou ordonnée avec euro bonds ou sans ou eurobonds variés (euro bond project)et aussi les dettes rouges (cad celles qui sont passées - faudra t-il tout simplement les éffacer ?), les dettes bleues (cad -celles qui vont venir- à priori, les bonnes dettes nous dit-on!!).
    J'en passe j'en passe...
    --------------------------------


  • 28 mai 2012 13:08

    Miam miam.... bon le nicox. ça monte!
    Miam Miam la riber. L monte!!!2.92.


  • 05 juin 2012 19:05

    existeraient : l'euro pour les échanges de la Grèce avec l'exérieur et le I.O.U (le you commme l'animal ou comme TOI), ce dernier serait utilisé pour les échanges intra-Grèce.
    ------------------------------------------
    la new ci-après :
    "La Grèce pourrait vivre avec deux monnaies, selon Edrim
    05/06/2012 | 16:45
    La résolution de la crise grecque au lendemain du scrutin législatif du 17 juin devrait passer par un rejet du plan de sauvetage de la Troïka (Fonds monétaire international, Union européenne et Banque centrale européenne) et une situation de quasi-faillite pour Athènes, a estimé mardi le responsable de la gestion taux et crédit chez Edmond de Rothschild Investment Managers (Edrim).


    Pour payer ses fournisseurs, la Grèce pourrait, à l'instar de la Californie tombée en faillite en 2009, avoir recours à un autre type de dette, des "I.O.U.", qui fonctionnerait comme une "monnaie parallèle" à l'euro, a expliqué Etienne Gorgeon lors d'un point de presse.

    Ces I.O.U. émis en loi locale pourraient subir une restructuration et une dévaluation en cas de sortie ultérieure de l'euro.

    La Grèce aurait alors une dette externe financée par l'Europe elle-même, via le compte sous séquestre déjà mis en place par ses bailleurs de fonds, et une dette domestique par émission d'I.O.U.

    "Ce serait une solution raisonnable. Une sortie brutale de l'euro serait une catastrophe pour un pays qui a connu quatre années de récession", a-t-il dit.

    "La Troïka comme les partis politiques grecs savent que le plan de sauvetage n'est pas applicable", a-t-il ajouté.

    Outre la sortie brutale, Etienne Gorgeon écarte un scénario selon lequel, après les élections, un gouvernement grec viable serait formé et mettrait en oeuvre les mesures drastiques exigées par la Troïka pour verser les aides.

    "Ce scénario semble peu réaliste compte tenu du contexte et de la faible légitimité dont devrait bénéficier ce futur gouvernement", a-t-il dit.

    Dans le scénario qu'il retient (faillite préparée) et qui pourrait aboutir à une sortie de l'euro, il a dit ignorer les conséquences que cela pourrait avoir pour le reste de la zone euro.

    Reste la question de la contagion, notamment à l'Espagne, qui souffre des conséquences de la crise immobilière sur ses banques.

    Les besoins de recapitalisation sont évalués entre 50 et 70 milliards d'euros, ce qui pèserait sur la ratio dette/PIB de l'Espagne.

    "La BCE a ainsi cherché ces derniers jours à contenir le risque bancaire espagnol dans un contexte où l'Espagne enregistre en 2012 100 milliards d'euros de sorties nettes de capitaux", a poursuivi Etienne Gorgeon.

    COMPTE À REBOURS

    Comme d'autres analystes, il relève que la BCE est à la manoeuvre et sert de garde-fou à une crise bancaire.

    Mais, la même BCE pousse les gouvernements de la zone vers une intégration plus profonde. Elle préconise une union bancaire, qui, à l'instar de la FDIC américaine, garantirait les dépôts à l'échelle de la zone euro, et une forme d'union budgétaire.

    "Une union monétaire n'est viable qu'avec une union politique", a souligné le gérant en ajoutant que, compte-tenu des calendriers électoraux, les dirigeants européens ont désormais quatre ou cinq ans pour trouver une solution viable.

    "Le compte à rebours a commencé", a-t-il dit.

    Dans un contexte, marqué en outre par une croissance très faible aux Etats-Unis et une récession en zone euro alimentée par le lent processus de désendettement des Etats, les actifs obligataires ont un avantage sur les autres.

    Edrim prévoit en 2012 une récession de 0,5% en zone euro, la même chose en France, -2% en Espagne, -1,5% en Italie et une croissance zéro en Allemagne.

    "Notre thématique c'est la japonisation des rendements", a indiqué Etienne Gorgeon qui note que le rendement du Bund allemand à 10 ans tombé à 1,2% se rapproche de celui du Japon (0,86%), un pays en déflation depuis les années 1990.

    Les taux réels allemands sont négatifs et pour une partie de la courbe, les taux réels français aussi.

