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AB SCIENCE : Maladies incurables..

10 mars 2024 19:13

Et suicide et assisté et / ou soins palliatifs..
On préfère légiférer sur ce thème plutôt que de donner des accords sur de nouvelles molécules et priorités aux recherches 

12 réponses

  • 10 mars 2024 19:58

    Il ne s agit pas d opposer l un à l autre mais de prendre le pb par les 2 bouts..et puis la loi ne résulte que d une volonté  alors que la recherche releve de bien d autres choses...mais je comprends le parallèle indigné 


  • 11 mars 2024 08:50

    c'est vraiment dommage de tout mélanger dans le seul but d'accuser Mr MACRON de tous les maux !Une chose est d'essayer de guérir quand cela est encore possible une autre est d'autoriser à abréger les souffrances quand il est acquis qu'il n'y a plus rien à faire ! Il est vrai que vous vous classez vous-même à GAUCHE !


  • 11 mars 2024 09:21

    C’est plus vendeur pour le macronisme et cela détourne le regard !!


  • 11 mars 2024 09:43

    Les Hôpitaux sont dans un état lamentable et complètement saturés, leurs désinvestissements chroniques sont de plus en plus visibles pour leurs usagerst; les lits ferment à la pelle alors plutôt que de répondre à la demande de soins palliatifs en nette augmentation, la suite logique  vue par l'ex employé de banque depuis son château du faubourg St Honoré, c'est la gestion de la fin du baby boum par l'euthanasie boum.


  • 11 mars 2024 09:44

    Et je suis concerné


  • 11 mars 2024 11:01

    cires ce n’est pas un forum politique mais boursier 


  • 11 mars 2024 13:23

    Siposs c’est vous qui mélanger tout , ni anti Macron ni gauche ^^ vous avez tout faux ^^ … juste actionnaire d’AB en autres 👍🏻


  • 11 mars 2024 17:50

    Et pourtant MJGauche  l'un fait parler de l'autre :
    La maladie de CHARCOT au coeur des débats sur la fin de vie

    L’intervention de Charles Biétry illustre la spécificité de la maladie de Charcot dans les conversations sur l’aide à mourir. Aussi appelée sclérose latérale amyotrophique (SLA), cette pathologie neurodégénérative encore incurable paralyse progressivement les muscles, empêchant peu à peu de marcher, se nourrir, parler ou respirer sans aide, alors que le cerveau reste intact. En France, 5 000 à 7 000 personnes en sont atteintes.

    C’est « l’exemple de maladie le plus fréquent autour du débat sur la fin de vie depuis environ deux ans », vu « sa cruauté, sa rapidité d’évolution, son pronostic fatal dans les trois à cinq ans en moyenne, et l’absence, jusqu’alors, de thérapeutique donnant espoir », a expliqué à l’AFP Valérie Goutines Caramel, présidente de l’association pour la recherche sur la SLA (ARSLA).


  • 11 mars 2024 18:20

    Il a été dit en février :


     «Quand on va mourir à coup sûr, les patients et certains médecins sont prêts à assumer des risques», déclare à l’AFP Olivier Goy, diagnostiqué de la maladie de Charcot en 2020.

    Cet entrepreneur, fondateur de la start-up financière October, dépense 3 000 euros chaque mois pour acheter des molécules et réaliser sa propre préparation médicamenteuse, face à l’absence quasi totale de traitements innovants autorisés en France.

    La maladie de Charcot est à ce stade incurable. Elle se traduit par une paralysie progressive des muscles qui rend peu à peu impossible de marcher, se nourrir, respirer ou parler, créant un état d’enfermement du malade dont le cerveau et les capacités intellectuelles restent, eux, intacts.


    Consultez l’actualité en vidéo
    Une fois le diagnostic posé, l’espérance de vie n’excède pas trois à cinq ans. Mais certains traitements peuvent donner quelques mois de vie en plus.

    En France, c’est le cas du Riluzole, médicament aux effets modestes autorisé depuis les années 1990 et capable de prolonger la vie des malades d’environ trois mois. Mais à part celui-ci, aucun nouveau traitement n’a été approuvé depuis plus de vingt ans en Europe.

    Aux Etats-Unis et au Canada, un nouveau traitement, l’AMX0035 a été approuvé récemment.

    C’est «le premier espoir qu’on a depuis 20 ans : la première molécule qui s’adresse à tout le monde et qui donnerait des résultats d’un gain de survie» de jusqu’à six mois, explique Sabine Turgeman, directrice de l’Association pour la recherche sur la sclérose latérale amyotrophique (ARSLA), autre nom de la maladie de Charcot.

    «Pas assez vite»
    Reste que l’intérêt de la molécule reste incertain. Les autorités sanitaires américaines ont choisi de l’approuver sur la seule base d’un essai clinique sur un nombre limité de patients, a priori trop réduit pour avoir des certitudes.

    Son producteur, l’américain Amylyx, a engagé des essais plus larges et attend d’en savoir plus pour demander une autorisation en Europe. Mais pour nombre de patients, il sera trop tard puisqu’il faut environ deux ans pour réaliser des études.

    «Ça ne va pas assez vite. Le temps de la maladie n’est pas celui des administratifs», plaide Sabine Turgeman.

    Sur les quelque 8 000 malades français, certains font le choix, comme Olivier Goy, de se fournir à l’étranger en molécules pour fabriquer leurs propres médicaments. Avec des risques sanitaires, des problèmes de marché noir ou de prix exorbitants.

    Pour d’autres patients, l’unique façon d’accéder à des traitements innovants est d’intégrer un essai clinique. Mais il faut remplir des critères très sélectifs et courir le risque de recevoir pendant des semaines un simple placebo.

    Des conditions jugées inacceptables par patients et familles, là encore au regard de la vitesse d’évolution de la maladie.

    Quel degré de risque ?
    «On se sent totalement abandonnés», enrage auprès de l’AFP Sophie Garofalo, dont le frère est atteint de la maladie de Charcot. «Diagnostiqué depuis cinq ans, il ne rentre dans aucune case. Il est prêt à tout prendre, tout essayer. Nous avons contacté des structures pour intégrer des essais cliniques, mais soit il n’entre pas dans les critères, soit les essais ont déjà commencé», déplore cette aidante.

    Les associations de patients réclament, entre autres, des critères moins sélectifs d’accès aux essais et un assouplissement des règles d’accès précoce aux nouveaux médicaments.

    «Le temps est très limité. Dans le cas de la maladie de Charcot et dans l’intérêt des patients, on doit pouvoir avoir un dispositif et une flexibilité un peu différents», estime Alain Moussy, dirigeant du laboratoire AB Science, qui développe un traitement –le masitinib– dont les premiers résultats font état de gains de mois de survie et d’effets bénéfiques sur les fonctions motrices chez certains patients ..


  • 12 mars 2024 09:17


    https://www.msn.com/fr-fr/sante/other/atteint-d-une-maladie-incurable-antoine-me snier-fond-en-larmes-en-direct-en-apprenant-qu-il-vient-de-devenir-grand-p%C3%A8 re/ar-BB1jHeX6?ocid=mailsignout&pc=U591&cvid=c9008519078e4065974c4c616da 5c611&ei=15


  • 12 mars 2024 09:19

    le débat va peut être mettre en avant les recherches et les  avancées médicales ...


  • 12 mars 2024 16:44

    Un cas pourtant, Stephen Hawking ;  est ce son QI nettement au dessus de 160 qui l'avait maintenu en vie aussi longtemps? 'décédé en 2018 à 76 ans.


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