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AGEAS : Trump: Ca m'étonnerait qu'il écoute

11 août 2017 15:04

mamy

Berlin - La chancelière Angela Merkel s'est opposée vendredi à toute "solution militaire" face à la Corée du Nord et a dénoncé l'actuelle escalade verbale entre Pyongyang et le président Donald Trump, qui ont menacé de recourir aux armes.

"Je ne vois pas de solution militaire à ce conflit", a-t-elle dit lors d'une conférence de presse à Berlin, interrogée sur le tweet de M. Trump annonçant que les options militaires américaines "sont en place" et "prêtes à l'emploi".

"L'Allemagne va participer de manière intensive aux possibilités de résolutions non militaires, mais je considère l'escalade verbale comme une mauvaise réponse", a-t-elle ajouté.

La dernière mise en garde de Donald Trump ajoute à la surenchère verbale de ces derniers jours. Jeudi il avait défendu sa formule controversée promettant "le feu et la colère" à Pyongyang, estimant qu'elle n'était "peut-être pas assez dure".

La Corée du Nord a présenté un projet pour tirer quatre missiles au-dessus du Japon vers le territoire américain de Guam, avant-poste stratégique des forces américaines dans le Pacifique.

15 réponses

  • 11 août 2017 15:21

    Il y a pourtant bel et bien une solution militaire. C'est celle qui vise à faire déguerpir les cowboys d'Asie...


  • 11 août 2017 16:16

    La Chine, principal soutien de Pyongyang, reste en retrait face à l'escalade verbale entre la Corée du Nord et les Etats-Unis, renvoyant volontiers dos à dos les deux pays alors même que ses propres marges de manoeuvre s'avèrent réduites.

    En pleine "guerre des mots" avec le régime de Kim Jong-Un, auquel il a promis "le feu et la colère", le président américain Donald Trump a de nouveau pointé jeudi la responsabilité de Pékin. En réaction, la Chine a de nouveau appelé vendredi "toutes les parties" à "faire preuve de prudence".

    - Quelle stratégie pour Pékin? -

    Pékin défend la reprise des négociations à Six (les deux Corée, Japon, Russie, Chine et Etats-Unis) interrompues depuis 2009. "La Chine pourrait présider ces discussions et conforter son influence" dans la région en jouant un rôle de médiateur, décrypte le politologue Willy Lam basé à Hong Kong.

    Dans l'immédiat, cependant, Pékin s'efforce de ne pas intervenir dans l'escalade verbale entre la Maison Blanche et le régime nord-coréen, estimant que c'est à Pyongyang et Washington seuls d'"agir plus activement" pour désamorcer "les tensions".

    "Nous appelons toutes les parties à faire preuve de prudence dans leurs mots et actions (...) et à renforcer la confiance entre eux, plutôt que de recourir à de vieilles recettes consistant à enchaîner les démonstrations de force", a cinglé vendredi la diplomatie chinoise.

    Le Chine prône par ailleurs un double "moratoire": l'arrêt simultané des essais nucléaires et balistiques nord-coréens d'une part et celui des manoeuvres militaires conjointes des Etats-Unis et de la Corée du Sud d'autre part.

    Mais ni le président américain ni le régime de Kim Jong-Un, emportés dans une rhétorique incendiaire, ne semblent prêts à engager ce "dialogue" souhaité par Pékin.

    "Un dialogue sensé n'est pas possible avec un gars comme (M. Trump) qui a perdu la raison", a tranché le général Rak-Gyom, commandant des forces balistiques nord-coréennes, cité vendredi par l'agence officielle KCNA.

    De son côté, loin de chercher l'apaisement, Donald Trump a affirmé vendredi que "des solutions militaires (étaient) en place" contre Pyongyang.

    - Que peut faire la Chine? -

    "La Chine ne dispose d'aucun levier effectif pour initier une désescalade de la situation, si à la fois Trump et le régime de Kim (Jong-Un) continuent d'agir de façon impulsive", observe Xu Guoqi, expert en relations internationales à l'Université de Hong Kong.

    Dans un éditorial, le quotidien officiel chinois Global Times arrivait vendredi au même constat: "Pékin n'est pas en mesure, cette fois-ci, de ramener au calme Washington et Pyongyang".

    L'occupant de la Maison Blanche voit les choses différemment: la Chine, principal partenaire économique de Pyongyang, peut "faire beaucoup plus" pour mettre la pression sur son turbulent voisin, a tonné Donald Trump vendredi.

    Pour autant, la Chine, membre permanent du Conseil de sécurité de l'ONU, a approuvé samedi une septième volée de sanctions économiques internationales contre la Corée du Nord, et a promis lundi d'appliquer ces sanctions "à 100%".

    Mais les experts restent dubitatifs sur l'efficacité des sanctions. Et la Chine, destinataire de 90% des exportations nord-coréennes, maintient qu'elle n’interrompra pas les échanges constituant une aide "à visée humanitaire".

