CAC 40 : Gaz : Abonnement +10,82% HTT au 1er juillet ; kWh +13,06% HTT au 1er mai

remele

01 mai 2024 •17:11

que engie ?

a.zorglu

01 mai 2024 •18:51

Super, j'ai des actions Engie, c'est génial !

+100% depuis le COVID + 10% de dividende ( presque 20% pour ceux qui ont acheté plus bas) en 2024+ les dividendes versés les années précédentes.. 

ikarlein

01 mai 2024 •18:58

Mais non, y'a pas d'inflation en France... pourquoi irait-on relever les salaires... ? à part ça, l'Etat jackpote toujours : la tva paie bien...

fabooloo

01 mai 2024 •19:09

Là tu me surprends, car il n'y a jamais eu de libéralisation du marché de l'énergie.
Dans la "Mondialisation", il y a eu des trusts démantelés (en général publics) et d'autres pas (plutôt privés d'ailleurs).

Costany

01 mai 2024 •19:19

Ah, General Electric n'était pas une boîte privée...

fabooloo

01 mai 2024 •19:35

Exact, GE était privé dans les faits.
Mais à ma connaissance, ils ont eu des soucis en justice pour fraude fiscale en liens avec un paquet d'états des US.
Donc il me parait clair, que cet oligopole est tombé pour d'autres intérêts.
Mais j'avoue que ça ne reste que mon point de vue.

Costany

01 mai 2024 •19:42

🙃

fabooloo

01 mai 2024 •19:46

Quoiqu'il en soit, on nous martèle ici (comme aux US d'ailleurs) qu'il n'y a pas d'inflation.
Mais malheureusement les chiffres sont têtus.

C'est tellement politique que l'INSEE ne peut même pas l'ouvrir.

Niveau transparence on a fait mieux.

fabooloo

01 mai 2024 •19:54

Je conçois que l'Etat (donc nous contribuables) est pris à sa charge en tant qu’amortisseur le surcoût de l'énergie lors du début de la crise Ukrainienne, et qu'on paye les pots cassés aujourd'hui, mais dans ce cas, faut quand même être plus clair en termes de communication.
Les vues politiques ont des nocivités que l'on ne soupçonne parfois pas.

hfdl

01 mai 2024 •21:19

fabooloo renseigne toi. A l'origine (Adam et Eve), il y a eu le monopole  ou quasi en France d'EDF pour l'électricité et de GDF pour le gaz. L'électricité 'était pas chère (nucléaire, hydraulique) et le gaz un peu plus mais la Russie et l'Algérie savaient où était leur intérêt. Puis la commission européenne, travaillée au corps par l'Allemagne, décida que l'ouverture à la concurrence du marché de l'électricité et du gaz était un impératif, pour le bien-être des consommateurs européens : libéralisme était le mot libérateur, complaisamment importé des États-Unis. Alors on mélangea allègrement dans un joyeux "melting pot", appelé pudiquement "marché de gros", électricité, gaz et quelques énergies accessoires sous le vocable kWh. Puis vint la guerre en défense initiée par l'Ukraine, qui vit monter en flèche le cours du gaz, du blé et des exigences de M. Zelenski. Et alors les avantages compétitifs de la France s'envolèrent, à la grande satisfaction de l'Allemagne et de son allié indéfectible l'Autriche (plus quelques autres soyons justes). Le tout avec la complicité passive -et parfois active (j'ai les noms) - des gouvernements français de ces 10 dernières années en particulier de leurs ministres de l'écologie/environnement/énergie/transition. Aujourd'hui le consommateur français paie cette haute trahison.