Le Revenu
Pour ces champions tricolores, dont les positions au Brésil sont déjà bien établies, les contrats remportés et liés à la Coupe du monde n'impressionnent pas tant par leur montant. L'édition 2014 s'annonce, certes, comme la plus chère de l'Histoire avec des investissements directs estimés à 28,1 milliards de réals par la Société Générale, «mais ce sont surtout les entreprises locales qui ont joué les premiers rôles», constate Benoît Trivulce, président d'Ubifrance Brésil, agence pour le développement des entreprises françaises dans le pays. Pour les groupes étrangers, participer à la «Copa» relève donc avant tout du prestige.
C'est une belle opportunité d'améliorer l'image et la réputation d'une marque. Ce qui n'est pas, non plus, totalement anodin, alors que se profilent l'année prochaine les célébrations du 450e anniversaire de Rio de Janeiro, ville qui organisera
0 commentaire
Vous devez être membre pour ajouter un commentaire.
Vous êtes déjà membre ? Connectez-vous
Pas encore membre ? Devenez membre gratuitement
Signaler le commentaire
Fermer