Faites les bons choix fiscaux pour votre divorce. (© Schutterstock)
Droits de partage, quotient familial, pension alimentaire, prestation compensatoire, plus-value sur la résidence principale : la séparation impacte vos impôts. La matière est complexe, mais à forts enjeux financiers. Le Revenu vous guide pour vous aider à faire les bons choix et ne pas payer un euro de trop.
Pour les couples mariés, la fiscalité a beau être l’affaire des deux conjoints, elle n’est souvent gérée que par un seul. Une fois divorcé, chacun va devoir faire face, seul, à ses obligations fiscales.
Dans les négociations que vous allez mener avec votre avocat, il va falloir tenir compte des effets du divorce sur votre imposition, notamment ceux liés aux flux financiers qu’entraîne la rupture au sein du couple (pension alimentaire, prestation compensatoire, etc.). La juste compréhension de ces effets doit vous permettre d’optimiser les conséquences fiscales de votre séparation.
Obligations déclaratives: actualisez votre situationLe premier réflexe est de signaler à l’administration fiscale votre changement de situation. La démarche s’effectue en ligne dans la rubrique «gérer mon prélèvement à la source». Vous devez indiquer au fisc votre changement de situation et donner une estimation de vos revenus personnels ainsi que le nombre de personnes à charge afin qu’il recalcule votre taux de prélèvement à la source.
Plus besoin d’attendre un an pour voir votre situation mise à jour. Le nouveau taux est communiqué aux organismes qui vous versent un revenu (employeurs, caisses de retraite…) dans un délai maximum d’un mois. L’année du divorce, chacun doit faire sa propre déclaration de revenus pour l'année entière.
Quotient familial: si vous vivez seul, indiquez-le Lire la suite sur LeRevenu.com
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