Aller au contenu principal Activer le contraste adaptéDésactiver le contraste adapté
Plus de 40 000 produits accessibles à 0€ de frais de courtage
Découvrir Boursomarkets
Fermer
Forum EDF
12.000 (c) EUR
0.00% 
Ouverture théorique 7.000

FR0010242511 EDF

Euronext Paris données temps réel
  • ouverture

    0.000

  • clôture veille

    12.000

  • + haut

    0.000

  • + bas

    0.000

  • volume

    0

  • capital échangé

    0.00%

  • valorisation

    50 034 MEUR

  • dernier échange

    17.05.23 / 17:35:10

  • limite à la baisse

    Qu'est-ce qu'une limite à la hausse/baisse ?

    Fermer

    0.000

  • limite à la hausse

    Qu'est-ce qu'une limite à la hausse/baisse ?

    Fermer

    0.020

  • rendement estimé 2024

    3.31%

  • PER estimé 2024

    Qu'est-ce que le PER ?

    Fermer

    10.04

  • dernier dividende

    A quoi correspond le montant du dernier dividende versé ?

    Fermer

    -

  • date dernier dividende

    10.05.23

  • Éligibilité

    Qu'est-ce que le SRD ?

    Fermer

    Qu'est-ce que le PEA ?

    Fermer

    Non éligible Boursorama

  • + Alerte

  • + Portefeuille

  • + Liste

Retour au sujet EDF

EDF : la crise que nous connaissons relance le Nucléaire

10 oct. 2021 07:19

En protégeant l'énergéticien, le gouvernement envoie un signe fort aux marchés. En Bourse, l'action pourrait enfin se redresser. Notre analyse complète et notre conseil boursier sur le titre EDF.

Quel changement ! Une décision récente du gouvernement français n'a pas fait baisser le cours de Bourse d'EDF. Bien au contraire Le titre de l'électricien s'est apprécié de 5,9% en séance le 1er octobre en réaction à la mise en place du «bouclier tarifaire» voulu par le Premier ministre.
A lire aussi

Publié le 06/08/2021

EDF : les investisseurs perdent patience

Publié le 14/07/2021

EDF : réduction du charbon

Publié le 08/10/2021

Pétrole : en route vers les 100 dollars le baril ?

«Jean Castex sest engagé à ce que les tarifs réglementés de vente de lélectricité naugmentent pas dici la fin de lannée, a précisé Matignon. Le gouvernement fera en sorte que cette hausse, qui interviendra début 2022, ne dépasse pas 4% du tarif.»

À priori, cette intervention politique visant à protéger le pouvoir d'achat des Français de la flambée des prix de l'énergie aurait dû être pénalisante pour EDF.
Deux décisions favorables

Mais cette fois le gouvernement a choisi d'épargner le compte de résultat de l'électricien en prenant à sa charge le coût de cette mesure: tout d'abord en versant aux ménages disposant de faibles revenus un chèque énergie supplémentaire de 100 euros, ensuite en réduisant la taxe sur la consommation finale d'électricité.

Ainsi, l'augmentation des tarifs réglementés de l'électricité devrait être limitée à 4% début 2022. Enfin, le gouvernement s'est refusé, pour l'instant, à actionner le levier de l'Arenh (Accès régulé à lénergie nucléaire historique).

Ce dispositif, mis en œuvre depuis juillet 2011 pour favoriser le développement de la concurrence, permet aux fournisseurs alternatifs comme Engie et TotalEnergies d'acheter à EDF de lélectricité pour la revendre ensuite à leurs clients finaux.

Régulé, le tarif de l'Arenh a été fixé à 42 euros par MWh. Quand le prix du marché de gros est inférieur à ce niveau, les concurrents d'EDF préfèrent se fournir sur le marché. Mais dès que les prix flambent, comme en ce moment à plus de 125 euros/MWh, ils se tournent avantageusement vers le guichet de l'Arenh pour obtenir une énergie à bon marché. En 2020, la demande d'Arenh s'était élevée à 147 TWh, pour 2021 elle a été de 146,1 TWh.

Mais EDF n'est pas tenu de livrer au total plus de 100 TWh par an à prix cassé. Toutefois, le gouvernement a le pouvoir de relever le plafond de livraison de l'Arenh à 150 TWh. Il ne l'a pas fait, à la grande satisfaction des actionnaires d'EDF, au premier rang desquels figure lÉtat français, mais au grand dam de l'Union des industries utilisatrices d'énergie (Uniden) qui s'est sentie délaissée par Matignon.

