Aller au contenu principal Activer le contraste adaptéDésactiver le contraste adapté
Plus de 40 000 produits accessibles à 0€ de frais de courtage
Découvrir Boursomarkets
Fermer

Corée du Nord-Il faut garder l'option militaire-Boris Johnson
information fournie par Reuters 23/10/2017 à 12:00

    LONDRES, 23 octobre (Reuters) - L'option militaire doit 
rester sur la table dans le dossier du programme nucléaire de la 
Corée du Nord, a déclaré lundi le chef de la diplomatie 
britannique, Boris Johnson, tout en précisant que cette 
hypothèse n'était souhaitée par personne pour résoudre la 
tension dans la péninsule coréenne. 
    "Je ne pense pas que quiconque puisse vouloir de façon 
concevable une solution militaire à ce problème", a déclaré le 
secrétaire au Foreign Office, qui s'exprimait lors d'un discours 
à Londres. 
    "Et cependant, clairement (...), la possibilité d'une forme 
d'option militaire (...), cette possibilité doit au moins être 
maintenue théoriquement sur la table", a-t-il ajouté. 
    Le secrétaire américain à la Défense Jim Mattis, qui entame 
lundi une tournée d'une semaine en Asie, a fait savoir qu'il 
s'entretiendrait avec ses alliés asiatiques au sujet de la Corée 
du Nord et de la crise née des provocations "irresponsables" de 
Pyongyang. 
    La Corée du Nord a fait savoir qu'elle ne prévoyait pas de 
négociations avec Washington sur son programme nucléaire, car la 
possession de l'arme atomique est "une question de vie ou de 
mort".   
    Le président américain Donald Trump et le Premier ministre 
japonais Shinzo Abe se sont entretenus au téléphone dimanche et 
se sont mis d'accord pour accroître la pression sur le régime 
communiste de Pyongyang, a déclaré lundi le secrétaire général 
adjoint du gouvernemnt japonais, Yasutoshi Nishimura. 
    Donald Trump doit se rendre au Japon le 5 novembre. Les deux 
dirigeants ont l'intention de disputer une partie de golf, a 
ajouté le sectaire général adjoint. 
    L'ancien président américain Jimmy Carter s'est dit prêt à 
se rendre en Corée du Nord pour jouer les médiateurs si 
l'administration Trump le lui demande.   
 
 (Andrew MacAskill et David Milliken; Danielle Rouquié pour le 
service français) 
 

0 commentaire

Signaler le commentaire

Fermer

Mes listes

Cette liste ne contient aucune valeur.