    De l'avis des experts, pour encourager Pékin à réduire drastiquement cette "aide", "il faudrait que les Etats-Unis fassent d'importantes concessions, par exemple sur le déploiement de leur bouclier anti-missiles THAAD, les différends commerciaux ou la mer de Chine méridionale", indique M. Lam à l'AFP.

    La Chine défendra-t-elle Pyongyang?

    Huit ans après la fin de la guerre de Corée, Pékin et Pyongyang avaient conclu un "traité d'amitié, de coopération et d'assistance mutuelle", mais les experts s'interrogent sur l'application exacte des clauses de ce pacte en cas de conflit.

    On dit la Chine inquiète d'un effondrement du régime nord-coréen, qui se traduirait par des afflux de réfugiés sur son territoire, et hostile à tout rapprochement des forces américaines à ses frontières.

    Mais tout dépendra de qui débutera une intervention militaire, affirmait vendredi le Global Times.

    "Si la Corée du Nord envoie des missiles menaçant le sol américain en premier lieu et que les Etats-Unis réagissent, la Chine restera neutre", assurait le journal. Mais si Washington et Séoul frappent les premiers "et tentent de renverser le régime nord-coréen et l'équilibre politique de la péninsule, alors la Chine les en empêchera".


  • 11 août 2017 21:14

    à mon avis Trump attend que le jeune d'en face envoie ses missiles balistiques pour faire un feu d'artifices avec son bouclier anti-missiles


  • 11 août 2017 21:28

    Bill Richardson, ancien ambassadeur des Etats-Unis à l'ONU et spécialiste de la Corée du Nord, craint un incident entre Washington et Pyongyang qui pourrait dégénérer en confrontation militaire.

    Dans un entretien avec l'AFP, ce diplomate chevronné âgé de 69 ans déplore les déclarations musclées du président américain Donald Trump, qui promet le "feu" et la "colère" à la Corée du Nord, ainsi que les messages contradictoires émis par les Etats-Unis.

    Ex-gouverneur démocrate du Nouveau-Mexique, ancien ministre de l'Energie sous Bill Clinton, Bill Richardson a joué à plusieurs reprises les négociateurs avec Pyongyang, où il s'est rendu à plusieurs reprises, notamment pour tenter d'obtenir la libération d'Américains arrêtés sur place.

    QUESTION - Est-il trop tard pour négocier?

    REPONSE - Presque. Les deux dirigeants semblent vouloir jouer au plus viril, à celui qui crie le plus fort, et cela (...) empêche les diplomates de tenter de trouver une issue diplomatique.

    C'est malheureux car je ne pense pas que le président va changer. Il n'écoute personne, et Kim Jong-Un est imprévisible, donc nous sommes face à de sérieux obstacles.

    QUESTION - Quel est le risque?

    REPONSE - C'est l'éventualité d'une erreur de calcul. Cela peut être une erreur de calcul mineure, comme un bateau de pêche visé par un tir nord-coréen, une invasion de l'espace aérien, des tirs d'artillerie. C'est ce que j'ai dû gérer avec les Nord-Coréens par le passé, quand ces petits incidents risquent de provoquer une vraie action militaire de la partie adverse.

    QUESTION - Que se passe-t-il à Pyongyang, d'après vous?

    REPONSE - La situation nord-coréenne est très sombre. Il n'y a pas d'information disponible à part les déclarations du dirigeant. Ce qui m'inquiète, ce ne sont pas les attaques verbales quotidiennes des Nord-Coréens. Ils ont toujours proféré de telles menaces. Ce qui m'inquiète, c'est que ces attaques sont de plus en plus intenses, elles se font plus précises au sujet de l'île de Guam, et que ces déclarations tonitruantes émanent désormais aussi du ministre des Affaires étrangères Ri Yong-Ho, qui est une personne raisonnable. Cela m'inquiète, je n'ai jamais vu un telle intensité.

    QUESTION - Le discours plus prudent du secrétaire d'Etat américain Rex Tillerson et d'autres conseillers de Donald Trump vous rassure-t-il?

    REPONSE - Certes ce discours est pondéré, mais ils ne parlent pas d'une seule voix. Il n'y a pas de coordination, et le principal obstacle est le président lui-même.

    Le problème c'est le président et les messages contradictoires émis par son équipe. J'espère qu'il écoutera surtout Tillerson, comme il devrait le faire: c'est le secrétaire d'Etat. C'est lui qui devrait forger la politique américaine, personne d'autre.

    QUESTION - L'entourage de Kim Jong-Un est-il aussi plus mesuré s'agissant des risques que comportent les menaces tonitruantes?

    REPONSE - Beaucoup des personnes que je connais au ministère des Affaires étrangères sont pondérées, réalistes. Mais on peut se demander si elles ont du poids, de l'influence auprès des responsables de la sécurité, auprès de Kim Kong-Un. Je n'ai pas la réponse.

    Ri est quelqu'un d'équilibré. Il parle bien l'anglais, connaît les Etats-Unis. Mais il est maintenant ministre des Affaires étrangères, il va suivre la ligne du parti.

    QUESTION - Qu'est-ce qui pourrait permettre de contenir cette crise?

