Elle a été de tous les combats de La France insoumise aux côtés de Jean-Luc Mélenchon. À l’aube d’une nouvelle campagne présidentielle, Raquel Garrido, élue municipale de Bagnolet et chroniqueuse chez Cyril Hanouna, analyse les ressorts de cette candidature de la dernière chance. L’acharnement du système médiatique, la bonne affaire des sondages, la fièvre populiste d’Éric Zemmour… Autant d’obstacles entre les tenants d’une VIe République et l’accession au pouvoir. Et pour s’adresser au « peuple », quoi de mieux que de fustiger la bourgeoisie, l’oligarchie ou encore le pouvoir de l’argent ? Mais serait-ce suffisant ?
Fidèles à leur stratégie, les Insoumis espèrent rassembler au « nom de l’union populaire », en pariant sur l’effondrement d’une partie des candidatures de gauche. Même Arnaud Montebourg, pourtant le chantre de la réindustrialisation, est prié de s’effacer. À moins de sept mois d’une élection cruciale, petit précis d’insoumission en vue de la présidentielle.
Le Point : Vous étiez porte-parole de La France insoumise en 2017. Cette campagne s’annonce plus difficile pour Jean-Luc Mélenchon critiqué tant sur sa personnalité que pour son incapacité à susciter l’union. La gauche rassemblée a-t-elle encore une chance de l’emporter en 2022 ?
Raquel Garrido : Jean-Luc Mélenchon
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