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SOCIETE GENERALE : La déprime de fin de semaine ?

18 avr. 2020 16:39

Bonjour,
quelle avalanche de messages totalement désespérés !
Mais la crise actuelle n'a strictement rien à voir avec celle de 2008 pour tout ce qui concerne le système bancaire.
La faillite de la "petite" banque d'investissement Lehman Brothers avait alors été le révélateur d'un déséquilibre interne à la finance mondiale - subprimes, bulles, etc.
Aujourd'hui, il s'agit d'un choc externe auquel le monde est beaucoup mieux préparé, d'un point de vue financier s'entend. 2008 a laissé des traces profondes au sein des instances dirigeantes, politiques et financières. Ce n'est pas comme si une génération était passée et qu'on ait pratiquement tout oublié avec elle. Depuis 2008 on vit avec la crainte que ça se reproduise et beaucoup a été fait pour y parer. Certains continuent à dire que les banques n'ont pas modifié leurs mauvaises habitudes ; c'est globalement erroné.
La question d'une possible bulle immobilière est fréquemment évoquée. L'accès à des prêts à faible taux d'intérêt a évidemment augmenté le pouvoir d'achat des acquéreurs et, par là même, poussé les vendeurs à augmenter leurs prix. Au pire, une correction de 30 % remettrait parfaitement les pendules à l'heure et serait tout à fait gérable.
Idem pour le niveau de valorisation des actions que certains ont jugé trop élevé avant la crise. L'actuelle correction va déjà bien au delà du strict nécessaire pour revenir à des niveaux jugés plus raisonnables. Avec des baisses de 60 % pour nombre de grandes valeurs, on absorbe largement et une possible survalorisation ante et les effets d'un ralentissement de l'économie.

Mais surtout, surtout, ce ne sont pas les banques qui auront à subir les contrecoups financiers quels qu'ils soient. Ce sont les gouvernements et ils n'ont pas le choix. La grande nouveauté, c'est qu'ils le font ; ensuite qu'ils le font tous ensemble ; enfin qu'ils vont le faire au niveau et dans la durée requis. Au passage, je redis avec d'autres que, si toutes les banques centrales "créent" de la monnaie en même temps, les parités restent globalement conservées - si ce n'était pas le cas ça se saurait déjà et pas qu'un peu. Je reste de plus penser, et je suis manifestement encore presque le seul ici, que ces créations n'auront pas vraiment à être remboursées ; nous ne devrons cet "argent" à personne, nos enfants non plus et les ordinateurs ne sont pas spécialement près de leurs sous ; ce n'est pas comme si quelqu'un nous avait avancé cet argent et compte dessus pour sa retraite ; ce ne sont que des chiffres dans des ordinateurs. Certains économistes commencent à en parler ; laissons venir, ce n'est pas le sujet principal du moment.

Pour ce qui est de notre Société générale, elle était déjà attaquée depuis deux ans : 18 mois de chute par paliers puis un bon début de remontée cassé par l'arrivée du virus. On disait qu'elle était en disgrâce, même un peu plus que le secteur bancaire, délaissé dans son ensemble. Alors que les bénéfices sont restés globalement à des niveaux comparables et, en tout cas, n'ont pas diminué dans les proportions que la baisse des actions pourrait laisser supposer. Les banques ont d'autres activités rémunératrices que le prêt d'argent et elles ne prêtent pas à perte. L'inversion de la courbe des taux pousse à modifier les pratiques mais n'est pas en soi un obstacle insurmontable pour les grands professionnels de l'argent que sont les banques. Si c'était le cas, ça se saurait également déjà, et pas qu'un peu non plus.

Soyons forts et bon week-end.

5 réponses

  • 19 avril 2020 08:44

    Bonjour,
    est-il vraiment utile de créer dix nouveaux messages pour se moquer de ceux qui ne pensent pas que le cours de La Société générale va encore fortement baisser et réciproquement ? Il y a des arguments de réflexion pour et d'autres contre ; il serait intéressant de les partager mais je ne vois pas à quoi peuvent servir des imprécations, sauf à se décharger sur les autres de son angoisse de confiné quand on ferait mieux de la supporter soi-même et essayer d'égayer autant que faire se peu l'ambiance générale.
    Merci en tout cas à ceux qui restent polis et intelligents.
    Bon dimanche avec enfin un peu de pluie pour faire pousser les salades.


