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RENAULT : LDM en Russie "on etait obligés d'arreter"...

13 avr. 2022 16:44

Trois semaines après avoir annoncé la suspension des activités industrielles du constructeur en Russie, le directeur général de Renault, Luca De Meo, sort de son silence.

"Sur la Russie, il fallait donner un signal aux marchés financiers. On a dit qu'on allait passer l'activité russe par pertes et profits. Et là, ça fait mal, car il nous a fallu douze à treize ans pour rendre l'activité rentable", résume Luca De Meo dans une interview ce mercredi aux Echos.
"On était obligés d'arrêter"
Une rentabilité dont ne profitera certainement jamais Renault, le groupe essaie surtout de limiter la casse sur place.

"On était obligés d'arrêter. Une fois que les sanctions économiques tombent et que les chaînes de logistique se cassent, il n'y a plus de pièces. Dans l'automobile, quand tu ne produis pas, tu brûles du cash à la vitesse de la lumière. Si on continuait comme ça, on allait droit dans le mur. On n'est pas Total qui prend le gaz là-bas et se fait payer à la sortie. Nous, on produit là-bas, précise Luca De Meo. Le business de la Russie était autosuffisant. On n'a jamais reçu des dividendes, car on les réinjectait pour rembourser la dette qui était très lourde. Et il n'y avait pas énormément de synergies".

Les synergies devaient arriver dans les prochaines années. Deuxième marché de Renault, après la France, représentant 49% des bénéfices du constructeur lan dernier, la Russie était un marché clé du constructeur. Avec des perspectives de croissance importantes autour du rapprochement technique décidé entre Lada (la marque phare dAvtovaz) et Dacia.

"Si la marque Lada a été un peu négligée par le passé, on allait faire une nouvelle génération de Lada sur des plates-formes modernes, explique Luce De Meo. Il faut rendre à César ce qui appartient à César: les efforts qui ont été faits là-bas par les équipes de Renault pour redresser la société ont été quand même extraordinaires. C'est pour cela que l'on veut protéger le plus possible le travail qu'on a fait, car cela a de la valeur".
"Considérer nos options sur Avtovaz"
Le constructeur na pour le moment pas annoncé ce quallait devenir sa participation à plus de 70% dans Avtovaz. Comme le rappelle Les Echos, Rostec, lautre grand actionnaire dAvtovaz, est sous le coup des sanctions occidentales. Et rien ne dit que si Renault trouvait un autre partenaire pour racheter ses parts, cette vente ne tombe pas sous le coup de sanctions, côté occidental comme côté russe.

"Nous allons considérer nos options sur AvtoVaz et Renault Russie, poursuit Luca De Meo qui ne donne pas plus de détails: "c'est une équation à de nombreuses variables, compliquée à résoudre".

7 réponses

  • 13 avril 2022 16:50

    Ce sera une affaire à multiples rebondissements .on en est pas sortie .on verra après le 9 mai 


  • 13 avril 2022 18:22

    Si on abandonne la Russie, c'est mal barre
    Beaucoup d'investissement a perte.Poutine n'est pas éternel, le marché russe reviendra
    Pourquoi laisser la place libre aux Chinois ... ? Ce serait une erreur


  • 13 avril 2022 22:36

    L Ukraine continue à encaisser l argent russe du gazoduc Brotherhood qui traverse son pays. Elle veut que la France cesse ses gains russes mais elle continue à encaisser les siens. Elle veut qu on lui donne argent armes aliments .... et elle continue la guerre sans vouloir rien céder à la Russie, désir d adhésion à l otan, a l ue, conservation des territoires russophones, ..... Elle terrorise ses habitants, les hommes n ayant pas le droit de quitter le territoire. Elle emmagasine l argent dans la poche des oligarques ukrainiens à Londres et dans les paradis fiscaux. Elle réclame l argent la destruction de la Russie et de l Europe, le sacrifice de sa population, avec la jubilation des philosophes fakes et fous, et du pays du coca cola. Ouvrons les yeux


  • 14 avril 2022 08:51

    Sidoremi, j'abonde dans votre sens.  Pour ma part, déjà dit, j'ai fait les frais de l'embargo depuis 2014.  Les russes en représailles ont rompu le contrat de 3 milliards d'euros avec une grande entreprise internationale et les chinois les ont remplacés.
    La Russie aura toujours une porte de sortie.
    Si le pétrole augmente, c'est de la faute de l'OPEP depuis prés de 2ans...  
    Si le blé monte, c'est que les producteurs en europe et aux us font de la rétention...
    Alors, effectivement, aprés les moissons, on en parlera, mais pour l'instant, assez de l'intox.


  • 14 avril 2022 10:22

    Il vaudrait mieux ne pas discuter politique  ici  !!!


  • 15 avril 2022 15:56

    Fbarthe, je suis désolé, mais en ce moment c'est la politique qui gère les entreprises et qui décide de leur avenir....  Donc, il faut en parler et dire des vérités qui vont influencer les cours de certains titres


  • 19 avril 2022 14:13

    Stellantis suspend l'activité de son usine russe de Kaluga

    Le groupe Stellantis a annoncé mardi la suspension de l'activité de son unique usine russe de Kaluga (sud-ouest de Moscou), en raison des sanctions internationales frappant la Russie et faute de pièces.


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