ca commence à bouger ....
une vidéo du Professeur Raoult, quand il était intervenu sur CNEWS le 12 janvier dernier.
Il y affirme que les vaccins COVID renfermeraient des quantités énormes d’ADN étrangers1.
Et la présence d’ADN dans un vaccin à ARN messager est très inquiétante, car cet ADN pourrait interagir avec le nôtre et mener à des mutations…Le cauchemar de Darwin !
Mais Raoult, à ce moment-là, n’a pas élaboré plus loin son propos : de l’ADN de quoi, au juste ?
Si je vous reparle de cette vieille histoire, c’est parce que des révélations viennent d’éclater au grand jour au sujet de cet ADN…
Du singe à l’Homme, puis de l’Homme au singe ?
Les laboratoires derrière les vaccins COVID ont d’abord affirmé qu’il n’y avait qu’un seul ARN manipulé, et aucune trace d’ADN dans les vaccins.
Mais l’agence Health Canada, ainsi que deux scientifiques indépendants – dont le microbiologiste Kevin McKernan2 – ont analysé ces vaccins. Et ce qu’ils ont trouvé sort tout droit d’un mauvais film d’horreur.
Non seulement, la quantité d’ADN y serait 18 à 70 fois supérieure à la limite autorisée3. Mais pire encore, ils auraient trouvé…de l’ADN de singe ! Darwin doit se retourner dans sa tombe.
Plus exactement, il s’agit de la séquence du SV40, un virus qui touche les singes.
Et comme une mauvaise nouvelle arrive rarement seule, un autre chercheur à l’Hôpital universitaire de Würzburg en Allemagne a confirmé ce que nous craignions le plus : l’ADN dans les vaccins serait mutagène (ils nous ferait muter)4.
Sa trouvaille la plus inquiétante reste que ces mutations auraient un impact direct sur les cellules cancéreuses5.
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Un impact direct sur le risque de cancer ?
C’est l’inquiétude du professeur Ulrike Kämmerer, de l’Université de Würzburg.
Dans son expérience, il a pris des cellules cancéreuses du sein et des ovaires chez des femmes.
Il a ensuite exposé ces cellules cancéreuses à des vaccins COVID, dans les mêmes conditions que quelqu’un qui se fait vacciner.
Et après l’injection, environ la moitié des cellules cancéreuses avaient de la protéine spike COVID-19 à leur surface. Autrement dit, elles avaient absorbé le vaccin.
Kevin McKernan a poursuivi l’expérience et a séquencé le génome de ces cellules “vaccinées” et de leurs descendantes.
Résultat : les cellules contenaient l’ADN du vaccin COVID.
Mais est-ce grave docteur ?
Hélas oui, et à plus d’un titre.
Déjà, cela veut dire que les laboratoires se seraient soit trompés, soit ils auraient menti et donc que OUI, les vaccins à ARN messagers peuvent interférer avec notre ADN.
Ensuite, comme le rappelle sur son blog le chercheur Hiroshi Arakawa de l’Institut d’Oncologie Moléculaire6, “ce qui se produit dans une cellule cancéreuse, peut très bien se produire dans une cellule saine”.
Et quand l’ADN d’une cellule saine est modifié, le risque de cancer augmente drastiquement7.
Toutefois, ces recherches viennent seulement de paraître, et il faut encore davantage d’expérience pour être absolument certain de l’effet de l’ADN étranger sur nos cellules.
Mais l’alerte est lancée, et la vigilance est de garde.
Les laboratoires s’empêtrent dans leurs explications
Face à ces lourdes révélations, les laboratoires se sont expliqués, ce qui pour moi est la preuve qu’ils reconnaissent leur faute.
Au départ, les laboratoires ont affirmé qu’il n’y avait pas d’ADN résiduel dans les vaccins8.
Mais suite aux découvertes cinglantes des chercheurs indépendants et de Health Canada, ils se sont retrouvés au pied du mur.
Ils ont en effet pensé “qu’il n’était pas nécessaire d’indiquer la présence d’ADN dans la formule, car les niveaux sont inoffensifs”9.
Bref, ils ont bien voulu admettre qu’il y avait potentiellement de l’ADN résiduel10 11, mais que cet ADN ne pouvait pas interférer avec celui de l’Homme – via les chiens de garde de l’UNICEF12.
Le problème, comme je l’ai dit plus haut, c’est que ces niveaux d’ADN sont loin d’être inoffensifs – et ils sont carrément mutagènes.
Reste une dernière question : pourquoi y aurait-il de l’ADN dans les vaccins ?
Pourquoi il y a de l’ADN dans les vaccins, au juste ?
Je ne suis pas un expert virologue, alors je vais essayer d’expliquer la suite le plus clairement possible.
Les vaccins à ARN messagers utilisent de l’ARN pour “transmettre” l’information à notre organisme : “quel virus il faut tuer”.
Mais on ne peut pas utiliser de l’ARN juste comme ça…il faut le créer, pour qu’il soit pur. Pas contaminé avec le code génétique d’autre chose.
On prend donc normalement un bout d’ADN, on l’injecte dans une bactérie et cela devient de l’ARN.
Et les laboratoires sont tenus par la loi de purifier cet ARN en enlevant l’ADN qui a servi à sa création.
Parce que la médecine sait très bien, et depuis longtemps13, que l’ADN étranger est potentiellement pathogène, s’il se retrouve en nous.
Mais comme vous venez de le voir, les laboratoires ne sont pas aussi scrupuleux qu’ils devraient l’être au moment de purifier les vaccins…