L'Uniden est favorable à l'augmentation du plafond de l'Arenh «à condition que les fournisseurs alternatifs qui en bénéficient sengagent à en rétrocéder le bénéfice à leurs clients», a cru bon de préciser l'organisation, qui compte parmi ses adhérents de grandes entreprises cotées en Bourse comme Arcelormittal, Air Liquide, ADP, Saint-Gobain On le voit, à ce stade, la hausse des prix de l'électricité va donc profiter aux énergéticiens.
59% de nucléaire

Acteur européen de premier plan, EDF est tout d'abord un producteur délectricité. Fin 2020, le groupe comptait 120,5 GW de capacités installées dans le monde, dont 87 GW en France. Ce parc, constitué à 59% de centrales nucléaires, a produit lan dernier 501,9 TWh délectricité. Bien que le groupe développe depuis plusieurs années ses activités à linternational, plus des trois quarts des profits sont encore générés en France grâce à la production, mais aussi aux autres métiers du groupe.

Lénergéticien est également présent dans des activités comme le transport, la distribution, le négoce, la commercialisation et les services énergétiques. En tout, plus de 165.000 salariés font tourner cette gigantesque entreprise qui a réalisé un chiffre d'affaires de 69 milliards d'euros en 2020.

Pour EDF, la crise actuelle de lénergie en Europe est peut-être en train de changer la donne. La flambée des prix de l'électricité a mis en lumière des mécanismes de régulation apparemment défaillants, au moins du point de vue des Français qui ont financé durant de nombreuses années un parc nucléaire efficient, participant à l'indépendance énergétique du pays et leur offrant une électricité abondante et bon marché.
Profil vert

En outre, à l'heure où la transition énergétique et la chasse aux émissions de CO2 figurent au cœur de la stratégie de la Commission européenne, EDF peut revendiquer une production d'énergie à 90% bas carbone grâce au nucléaire (76,5%), à l'hydraulique (9,8%) et aux autres énergies renouvelables (3,8%).

Cependant, malgré son profil «vert», EDF tremble à l'idée de voir le nucléaire exclu du Pacte vert (Green deal) de la Commission européenne. Ce dispositif pourrait faire évoluer le cadre juridique européen au détriment des intérêts du spécialiste français de l'atome. Non seulement les investisseurs seraient tenus de s'éloigner de cette source d'énergie, mais en outre les aides dÉtat pourraient être sérieusement remises en cause. À ce stade, rien n'est encore joué.

Thierry Breton, Commissaire européen au marché intérieur, a déclaré en août qu'il n'y aura «pas de Green deal sans nucléaire». La France prendra en janvier prochain la présidence du Conseil de l'UE avant de passer le relais, en juillet, à la République tchèque, pays lui aussi favorable au nucléaire.

Si la crise actuelle de l'énergie en Europe parvient à faire bouger Bruxelles, elle pourrait aussi changer les comportements à Paris, où la programmation pluriannuelle de l'énergie prévoit de fermer encore douze réacteurs d'ici 2035, même si ces derniers peuvent encore produire de l'électricité pendant plusieurs années, comme c'était le cas pour les deux unités de Fessenheim arrêtées en 2020. À noter que lÉtat va indemniser EDF pour le manque à gagner enregistré sur la centrale alsacienne, et ce jusqu'en 2041, une compensation indexée en partie sur le prix du marché
Retour en grâce de l'atome ?

En Bourse, les investisseurs ont cru comprendre que le risque politique a baissé d'un cran avec l'intervention de Jean Castex. La crise du gaz montre que les pays européens ne sont pas à l'abri des pressions extérieures. Un choc qui rebat les cartes et souligne l'importance économique et diplomatique de l'indépendance énergétique de l'Union européenne. L'énergie nucléaire pourrait alors reprendre toute sa part dans cette stratégie, aux côtés des renouvelables.

Dans cette hypothèse, EDF acteur majeur dans ces deux domaines, pourrait attirer de nouveau les investisseurs, d'autant que la valeur d'entreprise de l'énergéticien ne représente que 4,7 fois l'excédent brut d'exploitation attendu fin 2022, contre une moyenne de 4,9 ces cinq dernières années.

