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SOCIETE GENERALE : Le Message du Marché est clair

04 sept. 2020 17:12

et grave pour la GLE : la valeur n'augmentera qu'en cas de rapprochement/fusion...

27 réponses

  • 04 septembre 2020 17:15

    T'étais en vad ? 


  • 04 septembre 2020 18:05

    Toutes mes condoléances 


  • 04 septembre 2020 20:59

    au lieu de raconter n'importe  quoi !

    si t'a du blé ?

    achéte 

    c'est le moment 


  • 04 septembre 2020 22:05

    qué marché, t'as acheté des betteraves ?


  • 07 septembre 2020 10:27

    avec les résultats du T3 en nette amélioration ( début novembre ) -> 18 € fin d'année sauf si krach généralisé


  • 07 septembre 2020 10:45

    18 Euros une misère même pas ce qu'elle valait en début d'année...


  • 07 septembre 2020 11:35

    J'ai lu "jamais elle n'ira à 18", puis "c'est une affaire à 15, incroyable elle ne peut que décoller achetez vite !" et ensuite "ouah 13 balles, impossible c'est l'affaire du siècle achetez avant que la fusée décolle !" ... sérieux vous touchez une com' de la part de la GLE pour inciter à l'achat comme ça ?


  • 07 septembre 2020 11:44

    On sait lire un compte rendu comptable. C'est pas le cas de tous ici. Une entreprise qui vaut 1/4 de sa valeur c'est une affaire. Je sais pas si vous avez l'habitude d'acheter vos biens de consommation au 1/4 du prix. Mais moi ça ne m'arrive pas souvent. 


  • 07 septembre 2020 13:41

    une société ce n'est pas un bien de consommation.
    Et la valeur qu'on lui donne dépend de l'Offre et la Demande.
    Là clairement il n'y a plus de "consommateurs"...


  • 07 septembre 2020 13:52

    lol .... n'importe quoi


  • 07 septembre 2020 15:10

    Alors que si GLE faisait des voitures électriques on n'aurait pas le problème. Comme quoi la vie ça tient à peu de chose. GLE ne "vaut pas" 30 ou 104 ou 25. Ca vaut le prix que le marché en donne non ? Je ne crois pas que les chiffres de novembre vont changer quelque chose. Peut-être un "on a moins de pertes que celles provisionnées". au mieux.


  • 07 septembre 2020 15:20

    Ben les résultats influencent quand même la cote. Dans un sens ou dans l'autre. Le marché ce n'est pas que de la spéculation à outrance sur la tech. La réalité reviendra vite. On a eu un échantillon fin de semaine dernière sur les tech. Là le marché européen nous fait le coup du rebond parce que wall street est fermé. Mais demain je donne peu cher des tech européennes .. malgré ça les investisseurs continuent à miser sur les tech. Donc en gros je vois bien les valeurs tech continuer à monter bien haute aujourd'hui pour mieux être vadé demain. Et dans l'affaire, les PP qui auront suivi le mouvement aujourd'hui seront coincés demain. Affaire à suivre. 


  • 08 septembre 2020 10:11

    Same player shoot again...


  • 08 septembre 2020 10:49

    ...ou bien l'annonce du départ de Monsieur Oudéa.


  • 08 septembre 2020 12:00

    la perte "potentielle "est telle que si leT3 ne sauve pas l'affaire, on n'aura plus à 11€qu'à prier pour un miracle 


  • 08 septembre 2020 12:04

    je serai inquiet le jour ou toutes les bancaires monteront sauf GLE


  • 08 septembre 2020 12:30

    SG est structurellement bénéficiaire. Je ne pense pas que l'entrée d'acteurs "low cost", en concurrence des banques, soit un réel danger à moyen/long terme.


  • 08 septembre 2020 12:43

    Les "acteurs" entrés recemment (via les supermarchés) sont tous partis...n'oubliez pas que les entrants commençent par ramasser toute la clientèle virée par les réseaux traditionnels


  • 08 septembre 2020 13:04

    Le succès des "obligations pourries" sur les marchés financiers
    BOURSORAMA AVEC MEDIA SERVICESo08/09/2020 à 12:00
    Mi-août, les émissions de cette dette à risque aux Etats-Unis culminaient à 274 milliards de dollars, soit déjà plus que sur l'ensemble de 2019. En Europe, les émissions de "junk bonds" ont atteint en juin 108 milliards d'euros en glissement annuel.

    Ils rapportent plus car ils sont jugés risqués, mais leur succès auprès des investisseurs interroge en pleine pandémie : les emprunts d'entreprise dits "pourris" ont été dopés ces derniers mois par le déversement d'énormes quantités de liquidités pour faire face à la crise. Peu glorieux, le surnom de ces titres vient de l'anglais "junk bonds", soit "obligations pourries" - appelées aussi à "haut rendement" -, lorsque la note de qualité qui leur est attribuée par les agences de notation est inférieure à un certain niveau.

