Une des deux illustrations majeures de l'innovation française dans le secteur, l'A350 d'Airbus.(©Airbus)
Cocorico ! N’en déplaise aux adeptes du french bashing et aux défenseurs de la thèse du déclin industriel français, la France est un acteur de poids dans l’aéronautique-défense, un secteur très dynamique. C’est ce que vont se dire les 300 000 visiteurs attendus au Bourget pour le 51e Salon international de l’aéronautique et de l’espace, le plus grand événement au monde consacré à l’industrie qui se déroulera du 15 au 21 juin.
Un poids accru en BourseL’Hexagone est le deuxième exportateur mondial d’aéronautique après les États-Unis. Le secteur joue un rôle moteur dans son économie : de loin premier contributeur à la balance commerciale du pays, c’est également l’un des principaux recruteurs et l’un de ceux qui investissent le plus en R&D.
Bloc "A lire aussi"La France compte aussi plusieurs groupes de taille mondiale. À 110 milliards d’euros, leur valeur boursière cumulée a doublé en quatre ans et quadruplé en à peine six ans ! Cette envolée s’est accompagnée d’une nette progression de la part du public, sous l’effet de cessions de participations d’actionnaires historiques. L’État s’est ainsi allégé au capital de Safran et d’ Airbus Group , ce dernier ayant aussi connu le départ de Lagardère et de Daimler. L’ex-EADS a, de son côté, initié sa sortie de Dassault
3 commentaires
Vous devez être membre pour ajouter un commentaire.
Vous êtes déjà membre ? Connectez-vous
Pas encore membre ? Devenez membre gratuitement
Signaler le commentaire
Fermer