21 réponses

  • 10 octobre 2021 07:48

    Sources,merci


  • 10 octobre 2021 07:56

    Cest de vous Tintin?


  • 10 octobre 2021 08:42

    non le REVENU


  • 10 octobre 2021 09:04

    d'aujourd'hui


  • 10 octobre 2021 09:49

    super. on voit que Macron a reçu les études d'EDF pour investir dans la production industrielle d'énergie électrique! effectivement des EPR mais à horizon 20ans. Mais de petits réacteurs développés plus vite? est ce techniquement possible. Je propose d'installer en doublon de nos centrales actuelles des Mini-centrales MPR pour produire à horizon 2030 de quoi fournir à la france l'électricité qu'elle consomme !


  • 10 octobre 2021 19:21

    Les minis réacteurs nucléaires sont des SMR 
    Faut-il les démultiplier à chaque coin de rue?
    Ce qui rendrait ce système très fragile et dangereux

    Mini-mini-mini ♫♫ tout est Mini dans notre ville ♫♫


  • 10 octobre 2021 19:52

    Bien vu !


  • 10 octobre 2021 20:37

    L'état commence à comprendre que ne pas torpiller EDF est favorable pour ses finances et donc celles des Francais.

    Evidement il faudra bien que EDF fasse des profits pour construire les prochaines centrales nucléaire

    C'est pas les alternatifs qui le feront. La majorité d'entre eux ne font que revendre l'énergie produite par EDF en prélevant un gros bénéfice

    Et quand ils ne font plus assez de bénéfice, ils mettent la clé sous la porte et renvoie les clients vers EDF et ses tarifs réglementés !


  • 10 octobre 2021 20:43

    Ce gouvernement est le premier vraiment pro business. On peut être pour ou contre, mais il a le sens des affaires. Sil laisse EDF se développer il en retirera les marrons du feu et ça évitera aussi  de mettre des cataplasmes en catastrophe en de faisant remonter les bretelles par lUE.


  • 10 octobre 2021 20:52

    La crise que nous connaissons était prévisible.... On a déjà eu 2 chocs pétroliers, et la France a voulu se nucléariser pour se protéger d'une éventuelle crise du pétrole.... n'en possédant pas 5 litres, tout comme le gaz...
    Depuis Hollande, on s'obstine à tuer la poule aux oeufs d'or et à saccager non seulement notre indépendance mais à dilapider la rente du nucléaire aux profits de l'Europe en voulant brader toute notre production nucléaire... pour la racheter sur le marché à 170 ou 390 € le MWh comme depuis juin....
    La pénurie de gaz et l'explosion de ses tarifs ont été une prise de conscience de l'énormité d'incompétence de nos 2 derniers exécutifs, cédant aux lubies écologiques et désidératas de Bruxelles de soutirer la rente nucléaire française à son profits.
    C'est une chance, que Bruxelles ait fait la fine bouche, lorsque B Pompili et B lemaire ont proposé de déverser toute la production nucléaire à 48 €..... alors que depuis janvier, les tarifs marché sont passés de 60 à 130 € le MWh depuis juin, pour exploser depuis août et taper jusqu'à 390 € le MWh en septembre....
    EDF aurait déversé toute sa production nucléaire sur le marché à prix bradé, ne couvrant même pas ses coûts de revient,  l'arenh disparu au profits d'une pérennisation tarifaire du nucléaire à raz les pâquerettes de toute sa production, les tarifs régulés auraient disparu pour les clients et tous les opérateurs français, alternatifs comme Enedis, deviendraient dépendant des prix marché pour toutes leurs fourniture, moins 20% d'ER et ERI....

    Une chance, inouïe de ne pas avoir concrétisé ce deal qui nous aurait fait rentrer dans une pérennisation du déclin de toute l'économie française...
    En, GB des entreprises électro-intensive et énergivores battent de l'aile, 7 alternatifs ont disparu en septembre, la GB est entré de plein front dans une brutale crise pour ne pas dire récession.... amplifiée par leur sortie de l'Europe.