    REPONSE - Mon seul espoir, c'est que les Chinois soient discrètement en train de travailler avec les Nord-Coréens. Ce sont les seuls, je pense, qui ont de tels contacts à l'heure actuelle. J'espère que la Chine est en train de mener une forme de diplomatie discrète, de faire discrètement pression. Mais je n'en suis pas sûr


  • 11 août 2017 21:35

    bah ce sera l'occasion de faire un exercice de défense grandeur nature et de faire tourner l'économie de l'armement


  • 12 août 2017 08:43

    Reste à savoir si c'est le bouclier antimissile Thaad en Corrée du Sud qui entrera en action ou celui de Guam ?
    Quelles sont les sociétés cotées qui fournissent l'armement ?


  • 12 août 2017 10:02

    Xi Jinping a demandé à son homologue américain Donald Trump d'éviter «les mots et les actes» qui pourraient «exacerber» la situation déjà tendue dans la péninsule coréenne.


    Une résolution pacifique du problème nucléaire nord-coréen est nécessaire, a déclaré samedi le président chinois Xi Jinping lors d'un entretien téléphonique avec Donald Trump, appelant la «partie concernée» à la retenue, selon la télévision publique chinoise. Il est dans l'intérêt commun de la Chine et des États-Unis de maintenir la paix dans la péninsule coréenne et d'accomplir sa dénucléarisation, a ajouté le président chinois.

    «La partie concernée doit maintenant faire preuve de retenue, et éviter les mots et les actions qui exacerbent les tensions sur la péninsule coréenne», a-t-il poursuivi selon les propos rapportés par la télévision nationale. Le règlement de la question nucléaire en Corée du Nord devra se faire in fine par le biais de discussions et la Chine souhaite maintenir la communication avec les États-Unis sur la base d'un respect mutuel, afin de favoriser une solution adaptée, a-t-il ajouté.

    Comportement provocateur de la Corée du Nord

    Rendant compte de cet entretien téléphonique, la Maison blanche a souligné que les deux chefs d'État avaient réaffirmé leur engagement mutuel en faveur d'une dénucléarisation de la péninsule coréenne. «Le président Trump et le président Xi, poursuit la Maison blanche, sont convenus que la Corée du Nord doit cesser son comportement provocateur et induisant une escalade.» Trump et Xi ont également estimé que l'adoption à l'unanimité de la résolution 2371 du Conseil de sécurité était un pas important sur la voie du rétablissement de la paix et de la stabilité en Corée. Ce texte, voté il y a une semaine, impose de nouvelles sanctions au régime de Pyongyang. La Maison blanche ajoute que «les relations entre les deux présidents sont des relations extrêmement proches et aboutiront, espérons-le, à un règlement pacifique du problème de la Corée du Nord».

    Vendredi, Trump a lancé une nouvelle mise en garde à la Corée du Nord, la prévenant que les armes américaines étaient prêtes à l'emploi, «verrouillées et chargées». Le régime nord-coréen a de son côté accusé le président des États-Unis de conduire la péninsule au bord d'une guerre nucléaire.

    «Espérons que tout cela s'arrange», a déclaré le président américain à des journalistes, depuis son golf privé du New Jersey. «Personne n'aime les solutions pacifiques plus que le président Trump», a-t-il ajouté.


  • 12 août 2017 10:03

    «Espérons que tout cela s'arrange», a déclaré le président américain à des journalistes, depuis son golf privé du New Jersey. «Personne n'aime les solutions pacifiques plus que le président Trump», a-t-il ajouté.


  • 12 août 2017 10:04

    La balle est dans le camp de la Corée, provocations ou pas à venir ?


  • 12 août 2017 10:06

    Est-ce que la Corée pourrait avoir un autre modèle de vie que le show militaire ?


  • 12 août 2017 11:25

    Même si on oublie les propos de Trump, ils sont très loin d'une issue diplomatique. Les cowboys ne veulent discuter que si la Corée du nord abandonne le nucléaire et de cela il ne saurait en être question pour la Corée du nord. J'attends donc le prochain tir de missile avec impatience...


  • 12 août 2017 11:58

    La seule porte de sortie pour le moment est de commencer à vendre la technologie à l'Iran, et ça plaira pas non plus aux cowboys.

    Ce qui me semble important également, c'est que la Corée du nord a environ 70 vieux sous-marins, facilement repérables à cause du bruit et qu'ils vont les équiper pour des tirs de missiles (c'est en cours selon les cowboys, puisqu'ils ont détecté de l'activité). Faut pas trop se focaliser sur les propos tenus, mais bien sur ce qui se passe à côté des ces propos.


  • 12 août 2017 13:13

    une petite partie de combat naval balistique, cela s'arrêtera là, les coréens aiment trop leurs joujous


  • 12 août 2017 13:16

    https://www.youtube.com/watch?v=DR6pglLGJMg


  • 12 août 2017 13:52


    http://www.dailymail.co.uk/news/article-4784234/North-Korea-test-submarine-missi le-amid-Trump-threat.html

    Je ne considère pas la source comme étant sérieuse, mais ils en reparlent...


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