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Crise grecque : Tsipras avait un plan B nommé Poutine
information fournie par Le Point 25/07/2015 à 10:34

Financer le Grexit : voilà ce qu'aurait demandé Alexis Tsipras au président russe, au lendemain de sa victoire au référendum. Le journal grec To Vima , repris par le quotidien suisse Le Temps

, affirme que le Premier ministre grec avait requis un prêt de 10 milliards de dollars auprès de Vladimir Poutine. Objectif de cet emprunt : imprimer les nouvelles drachmes. Et se rapprocher du giron de la Russie pour mieux quitter celui de Bruxelles. Alexis Tsipras estimait d'ailleurs, sur la chaîne grecque ETR, que pour « qu'un pays puisse imprimer sa propre monnaie, il a[vait] besoin de réserves dans une monnaie forte ».

Problème, Vladimir Poutine n'aurait pas été sensible à l'allégeance d'Alexis Tsipras. Il aurait refusé le prêt, toujours selon To Vima , proposant en revanche une avance de 5 milliards de dollars sur le gigantesque gazoduc South Stream, qui passera par la Grèce. Un refus qui a contraint le Premier ministre grec à accepter les conditions de Bruxelles, malgré les résultats du référendum, analyse le quotidien grec.

La Chine et l'Iran à la rescousse

Toujours selon To Vima , repris par le Greek Reporter , Tsipras avait... Un plan C, en cas de fin de non-recevoir russe à son plan B. Il aurait ainsi sollicité la Chine et l'Iran, en vain. Pour étayer sa réflexion, le Premier ministre aurait également fait plancher des employés du ministère des Finances sur l'exemple de la...

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12 commentaires

  • 31 juillet 16:18

    Et il y en a qui pleurent pour ces zi.got.os !!!!


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