    "La BCE veut des taux réels négatifs. Elle va maintenir ses taux directeurs très bas pendant une longue période", a-t-il dit et table sur une baisse de 25 points de base, à 0,75%, du principal taux, le refi, et si, nécessaire, de nouvelles mesures d'assouplissement non conventionnelles de la politique monétaire.

    Sur la dette souveraine, il est neutre sur les Bunds allemands compte tenu de la volatilité du marché, reste à surpondérer sur la France, sous-pondérer sur l'Espagne.

    "Nous rentrons dans une zone d'opportunité en Italie où on a plus de visibilité", a-t-il dit en rappelant les atouts de l'économie italienne, la troisième de la zone euro.

    "Si l'Italie n'est pas viable à l'intérieur de la zone euro alors la zone euro elle-même n'est pas viable".

    Edrim surpondère surtout les obligations d'entreprises et parmi elles donnent une préférence aux bonnes signatures de la catégorie spéculative plutôt qu'aux signatures de la catégorie investissement dont les rendements sont trop bas et avoisinent ceux des souverains."


  • 26 juin 2012 19:43

    Oëdème Pulmonaire Aigu. Devant l'énormité de la situation financière grecque, les voies pulmonaires des ministres ont été brutalement inondées par une accumulation de dettes. Transportés en extrême urgence à l'hôpital, leurs médeçins leur a conseillé de démissionner le plus rapidement possible.
    L'OAP résulte souvent de problèmes cardiaques. Ecartelé entre Rester dans l'Euro (une majorité de grecs veulent rester dans l'Euro et continuer à dépenser comme avant et sortir, leur coeur a fait des fibrillations successives et se trouve sous une pression extraordinaire du ventricule gauche (leur parti politique).
    Répondre au plan d'austérité comme souhaité par les autres pays et répondre aux grecs qui les ont élus est source de ce colapsus du coeur.
    --------------
    Leur coeur est soumis à 2 pressions contradictoires qui fait fibriller. Rester dans l'euro et continuer à dépenser comme avant et en même temps diminuer les déficits et les dettes ce qui veut dire baisseer les salaires et augmenter les impôts.
    -------------
    C terrible.
    ---------------
    Cela se termine souvent par un AVC (accident vasculo cérébral). C'est leur tête qui ne va plus être oxygénée.
    --------------
    C un signe qui ne trompe pas. La mort est proche.
    ------------
    Quoi faire ?
    -------------
    Sortir ou rester ?
    -----------------
    Cela risque donc d'être 1 sortie désordonnée.
    ------------------


  • 23 août 2012 00:18

    du PIB de 2008.

    En 4 ans, le PIB a baissé de 20%.


  • 16 septembre 2012 23:21

    BBC news ne parle pas de "trou noir" qui est en train d'aspirer le monde pour 2013 comme l'annonce le GEAB dans son dernier n°67, mais seulement des impacts d'une sortie de la Grèce de la zone euro.
    traduction lien suivant
    http://www.bbc.co.uk/news/business-18074674.
    ---------------------------------- ----------
    L'article détaille 8 grds points :
    ---------------------------------------
    1/ La Grèce ne peut plus rembourser ses dettes. "pardi, on parle d'une dévaluation de 50% de sa nouvelle monnaie. Cela voudrait dire que la dette actuelle libellée en euro augmenterait d'environ 50%; donc elle ne peut rembourser".
    -----------------------------------
    2/ Débacle économique
    -------------------------------------
    3/ Paniques bancaires
    --------------------------------------
    4/ Faillites des entreprises
    ----------------------------------------
    5/ Crise des dettes souveraines
    -----------------------------------------
    6/ Remous sur les marchés
    -------------------------------------------
    7/ Retour arrière politique
    ---------------------------------
    8/ Récession
    ------------------------------------

    En résumé, c'est un très grand trou noir.
    Les questions :
    Est-ce qu'il y a pire que le pire ?
    est-il possible de faire mieux que le pire, ou selon l'expression souvent entendue, est-il possible d'avoir un "meilleur que prévu" ?
    ------------------------
    Les banques, fonds de pension et autres institutions macro ainsi que politiciens n'ont pas intérêt à ce que la Grèce sorte de l'euro. Ce serait pour eux 1 énorme claque, des pertes financières énormes et un discrédit énorme du point de vue de millions de personnes.
    Ce dernier point constituerait en revanche un réel danger si les "terriens (nous sommes un village planétaire) n'avaient plus confiance dans leurs clowns préférés et cela pourrait déboucher sur des risques GEOPOLITIQUES majeurs (exemple : déstabilisation des frontières des états de la zone Grèce, Turquie, Moyen-orient).