    Si B Lemaire avait signé son deal à Bruxelles, on serait dans une situation bien pire encore, que la GB qui a conserver malgré tout,  toutes ses productions électriques , même si elles ont pris une claquette avec le gaz...
    Nous, c'est 72 % de notre production nucléaire que l'on aurait perdu à 42 ou 48 € le MWh, au profits du marché où il aurait fallu en retour aller se servir à prix marché .. 170 à 400 €/MWh... en décembre on était mort...
    Je pense, que l'on revient de très très loin, les forumeurs et PP n'en ont pas conscience, ne regardant que le cours EDF qui aujourd'hui à tendance à s'échapper des griffes des spéculations et reflète son exploitation aux coûts réels du nucléaire face au énergies carbonées volatiles dépendant des approvisionnements et de la politique carbone.

    Si B L et B P avait dealé Hercule il y a un an, le système électrique français n'aurait dépendu à 80 ou 90% que des tarifs marché aujourd'hui.... notre économie aurait implosé pour se replier sur elle-même....
    Les tarifs énergétiques aux clients aurait été multiplié X fois ne dépendant que du marché...

    Le MWh marché est monté jusqu'à 8 fois du coût que pratique EDF sur le national avec le nucléaire aujourd'hui..

     Ce n'est pas un scénario catastrophe, juste une échappée belle à l'apocalypse économique du deal auquel nos 2 ministres sont allés défendre à Bruxelles, et par chance que Bruxelles a refusere à 48 € le MWh c'était trop cher....

    C'est le squelette du grand EDF..... Sans rire, ils devraient y avoir des démissions ou renvois sans indemnité pour ne pas aller en prison pour faute professionnelle entrainant la France dans un marasme économique.


  • 10 octobre 2021 21:42

    Tu as raison Axia

    Hercule aurait finalement privé EDF (et donc l'état et le Francais) des énormes bénéfice que EDF va pouvoir tirer de son parc nucléaire 

    Hercule prévoyait de vendre toute l'énergie du parc Nucléaire autour de 49 E/MWH soit à peu près le prix de revient alors que les prix de marché sont tres très largement au dessus.

    Et bien d'accord vivement la fin de l'ARENH car ça permettra d'écrémer la concurrence.

    A part TOTAL et ENGIE, (qui produisent au mins en partie par eux meme) il y a pas grand chose de sérieux dans le paysage ! 


  • 10 octobre 2021 21:51

    Hercule prévoyait de vendre tt la produc nucléaire a 48€!
    Sources svp,merci


  • 10 octobre 2021 22:43

    maxpit
    20:37

    L'état commence à comprendre que ne pas torpiller EDF est favorable pour ses finances et donc celles des Francais.

    Evidement il faudra bien que EDF fasse des profits pour construire les prochaines centrales nucléaire

    C'est pas les alternatifs qui le feront. La majorité d'entre eux ne font que revendre l'énergie produite par EDF en prélevant un gros bénéfice

    Et quand ils ne font plus assez de bénéfice, ils mettent la clé sous la porte et renvoie les clients vers EDF et ses tarifs réglementés !


    Exact!.. Les alternatifs se sauvent avec le pognon
    Direction les Paradis Papers 

    l'Exécutif est à la masse
    Il ne voit rien
    Que ce qu'il veut bien voir


  • 10 octobre 2021 23:55

    Dans la rubrique actualité de boursorama, 20 ou 21 pages en arrière début d'année 2021
    pour toi mon TREO .......

    Il est vrai, que B Pompili et B Lemaire sont toujours restés discret dans la présentation de la réforme... d'Hercule, puis du grand EDF, qui c'est transformé en projet du grand bêtisier pour ne pas dire autre chose...

    Je dirai plus dans le flou et le vague que dans une présentation implacable.
    D'où, les distorsions entre les syndicats du service public EDF, de certains consommateurs, des députés / sénateurs , ......... et B Pompili, B Lemaire et autres négociateurs totalement à la rue à tous les niveaux.

    On nous prend pour des demeurés... ça... ça ne change pas dans le comportement de nos exécutifs qui s'imaginent au dessus de la crème, et nous au fond du bocal......

    Une info qui a transpiré.....

    EDF-Le président de la CRE pour un prix de 48 €/MWH pour le nucléaire existant

    information fournie par Reuters 18/01/2021 à 16:09 PARIS, 18 janvier (Reuters) -

    Le président de la Commission de régulation de l'énergie (CRE), Jean-François Carenco, a déclaré lundi au cours d'une conférence de presse téléphonique: * DÉFENDRE UN PRIX DE 48 €/MWH POUR LE NUCLÉAIRE EXISTANT DANS LE CADRE DU PROJET DE RÉFORME DISCUTÉ AVEC BRUXELLES

    Pour plus de détails, cliquez sur EDF.PA
    (Benjamin Mallet)

    Tu parais surpris, comme si tu découvrais le deal et surpris que je sois un opposant à ces modalités depuis le début.

