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Sommet de Paris sur l'Ukraine : la sécurité de l'Europe est à "un tournant", affirme Von der Leyen
information fournie par Boursorama avec Media Services 17/02/2025 à 15:38

"La sécurité de l'Europe est à un tournant. Oui, il s'agit de l'Ukraine, mais c'est aussi nous qui sommes concernés" a déclaré Ursula Von der Leyen sur X, le 17 février 2025. ( AFP / PETRAS MALUKAS )

"La sécurité de l'Europe est à un tournant. Oui, il s'agit de l'Ukraine, mais c'est aussi nous qui sommes concernés" a déclaré Ursula Von der Leyen sur X, le 17 février 2025. ( AFP / PETRAS MALUKAS )

Dès son arrivée à Paris pour un mini-sommet sur l'Ukraine ce lundi 17 février, la présidente de la Commission européenne a fait part de son inquiétude sur la sécurité en Europe.

"Je viens d'arriver à Paris pour des discussions cruciales. La sécurité de l'Europe est à un tournant. Oui, il s'agit de l'Ukraine, mais c'est aussi nous qui sommes concernés", a-t-elle écrit sur X .

"Nous avons besoin d'un état d'esprit d'urgence. Nous avons besoin d'un sursaut dans notre défense et nous avons besoin des deux maintenant ", a-t-elle ajouté.

L'UE et ses Etats membres "joueront un rôle central"

Antonio Costa, le président du Conseil européen, qui regroupe les dirigeants des 27, doit également participer à ce sommet présenté comme informel dans la capitale française. Il s'agit du début d'un "processus" dans lequel l'UE et ses Etats membres "joueront un rôle central", a-t-il estimé sur X.

Outre ces deux dirigeants de l'Union européenne, seront présents à cette réunion : le président français Emmanuel Macron, les chefs de gouvernement de l'Allemagne, du Royaume-Uni, de l'Italie, de la Pologne, de l'Espagne, des Pays-Bas et du Danemark, ainsi que le secrétaire général de l'Otan Mark Rutte.

Désaccords sur l'envoi de soldats en Ukraine

L'envoi de troupes sur le territoire urkainien ne fait pas l'unanimité au sein des pays membres de l'UE.

Alors que le Royaume-Uni et la Suède se sont dits prêts à envoyer des soldats si nécessaire, d'autres Etats ont exprimé leur désaccord ou réticence.

La Pologne a fait savoir par son Premier ministre Donald Tusk, qu'elle n'enverrait pas de troupes en Ukraine. L'Allemagne quant à elle, juge ces discussions "prématurées". Christiane Hoffmann, une porte-parole du gouvernement allemand a déclaré : "Nous nous sommes exprimés à plusieurs reprises sur le fait que nous devions d'abord attendre de voir si et comment la paix, comme nous l'espérons, s'instaure en Ukraine".

11 commentaires

  • 17 février 18:11

    Cette Europe socialiste ne vaut pas un clou. C'est cette Europe-là qui a coulé la France. Qui a voulu faire une Europe à 28 où personne n'est d'accord? Les dirigeants actuels. Ils sont TOUS responsables de ce désastre. Cette Europe n'est bonne qu'à nous pondre des normes écolo. On n'en veut plus !


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