  • 18 octobre 2012 23:35

    Les calculs vont bon train. Les économistes s'en donnent à coeur joie.
    A lire la new suivante, c'est pire que la contagion par les OGM.
    Calcul de 2 éco allemands pour la fondation Bertelsmann. Les échos
    today.
    http://www.lesechos.fr/economie-politique/monde/actu/0202334736800-la-fa illite-de-la-grece-couterait-17-200-milliards-501746.php
    La new comme si vous y étiez.


    "La faillite de la Grèce coûterait 17.200 milliards
    Par Massimo Prandi | 18/10 | 12:44 | mis à jour à 16:49 |
    Une étude de deux économistes allemands pour la fondation Bertelsmann sortie hier chiffre les conséquences pour l'économie mondiale d'une faillite de la Grèce et mesure ses effets de contagion.

    Sortira ?, ne sortira pas ? La question du sort de la Grèce dans la zone euro n'est toujours pas tranchée. Et cela dure depuis près de deux ans. Angela Merkel l'a encore dit aujourd'hui : la Grèce doit garder la monnaie unique. Même son de cloche chez François Hollande : la Grèce « doit être assurée de rester dans la zone euro », a-t-il déclaré hier dans les colonnes du Monde.

    Alors, la question de la sortie de la Grèce de la zone euro est-elle surannée ? Pas du tout si l'on croît plusieurs économistes de renom. Megan Greene, la chef économiste Europe chez Roubini Global Economics, le centre d'étude fondé par Nouriel Roubini, le professeur d'économie new-yorkais qui a prédit la crise financière de 2007, estime qu'Athènes pourrait lâcher l'euro courant premier semestre 2013. Explication : l'austérité créée une « décennie de dépression » économique.

    Une sortie de la zone euro « très probable »
    Willem Buiter, ancien banquier central britannique et actuellement chef économiste global chez Citigroup, lui, juge que la Grèce a encore 60% des chances de sortir de la zone euro. Une date ? Courant 2014, après les élections législatives allemandes de la fin de l'an prochain. Même dans les milieux institutionnels européens on trouve des responsables gouvernementaux sceptiques. Le Ministre des finances suédois, l'ancien banquier central Anders Borg, sacré meilleur Ministre des finances de la planète en 2011 par le Financial Times, anticipe que la une sortie de la Grèce de la zone euro dans les six mois est « très probable ». Des avis qualifiés qui relancent le débat sur les coûts d'une éventualité de cette nature.

    Deux économistes d'outre-Rhin, Thieb Petersen et Michael Böhmer, se sont livrés à cet exercice pour la Fondation Bertelsmann et Prognos AG, une société de conseil économique. Le défaut de la Grèce et son abandon de l'union monétaire aurait, en soi, des « effets mineurs » sur l'économie mondiale, résument les experts allemands. Il en irait tout autrement en revanche des conséquences indirectes sur les marchés financiers.

    Récession mondiale « sévère »
    AFP

    AFPSi Athènes périclite, la confiance des investisseurs dans les marchés des capitaux espagnol, italien et Portugais en prendrait un gros coup. Conséquence : ces trois pays européens s'achemineraient à leur tour vers la banqueroute entraînant une récession mondiale « sévère ». La crise économique globale qui suivrait réduirait la croissance des 42 principales économies de la planète (environ 90% du PIB mondial) de 17.200 milliards d'euros entre 2013 et 2020.

    La contagion grecque passerait tout d'abord par les budgets des Etats européens. En cas de défaut, les prêts qui lui ont été consentis ne seraient plus remboursés. Les prêts aux entreprises grecques prendraient le même chemin d'une décote de 60% de leur valeur nominale. A la fin de la décennie, la faillite de la Grèce aurait coûté à l'Allemagne 64 milliards d'euros en dépréciations de créances et 73 milliards d'euros en croissance.

    Si le défaut d'Athènes était suivi par ceux des trois autres pays d'Europe méridionale en difficulté, la note allemande serait de 455 milliards d'euros pour les prêts dépréciés et de 1707 milliards d'euros pour le manque de croissance. Les montants respectifs pour le reste de la zone euro sont aussi impressionnants : 216 milliards d'euros de dépréciations et 239 milliards d'euros de croissance moindre si la Grèce seule fait faillite et 1180 milliards d'euros plus 5383 milliards d'euros dans le cas extrême de banqueroutes en série.

    Bien évidemment, la crise profonde et prolongée de l'Europe, la première zone économique mondiale, plongerait le reste du globe dans la dépression. La France serait le pays qui en souffrirait le plus avec un prix à payer de 2900 milliards d'euros. Elle devancerait de peu les Etats-Unis (2800 milliards d'euros), la Chine (1900 milliards d'euros) et l'Allemagne (1700 milliards d'euros). Un scénario catastrophe à éviter absolument, concluent les deux économistes.

