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Luis Enrique-Pep Guardiola : une relation en cinq matchs
information fournie par So Foot 20/01/2025 à 09:49

Luis Enrique-Pep Guardiola : une relation en cinq matchs

Luis Enrique-Pep Guardiola : une relation en cinq matchs

Ce mercredi, le PSG et Manchester City s’affrontent dans un duel de survie en Ligue des champions (21h). L’occasion pour Luis Enrique et Pep Guardiola de se retrouver. Retour sur les cinq matchs qui ont fait leur relation d’adversaires, coéquipiers et maintenant coachs.

→ Real Madrid – FC Barcelone (1-1, 18 octobre 1991) : la rencontre

En 1991, le Clásico ressemblait à deux courbes convergentes. Celle d’une progression fulgurante pour le FC Barcelone de Johan Cruyff, alors en pleine construction de sa Dream Team des nineties, et celle, un peu moins reluisante, d’un Real Madrid à bout de souffle jusqu’à la fin de la décennie. Au milieu de tout cela, deux jeunes chevaux sauvages faisaient ainsi leurs premiers galops. Luis Enrique, 21 ans, milieu de terrain acharné et complètement taré à Madrid, et Josep Guardiola, 20 ans, relayeur appliqué et attentif à Barcelone. Ce 18 octobre 1991 constitue donc la première rencontre de deux bonshommes qui, sans le savoir, passeraient les années suivantes sous les mêmes couleurs, mais avec des tempéraments bien, bien différents.

→ Pologne – Espagne (2-3, 8 août 1992) : la consécration

En 1992, le football français vivait un joli bordel. Les tensions entre joueurs du PSG et l’OM s’achevaient en effet par un pugilat tristement célèbre au Parc des Princes et une vie de vestiaires exécrable en équipe de France, entre clans des deux camps. En Espagne, c’était tout l’inverse. L’été 1992 était symbole de Jeux olympiques, censés faire basculer un pays – encore écrasé par le poids des traditions – dans la modernité. Et bien au-delà de l’Espagne, c’est surtout Barcelone, terre de ces JO, qui devait réussir la mission. Toujours en marge d’une société ibérique peu enjouée par l’identité catalane d’une ville que l’on disait alors vieillotte, Barcelone devait, à elle seule, changer une partie de l’image du Royaume. Job done . Les Jeux répondent aux attentes et, en point d’orgue, la Roja remporte l’or au Camp Nou en venant à bout de la Pologne dans le temps additionnel (2-3). Dans le 4-4-2 classique de Vicente Miera, la paire de milieux alignée durant le tournoi porte le nom Enrique-Guardiola. Quelques années plus tard, ce sera au tour du FC Barcelone d’en profiter pleinement.…

Par Adel Bentaha pour SOFOOT.com

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