    A la mi-août, les émissions de cette dette à risque aux Etats-Unis culminaient à 274 milliards de dollars, soit déjà plus que sur l'ensemble de 2019, selon les données de l'agence Bloomberg. L'Europe a de son côté connu une "accélération" en fin de premier semestre d'après l'agence Fitch Ratings, les émissions de "junk bonds" atteignant en juin 108 milliards d'euros en glissement annuel dans un marché traditionnellement moins développé qu'outre-Atlantique.

    "L'appétit des investisseurs pour ces obligations vient de la recherche de rendement", explique Frédéric Rollin, senior investment advisor pour Pictet AM, insistant sur la difficulté d'en trouver aujourd'hui, alors que les marchés sont abreuvés abondamment par les grandes banques centrales. Le rendement, les obligations "junk" sont parmi les rares à en proposer, dans l'actuel environnement de taux d'intérêt très bas.

    Le rôle des banques centrales
    La Fed soutient les entreprises dégradées récemment par les agences de notation, comme Ford ou Occidental Petroleum, en rachetant directement leur dette. La BCE achète de son côté de la dette d'entreprises bien notées, mais autorise les banques à lui déposer des titres devenus "pourris" en garantie lorsqu'elles viennent emprunter. Au coeur de l'été, la presse financière avait fait ses choux gras de l'entreprise américaine d'emballage Ball Corporation, empruntant à 2,875% sur dix ans, du jamais-vu pour une société dont la qualité d'endettement est considérée comme "pourrie". A titre de comparaison, l'entreprise pharmaceutique Johnson & Johnson, qui détient la meilleure note possible (AAA), a emprunté sur une échéance similaire en août à 1,3%.

    La forte progression des emprunts "pourris" est aussi liée à l'arrivée dans cette catégorie d'entreprises dont l'activité, et par effet d'entraînement la note, ont été dégradées en raison du Covid-19 . Elles sont surnommées les "fallen angels", ou les "anges déchus". Dans leurs rangs, le français Accor qui est arrivé en catégorie "junk" en août lorsque l'agence S&P l'a dégradé. Le groupe hôtelier fait toutefois encore partie des "stars" du secteur de la dette pourrie. Mais, alors que les conséquences économiques de la pandémie sont encore très floues, que dire des entreprises dont la dette continue à se vendre mais qui glissent vers des dégradations successives ?

    "Les entreprises qui étaient un peu en difficulté avant le sont encore plus aujourd'hui", reconnaît Alain Krief, responsable de la gestion obligataire pour Edmond de Rothschild AM. "C'est là ou l'on doit faire notre métier, les identifier et ne pas forcément investir à tout-va", ajoute-t-il, citant pour l'Europe certaines entreprises de location de voitures, ou des équipementiers automobiles allemands.

    Des risques de faillites importants
    Dans son pire scénario de crise, l'agence S&P Global Ratings anticipe la faillite de 11,5% des entreprises mal notées en Europe d'ici juin 2021, soit le pire niveau depuis le début des années 2000, et 8,5% dans son scénario de base.

    C'est le risque spécifique à cette crise qui a vu les autorités se mobiliser très rapidement : au lieu de mener à une vague immédiate de faillites, il faut s'attendre à "un étalement dans le temps des défauts" , anticipe Marina Cohen, à la tête de la division High Yield Europe pour Amundi AM. "Il y a de la liquidité à court terme, mais des entreprises qui n'ont pas la bonne structure de capital pourraient logiquement faire défaut" ensuite.

    Dans l'intervalle, certaines pourraient se muer en entreprises "zombies", des groupes maintenus en vie à fonds perdus par les plans d'aide gouvernementaux et les largesses des banques centrales. Le patron de Deutsche Bank Christian Sewing s'en est inquiété mercredi : "Si une entreprise sur six en Allemagne devenait 'zombie' grâce à des fonds de sauvetage et à la suspension des dépôts de bilan (...), cela aurait un impact sérieux sur la productivité de notre économie".


  • 15 septembre 2020 12:15

    ça se confirme


  • 18 septembre 2020 09:56

    personne n'est intéréssé ?


  • 06 juillet 2023 13:38

    Oui, sous 10 prochainement


  • 14 mai 2024 17:36

    ça fait que 4 ans qu'on le sait.


  • 14 mai 2024 18:20

    mdr, il y a déjà eu  cette crise des junks bonds aux USA qui a failli engloutir de nombreuses banques anglaises, néerlandaises, suédoises... pas trop les françaises ! Les banques centrales ont durci les ratios de sécurité , et trump les  a libéralisées aux USA... On a vu le résultat il y a peu... Je ne pense pas que l'Europe risque une crise systémique de ce type...


  • 14 mai 2024 19:39

    La valeur augmentera si les politiques arrêtent leurs interventions intempestives.


  • 14 mai 2024 20:53

    Donc la hausse n est que journalière....suite a une phrase d un politicien en bois qui parle comme dab pour ne rien dire .....qu il s' occupe du peu qu il a a faire que de dire des con.n.e.ries 


  • 14 mai 2024 22:54

    Si pour un problème d’image on ne l’avait pas obligée à se démettre de sa filière russe … nous n’en serions pas là 


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