    MASSIMO PRANDI
    "


  • 21 février 2015 17:05

    3 ans plus tard. Nous en sommes toujours au même point.
    Tjrs d'actualité : La Grèce sortira ou pas de la zone euro ?
    En 3 ans elle a pu se préparer et les principales institutions dt la BCE également ( il fallait éviter une sortie désordonnée ).
    La dette grecque se monte à ce jour (réf; BFM) à 320 milliards d'euros.
    La Grèce couvrirait à ce jour son déficit primaire (Recettes dt impôts - dépenses non compté les intérêts de la dette). Ces intérêts, disons le, peuvent évoluer en fonction des taux de marché!
    La Grèce ne pourra donc pas rembourser sa dette et il faut donc la restructurer. L'éventail est large cela va du non remboursement total au ré échelonnement en durées et montants.
    En 3 ans, les banques porteuses de ces dettes les ont migrées vers les états. c'est donc le public qui détient ces dettes donc vous et moi et tous les particuliers, comme il fallait s'y attendre et comme je l'avais imaginé au départ de la crise.
    Pour la France ce serait autour de 40 milliards d'euros (je ne sais pas si les intérêts sont inclus).
    Donc cela fait un peu moins de 1000 euros par français.
    C'est tout. Il faut le dire!!!!


  • 28 avril 2016 09:51

    Toujours d'actualité
    Les dettes s'accumulent
    La restructuration semble incontournable


  • 19 octobre 2017 21:57

    Le Quantitative Easing mis en place par M. Draghi la tte de la BCE a permis de sauver bcp de bq et de socits en rachetant leurs dettes risque. Mais il en reste tjrs ds les tiroirs et en Grce pardi.
    Les bq grecques veulent ramener la confiance. Elles vont vendre un fond norvgien une partie de leurs dettes pour 3% de leur valeur nominale ce qui fait une dprciation de 97%. Ils vont tre content ceux qui possdent ces titres. Vous avez acheter pour 1000 euros on vous rembourse 30 la place. Bien bien...
    Ci après la New
    Les banques grecques préparent des cessions record de créances douteuses

    Reuters le 19/10/2017 à
    20:37

    http://www.boursorama.com/actualites/les-banques-grecques-preparent-des -cessions-record-de-creances-douteuses-b0cebc2af30c388ccc0f383ebf6857a8?num=b0ce bc2af30c388ccc0f383ebf6857a8

    ATHENES (Reuters) - Trois des principales banques grecques se préparent à céder un montant record de 5,5 milliards d'euros de créances douteuses d'ici le début 2018, a-t-on appris jeudi auprès de sources informées, alors que la Banque de Grèce et la Banque centrale européenne (BCE) font pression sur le secteur pour qu'il assainisse ses bilans.

    Après des années de crise financière et de récession, les banques grecques sont lestées de 103 milliards d'euros de créances douteuses, soit environ 60% du produit intérieur brut du pays. La BCE veut que ce montant soit ramené à 38 milliards d'euros d'ici la fin 2019.

    Le fardeau des créances douteuses restreint la capacité des banques à prêter et affaiblit la reprise économique en cours, indispensable pour que le pays sorte des plans d'aide internationaux qui l'ont maintenu sous perfusion ces dernières années.

    Les négociations tendues entre Athènes et ses créanciers ont laissé le problème au second plan jusqu'ici mais Yannis Stournaras, le gouverneur de la banque centrale, veut désormais voir des progrès rapides.

    "Les banques doivent être plus ambitieuses dans leurs objectifs de réduction des créances douteuses et accélérer les ventes de NPL (prêts non performants)", a-t-il dit à Reuters.

    Selon des sources des trois banques, la Banque du Pirée, première banque grecque, ainsi que la Banque nationale de Grèce et Alpha Bank prévoient de céder d'ici la fin mars respectivement 3,0 milliards, 1,5 milliard et 1,0 milliard d'euros de créances douteuses.

    Eurobank a lancé le mouvement ce mois-ci en cédant des créances d'une valeur faciale de 1,5 milliard d'euros au fonds suédois Intrum pour seulement 45 millions d'euros, soit 3% de la valeur nominale.

    Si les trois autres établissements cèdent 5,5 milliards d'euros de créances, le total en comprenant Eurobank sera de 7 milliards d'euros, soit environ 18% de l'effort demandé par la BCE.

    La BCE a rejeté la demande du Fonds monétaire international d'une nouvelle revue de la qualité des actifs des banques grecques mais a avancé la date de ses propres tests de résistance prévus l'an prochain. Ces "stress tests" devront avoir été bouclés dès le mois de mai, a dit une source à Reuters le mois dernier, afin de pouvoir prendre des mesures correctrices sur les fonds propres avant la sortie de la Grèce de l'actuel plan d'aide international, prévue en août.

    (Véronique Tison pour le service français)


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