
En dix ans, le prix de l'immobilier à Lyon à progresser de plus de 50% (© M. Simon)
+ 50% à Paris et Lyon, -32% à Saint-Étienne : entre 2009 et 2019, l’évolution du prix des logements a été très disparate d’une commune à l’autre. Le nouveau paysage immobilier, ses caractéristiques et les villes à privilégier pour un investissement locatif gagnant.
Chaque année au printemps et à l’automne, Le Revenu publie le prix des logements, les loyers et la rentabilité locative dans quelque 220 villes en association avec MeilleursAgent. Une information de référence nécessaire pour réussir votre achat ou votre vente.
Cette année, nous mettons l’accent sur les tendances de long terme en analysant l’évolution des prix (maisons et appartements) sur dix ans dans les cinquante plus grandes agglomérations.
Entre 2009 et 2019, la cote des appartements et des maisons a reculé de 1%. Une moyenne qui ne reflète pas l’extrême hétérogénéité des situations. Sept villes enregistrent une hausse supérieure à 20% : Paris (+ 54%), Lyon (+53,7%), Bordeaux (+42,7%), Nantes (+30,8%), Toulouse (+24,2%), Rennes (+23,4%) et La Rochelle (+22,9%).
Et sept agglomérations affichent une baisse d’autant : Saint-Étienne (-31,6%), Béziers (-26,8%), Calais (-26%), Roubaix (-23,2%), Dunkerque (-22%), Tourcoing (-21,7%) et Mulhouse (-21,2%). Zoom sur les gagnants de l’immobilier depuis dix ans : Paris, Lyon, Bordeaux
Paris confirme son pouvoir d’attractionLe marché immobilier parisien est à part. Le neuf est rare (inexistent dans les arrondissements centraux) et la cote progresse alors que la population diminue ! Ce qui ne veut pas dire que les prix grimperont jusqu’au ciel.
Comme dans le reste de la France, les professionnels de l’immobilier
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