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Omicron contaminera plus de la moitié de la population européenne en 6 à 8 semaines, dit l'OMS
information fournie par Reuters 11/01/2022 à 14:50

OMICRON CONTAMINERA PLUS DE LA MOITIÉ DE LA POPULATION EUROPÉENNE EN 6 À 8 SEMAINES, DIT L'OMS

OMICRON CONTAMINERA PLUS DE LA MOITIÉ DE LA POPULATION EUROPÉENNE EN 6 À 8 SEMAINES, DIT L'OMS

COPENHAGUE (Reuters) - Plus de la moitié de la population européenne devrait avoir été contaminée par le variant Omicron du coronavirus responsable du COVID-19 dans les six à huit semaines à venir, a prévenu mardi le directeur régional de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) pour l'Europe.

Au cours de la première semaine de 2022, plus de sept millions de nouvelles infections par le coronavirus SARS-CoV-2 ont été recensées, soit un doublement sur une période de deux semaines, a souligné le Dr Hans Kluge lors d'un point de presse.

"A ce rythme, l'Institute for Health Metrics and Evaluation (un institut de statistiques en santé publique basé à Seattle, aux Etats-Unis-NDLR) prévoit que plus de 50% de la population en Europe sera infectée par Omicron dans les six à huit semaines qui arrivent", a-t-il déclaré.

A ce jour, le variant Omicron a été identifié dans 50 des 53 pays d'Europe et d'Asie centrale relevant du bureau régional de l'OMS pour l'Europe, a précisé le Dr Hans Kluge.

Soulignant que les données collectées au cours des dernières semaines confirment la forte transmissibilité de ce variant, le Dr Hans Kluge a expliqué qu'au vu de l'ampleur "sans précédent" de la contagion, l'inéluctable hausse du nombre d'hospitalisations commençait à se faire sentir.

Concernant les connaissances au sujet de ce variant, de plus en plus de nouvelles données suggèrent qu'il infecte davantage les voies respiratoires supérieures (du nez à la gorge) que les poumons, à la différence des précédentes souches, ce qui expliquerait la moindre sévérité des symptômes chez les patients contaminés qui développent un COVID-19.

L'OMS estime cependant que davantage d'études sont encore nécessaires pour démontrer formellement ce point, de la même façon que des travaux supplémentaires sont requis pour préciser l'efficacité des vaccins déjà disponibles contre le variant Omicron, et l'éventuelle nécessité de développer ou non des vaccins spécifiquement dirigés contre ce variant.

(Reportage Nikolaj Skydsgaard et Jacob Gronholt-Pedersen, avec la contribution d'Emma Farge ; version française Myriam Rivet, édité par Sophie Louet)

38 commentaires

  • 11 janvier 22:33

    bird comme tu le sais des jeunes sans pathologie en bonne santé finissent aussi en réa ... serait en cause un géne ... faut avouer que certains vont fumer jusqu à 90 ans sans connaitre de cancer ... on est pas tous égaux meme en bonne santé on peut etre un fragile qui s ignore ... tant que la maladie ne nous touche pas on est aveugle ...


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