L'A321XLR, le dernier-né d'Airbus, a du mal à trouver sa place dans la gamme de l'avionneur européen. Pas de référence externe non plus, il n'a pas d'homologue chez le concurrent Boeing. En décryptant sa désignation d'A321XLR, on comprend mieux quelles seront ses missions.
L'évidence d'abord, leA est pour Airbus. Ensuite, 321 signe son appartenance à la famille 320, le biréacteur moyen-courrier à succès d’Airbus décliné en 318, 319, 320 et 321. Tous équipés des mêmes moteurs CFM ou Pratt & Whitney, ils ont détrôné le Boeing 737 et ses différentes versions. Avec un fuselage de 44,51 m, le 321 est le plus long de la famille de ces monocouloirs, et mesure 6,93 m de plus que le 320, ce qui lui permet de transporter jusqu’à 239 passagers contre 180.
C'est l'avion utilisé aux heures d'affluence sur Paris-Toulouse ou Paris-Nice, sur les grands axes européens et en week-end vers la Méditerranée. Comment reconnaître un A321 ? C'est facile, sur le fuselage en avant de l'aile, on compte deux portes d'accès à bord contre une seule sur les 320, 319 ou 318.
Pourquoi les avions sont-ils blancs ?XLR, pour eXtra Long Range, donne le ton quant à l'autonomie. Son rayon d'action, porté à 8 700 kilomètres (contre 5 300 km pour la version « standard »), lui permet de transporter 220 passagers pendant onze heures sans escale grâce à de nouveaux moteurs peu gourmands et à l'ajout d'un
... Source LePoint.fr
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