Un repas trop riche, une soirée de faux-semblant, la chasse aux cadeaux parfaits, des disputes, des incompréhensions, des secrets de famille. Pour certains, la période de Noël est synonyme d’angoisses et de tensions. Mais, chaque année, ils sont peu à oser s’affranchir de cette obligation sociale. «Il ne faut pas se forcer. L’important, c’est de s’écouter pour aller bien», conseille d’emblée ValérieSengler, psychanalyste à Pariset à Saint-Mandé.
Si le proverbe assure qu’il vaut mieux être seul que mal accompagné, la plupart prennent sur eux et affrontent leur famille une fois de plus ce soir-là. Prêts à retrouver ceux qu’ils ont soigneusement évités tout le reste de l’année. «Il ne faut pas toujours faire des efforts, il faut se recentrer sur soi-même et ses besoins. Mettre ses envies au second plan au détriment des injonctions sociétales n’est pas une bonne option», souligne Valérie Sengler. Un besoin bien compris par Pierre, 50ans, qui a décidé de s’écouter. «Plutôt que de me forcer et de passer une mauvaise soirée, je préfère passer la soirée seul avec un bon repas et revoir ma famille l’année prochaine.»
«Faites-vous un cadeau»
En effet, passer le réveillon de Noël et le repas du 25décembre seuln’est pas forcément synonyme de soirée morose. «C’est un moment que vous avez décidé de vous accorder, une bulle de sérénité. Pour cette soirée,
... Source LePoint.fr
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