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Achraf Hakimi : le couloir prend le pouvoir
information fournie par So Foot 11/12/2024 à 13:42

Achraf Hakimi : le couloir prend le pouvoir

Achraf Hakimi : le couloir prend le pouvoir

Crucial mardi à Salzbourg (0-3), impressionnant dans son couloir droit cette saison, Achraf Hakimi s'impose comme le maître à jouer de Paris. Ça tombe bien, Luis Enrique et le PSG ne peuvent pas se passer du Marocain.

On dit souvent qu’il faut un poumon supplémentaire pour évoluer en tant que latéral dans le monde du foot. Achraf Hakimi en a peut-être carrément deux en rab. Encore en cannes pour débouler à tout vitesse sur son côté droit lors des dix dernières minutes de la victoire parisienne contre Salzbourg, le Marocain de 26 ans donne l’impression d’être l’alpha et l’oméga du PSG cette saison, par ses performances et son volume de jeu notamment. À l’heure où le Paris de Luis Enrique peine à imposer son football de façon régulière et où il s’appuie sur un effectif très jeune et assez peu expérimenté, il peut a minima s’appuyer sur l’un de ses seuls joueurs de classe mondiale, qui devrait même prolonger la fête.

Le lion de la classe

Auteur de deux passes décisives contre le club de la filière Red Bull, pour égaler Maxwell au XXI e siècle, Achraf Hakimi a des ailes dans le dos en ce début de saison. Avec ses trois buts et six passes décisives en 18 matchs cette saison, il fait partie des joueurs clés du collectif Rouge et Bleu, voire plus. Face à Salzbourg, même sans son compère habituel Ousmane Dembélé, le Marocain a illuminé le côté droit parisien. Avec Kang-in Lee qui rentrait beaucoup sur son pied gauche, et avec lequel il a superbement combiné sur le but de Désiré Doué, Hakimi s’est régalé, au point de toucher 138 ballons, un total seulement atteint par Marquinhos (142), mais dans un rôle bien différent. Il aurait même pu ajouter une passe décisive à son tableau si Gonçalo Ramos avait fait preuve de plus d’efficacité, alors que l’une de ses lourdes frappes aurait déjà pu provoquer l’ouverture du score du Portugais en début de rencontre. Certes il y a du déchet, comme ces 29 ballons perdus, record du match, mais il y a tellement de création pour compenser et donner l’impression d’être le dépositaire du jeu parisien, qui a tout à y gagner, puisque quand le Lion de l’Atlas rugit, Paris ne perd, presque, jamais.…

Par Julien Faure pour SOFOOT.com

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