    J'ai toujours été d'accord avec une re-nationalisation des productions thermiques, de RTE et de l'hydraulique...

    Je ne vois pas comment des monopoles de fait comme le patrimoine national inaliénable de RTE et de l'hydraulique aient pu être mis dans le panier de privatisation en 2004.....??? Un paradoxe incroyable

    Je vois mal tirer des lignes THT en parallèle pour crée une concurrence, de même pour les barrages, ou les cours d'eau font partie du patrimoine national inaliénable...

    J'ai toujours prôné qu'Enedis devait resté au dans le package bleu, pour assurer une péréquation tarifaire sur tout le territoire, ainsi que pérenniser les moyens et opérations de dépannage, maintenance sur tout le territoire, car fractionner en syndicats de distribution fragilise la couverture nationale d'intervention.

    Aucun syndicat n'a pas le 1/100 ème des moyens pour re construire ou rétablir les dispositifs de distribution après un évènement climatique... qu'ENEDIS et sa FIR
    Les assureurs en France ne couvrent pas se genre de sinistre, et EDF reste son propre assureur sur tout patrimoine industriel...

    En 200à le syndic de Bordeaux à déposé le bilan, et EDf reprendre à la volée.. le rétablissement d'alimentation de millions de clients...

    En fait, je ne vois aucun inconvénient à sortir les ERi du package, et supprimer ARENH et CSPE....
    Ces 2 montages financiers de subventions aux ERi et concurrences ont occulté la viabilité des systèmes et fait prendre des orientations totalement aberrantes...

    On a injecté 150 milliards ces 15 dernières années dans des ERi inutiles, et forcer EDF de distribuer 22 milliards en 10 ans à la concurrence...
    Sans parler, des 5 ou 6 milliards d'ardoise que l'Etat a envers EDF sur le déséquilibre de collecte de la CSPE....

    La France revient de loin, sauvée par le gong de négociations avortées.... Bruxelles refusée le rachat à 48 €/MWh... trop cher.... mieux vaux 130 à 400 aujourd'hui....

    Ouf, EDF exporte à prix marché et non pérennisé à raz les pâquerettes par le deal refusé par Bruxelles... une chance inouïe, on a frisé la correctionnelle économique d'un cheveux....

    Mais les 2 sinistres auraient dû avoir une mise à pieds sèche... même pas un VAE pour se rendre au pénitencier....😁


  • 11 octobre 2021 00:00

    Désolé pour les fautes de frappes et d'orthographes... à minuit mes neurones fatiguent un peu.....😋


  • 11 octobre 2021 06:52

    par contre il y aura 1 cout sur les mini réacteur vis à vis des tarifs de l'éléctricité


  • 11 octobre 2021 08:15

    Toujours aussi délirante CONTESSE ! Quand vas tu t'informer sur les SMR?


  • 12 octobre 2021 08:16

    Le président de la Commission de régulation de l'énergie (CRE), Jean-François Carenco, a déclaré lundi au cours d'une conférence de presse téléphonique: * DÉFENDRE UN PRIX DE 48 €/MWH POUR LE NUCLÉAIRE EXISTANT DANS LE CADRE DU PROJET DE RÉFORME DISCUTÉ AVEC BRUXELLES
    à ce grand visionnaire Carenco: Bravo ! moi je confirme =DEMISSION ! stop à l'incompétence !


  • 12 octobre 2021 08:25

    LArenh na plus lieu dêtre ! Stop  et vite cest le moment !!!


  • 12 octobre 2021 08:27

    il faut demander à Begbeider de rendre l'argent qu'il a volé à EDF. évidemment que son powéo c'était du pipo!


  • 12 octobre 2021 09:42

    axialof7 Ce que je retiens et c'est le plus important, c'est une chance que le deal ait été reporté...sauf si par malheur Éric Jadot été élu, ouarfff!


Signaler le message

Fermer

Qui a recommandé ce message ?

Fermer
Retour au sujet EDF

21 réponses

Mes listes

Cette liste ne contient aucune valeur.