En 2010, un boulanger achète un yearling 8.000 euros. Deux ans plus tard, Saônois, le petit cheval qui ne payait pas de mine, remporte le prestigieux Prix du Jockey Club. Aujourd’hui retraité des courses, il aurait rapporté plus d’un million de gains à son heureux propriétaire.
Preuve qu’avec un petit budget, on peut rivaliser avec les célèbres écuries de l’Aga Khan, du cheik Al Maktoum, de la famille Wildenstein, de Xavier Niel, patron de Free, et de celle de Gérard Augustin-Normand, fondateur de Richelieu Finance.
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