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CARMAT : Grand espoir et énormes risques

11 janv. 2022 18:45

Traductions d'une partie d'un article en anglais (BBC) 

Une lueur d'espoir aux côtés d'énormes risques

Ce moment décisif donne l'espoir d'une solution à la pénurie chronique de donneurs d'organes humains. Mais il reste encore un long chemin à parcourir pour déterminer si le fait de donner aux gens des organes d'animaux est la voie à suivre. Les cœurs de porc sont anatomiquement similaires aux cœurs humains mais, naturellement, ils ne sont pas identiques. Ce n'est pas idéal, comparé à l'échange d'un cœur de donneur humain. Mais il est possible de les raccorder et de les faire fonctionner.

Le plus gros problème est le rejet d'organes. Ces porcs sont élevés pour ne pas avoir de gènes susceptibles de provoquer un rejet. Ils sont clonés avec certains gènes « invalidés » et élevés jusqu'à ce qu'ils atteignent un âge où leurs organes sont suffisamment gros pour être récoltés en vue d'une transplantation.

Il est trop tôt pour savoir comment M. Bennett s'en sortira avec son cœur de porc. Ses médecins étaient clairs que la chirurgie était un pari. Les risques sont énormes, mais les gains potentiels le sont aussi.

4 réponses

  • 11 janvier 2022 18:47

    On est encore loin de la commercialisation

    En attendant, AESON est commercialisé, CARMAT a plusieurs années de monopole devant elle, en attendant, elle peut développer une version miniaturisé et sans accessoires externes.

    Le patients pourront alors choisir entre un cœur de porc (s'il sera commercialisé un jour)  et un cœur artificiel, une machine peut être beaucoup plus fiable qu'un organe biologique.


  • 12 janvier 2022 08:47

    Pour ce qui est de la performance et de la fiabilité, je ne prendrais pas de pari.

    Les éléments mécaniques qui bougent s'usent et il faut les remplacer périodiquement.
    Les éléments biologiques vieillissent, mais, entre temps, ils se réparent au quotidien.

    D'autre part, les éléments biologique ont été mis au point pendant des millions d'années.


  • 12 janvier 2022 09:12

    Shamrock, je ne suis pas d'accord avec toi.  
    Les cœurs aeson ont été décortiqués après avoir donné un surcroît de vie à des patients.  Pas de trace d'usure constatées sur les pièces mobiles . 

    Un Aeson est sensé avoir une espérance de bon fonctionnement au moins égal à 5 ans.  

    Les leçons à tirer d'une transplantation d'un cœur animal sont à venir et nous sommes trop nuls pour prévoir ce qui va se passer.  Des millions d'années certainement pas pour remplacer des organes par ceux d'une autre espèce. Cet argument ne tient pas la route.


  • 12 janvier 2022 09:24

    J'ai cru comprendre que dans l'Aeson, les éléments les plus critiques, la membrane et les valves, sont d'origine biologique ?

    Pour ce qui est de la fiabilité des ensembles techniques complexes, il se trouve que j'ai développé pendant trente-cinq ans des systèmes incluant de la mécanique, de l'électronique et du logiciel, certains pour des applications médicales critiques. On sait effectivement concevoir pour et anticiper une durée de vie moyenne, mais ça reste limité et d'autant plus coûteux que la durée est longue. On évite rarement les inspections périodiques, les remplacement et la maintenance préventive.

    Ceci dit, pour une implantation transitoire, on sait faire. La base de la fiabilité c'est tout de même la simplicité, voir la sonde voyager, construite avec les technologies de l'époque et de bons gros transistors, qui poursuit son voyage au delà du système solaire et dont on pouvait encore, il y a peu, recevoir les signaux radio.
    Les problèmes commencent souvent quand on cherche à miniaturiser.

    Ce ne sont que des considérations d'ordre général dont les formidables concepteurs d'Aeson savent tirer le meilleur parti.


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