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Bygmalion:« Tout le monde n'est pas M. Hollande», assène Sarkozy
information fournie par Le Point 15/06/2021 à 15:26

On ne l'a pas vu en trois semaines d'audience et son nom a été si peu évoqué qu'on en aurait presque oublié que c'est aussi son procès. Nicolas Sarkozy s'est présenté mardi au tribunal correctionnel de Paris, pour son interrogatoire sur les dépenses excessives de sa campagne 2012. Vêtu d'un costume et d'un masque noirs et d'une chemise blanche, il est entré dans la salle d'audience, l'air grave. Nicolas Sarkozy a pris place sur une chaise, au côté des ses co-prévenus, après avoir salué les deux représentants du parquet d'un signe de tête. À l'ouverture de l'audience et à la demande de la présidente, il s'est levé et s'est installé à la barre, face au tribunal.

« J'aimerais qu'on m'explique en quoi j'ai plus fait campagne en 2012 qu'en 2007. C'est faux ! Il n'y a pas eu d'emballement, a-t-il affirmé. L'emballement de la campagne ? C'est une fable », a insisté l'ex-président au début de son interrogatoire. Il est jugé pour « financement illégal de campagne » dans l'affaire Bygmalion, dont le procès s'est ouvert le 20 mai. Combatif, voire véhément, agitant les bras, haussant les épaules, se tournant parfois vers la salle d'audience de la 11e chambre pleine à craquer, l'ancien président de la République a catégoriquement réfuté la thèse de l'accusation, qui soutient que les dépenses de campagne ont explosé en raison du grand nombre de meetings du candidat-président. « Quand on parle de furie, on parle de

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1 commentaire

  • 15 juin 15:42

    Cela fait plus de 40 ans que tous nos élus se "gavent", d'une manière ou d'une autre..;.-(((


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