  • 19 avril 2020 10:08

    Bonjour oui très bien résumé et en 2008 les experts parlaient tous de faillite de banque et non
    actuellement.
    L'avenir nous le dira
    Bonne journée


  • 19 avril 2020 11:00

    pour résumer cette file..........les états vont s'endetter de nouveaux, pour la France ont prévoit 7% de déficit, ça tombe bien on y était en 2016 et on était pas plus malheureux........beaucoup de grandes entreprise n'ont pas utiliser les mesures de soutiens, elles étaient même prêtent à verser des dividendes jusqu'à l'arriver du moratoire Macron, dont d'ailleurs OUDEA a été claire dans une ITW, la décision de revenir sur les dividendes sera revu à l'automne, probablement versé sous forme d'actions.....Donc nous sommes bien pour l'instant dans une crise sanitaire, la contamination n'a pas gagné l'économie, et compte tenu des engagements de l'état vis-à-vis de l'économie il y a fort à parier qu'on passera ce cap dixit quoiquilencoute, quoi qu'il en soit, c'est bien l'état qui épongera les difficultés des petits commerce donc nos impôts.
    Depuis l'interdiction de la VAD, les basheurs sont de retour sur les réseaux prétextant la fin du monde, du grand n'importe quoi, avec aucun arguments solide à l'appui, si ce n'est leurs boules de cristal, en espérant nous faire vendre nos titres...bien au contraire....à 13/14 nous sommes bien dans les niveaux historiquement bas jamais atteint par la Générale, et essayer de nous faire croire qu'elle ira à 8....et pourquoi pas un penny stock tant qu'ils y sont.....perso je vise 21 en 2020, soit 50% de plus-value


  • 19 avril 2020 16:49

    Les quatre plus grands établissements bancaires français, BNP Paribas, Société Générale, Crédit Agricole et BPCE, ont investi une somme colossale dans les contrats de produits dérivés : 75 000 milliards d'euros à la fin 2015. Les produits dérivés se sont développés sans réglementation ni aucun contrôle jusqu'à atteindre 35 fois le PIB de la France pour ces banques.
    Seuls 4 % des produits dérivés servent réellement à protéger les banques contre des risques financiers.
    Les autres sont surtout utilisés pour spéculer tant pour le compte de la banque que de ses clients ( surveillez votre assurance vie et vos FCP ).


    Les risques encourus par les banques diffèrent en fonction de la nature du produit dérivé. Pour les contrats dérivés de taux qui sont majoritaires,
    le risque est basé sur la variation du cours du sous-jacent et non sur son montant total.
    Pour un CDS en revanche, qui est comparable à une assurance-crédit, le risque peut aller jusqu'à 100 % du notionnel.
    Le montant notionnel ne renvoie pas aux risques associés aux contrats de dérivés mais au volume de l'activité d'une banque.
    S'il est presque impossible de se faire une idée du risque encouru par les banques, il est certain qu'une faible perte suffirait à rogner leurs fonds propres.
    Certaines banques comme la Deutsche Bank ( +4.33% au 17 avril 2020 ... ) qui est une banque systémique dépassent les 50 000 milliards de dollars d'exposition
    aux produits dérivés alors que le PIB de l'Allemagne est de largement moins de 4 000 milliards d'euros ... COMMERZBANK
    ( Pour Philippe Béchade sur la Deutsche Bank : « C'est Lehman Brothers au cube » ).
    Sociéte Générale a fait une mauvaise pioche en 2018 s'associant avec Commerzbank autre enfant malade en Allemagne,
    l'accord porte sur les produits structurés et dérivés ...


  • 19 avril 2020 17:13

    Je ne suis pas assez pointu pour imaginer toutes les conséquences de cette situation. Je reste espérer qu'elle est connue par le système financier mondial et les gouvernements et qu'ils savent comment y faire face.
    Pas certain que je dorme mieux cette nuit.
    Merci tout de même.


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