Face à l'inexorable montée de la troisième vague de l'épidémie de Covid-19, l'exécutif s'est finalement résolu à prendre des mesures plus restrictives pour tout le territoire. Fermeture des écoles et des commerces, déplacements limités à 10 kilomètres… Des mesures prévues pour durer jusqu'au début du mois de mai, déjà expérimentées par les Hauts-de-France, l'Île-de-France et les Alpes-Maritimes, la Seine-Maritime et l'Eure depuis le 20 mars.
Après une hausse exponentielle entamée mi-mars – le nombre de cas a presque doublé en trois semaines –, l'épidémie semble a minima ralentir, voire se stabiliser. Le nombre de cas quotidiens – en moyenne lissée sur sept jours – est légèrement inférieur à 40 000 depuis le 28 mars. Les données sont toutefois perturbées par le week-end de Pâques, où très peu de tests ont été réalisés, donnant forcément moins de cas positifs.
L'Île-de-France fortement touchée
La bonne nouvelle, c'est que le taux de positivité a amorcé une légère baisse. Au 4 avril, 7,5 % des tests revenaient positifs, contre 8,2 % une semaine plus tôt. Cet indicateur baisse quasiment partout, notamment dans les régions les plus touchées. Il est passé de 10,9 % le 28 mars à 9,7 % le 4 avril en Île-de-France, et de 9,6 % à 8,3 % sur la même période dans les Hauts-de-France. Dans les Alpes-Maritimes, où un confinement le week-end était déjà en vigueur dès la fin février,
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