C'est l'une des craintes de cet été. Sur les réseaux sociaux ou dans son cercle d'amis, presque tout le monde a entendu le récit de personnes dont l'appartement a été infesté par des punaises de lit. S'installant dans les sommiers de lit, elles s'activent dans le noir pour piquer leur victime et s'alimenter en sang, avec jusqu'à trois piqûres par nuit. Et, à raison de cinq à dix œufs pondus par jour par la femelle, les colonies peuvent vite grossir et faire vivre un calvaire aux personnes concernées.
Au-delà des démangeaisons et du manque de sommeil, la présence des punaises de lit revêt surtout des conséquences psychologiques importantes.
Comment la punaise de lit nous pourrit la vieLésions cutanéesC'est souvent après l'apparition de rougeurs sur la peau que la présence de punaises de lit est détectée. Cependant, le parasitologue Arezki Izri, cité dans le rapport intitulé « La punaise de lit, un fléau à l'ombre des politiques publiques » de l'ancienne députée LREM Cathy Racon-Bouzon, souligne que 30 % des individus ne développent aucune réaction physique.
Pour les 70 % restants, les piqûres ressemblent à celles des moustiques. Elles peuvent se regrouper par trois ou quatre et sont généralement situées sur les parties découvertes du corps (visage, mains, bras, jambes). Elles provoquent des lésions cutanées plus ou moins importantes, ainsi que des démangeaisons. Des réactions allergiques à leur
... Source LePoint.fr
0 commentaire
Vous devez être membre pour ajouter un commentaire.
Vous êtes déjà membre ? Connectez-vous
Pas encore membre ? Devenez membre gratuitement
Signaler le commentaire
Fermer