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L'épidémie a ramené sur le devant de la scène le débat concernant la production française. Masques de protection, cadeaux de Noël… Nous sommes incités à consommer français. Mais qu'en est-il concrètement ? Une étude d'Opinionway pour l'agence Insign s'est penché sur la question, pour mesurer l'impact de la crise sur les habitudes des Français.
Le made in France a-t-il la cote - iStock-AlexLMX
La tendance générale
Avant de se lancer sur les effets de l'épidémie et des confinements sur les habitudes de consommation, il semble intéressant de jeter un œil aux tendances d'avant-crise. Début 2019, le cabinet Harris-Interactive rapportait, suite à un sondage en ligne, que le « Made in France » entrait à 33 % dans les critères d'une consommation plus responsable, derrière une consommation plus modérée pour favoriser la qualité. Dans son premier sondage sur les effets de la crise sanitaire sur la consommation, OpinionWay relève que 97 % des interrogés achetaient au moins « de temps en temps » un produit fabriqué en France. Ils étaient 36 % à choisir « systématiquement » ces produits. L'étude, dont les deux volets ont été mené pour l'agence Insign, évoque parmi ces aficionados une part de 70 % préférant des produits alimentaires nationaux. Deux facteurs sont soulevés par les plus réfractaires au Made in France : une provenance trop peu précise et un manque de choix.
Des tendances en ligne et hors-ligne
Après un premier sondage réalisé en mai et publié en juillet, OpinionWay a réalisé un second tour, en octobre, dont les résultats ont été publiés début décembre. En s'appuyant sur les retours de 1019 français âgés de 18 ans et plus, OpinionWay note que 64 % des interrogés affirment avoir augmenté leur consommation de produits français. Ils sont 61 % à en acheter « le plus souvent possible ». Appliqué à un burger, 67 % des sondés seraient prêts à payer plus cher (jusqu'à 3,10 euros) si les ingrédients étaient tous français. Dans le cas d'un T-shirt, le surcoût accepté serait de 7 euros. À noter que c’est une tendance plus franche chez les consommateurs dotés de revenus à partir de 24 000 euros par an. Ils sont par ailleurs 96 % à vouloir acheter au moins autant de Made in France qu'avant la pandémie. Les postes les plus concernés sont l'alimentaire, l'hygiène et la beauté et le textile – en augmentation depuis le dernier sondage. Le sondage note également une tendance en ligne. Ainsi, 65 % des interrogés préfèrent se tourner vers des sites français comme Cdiscount ou Rue du Commerce. La principale raison étant de pouvoir interagir, si nécessaire, avec un service client basé en France. Dans une moindre mesure, les sondés préfèrent une plateforme française pour que leurs données soient hébergées en France.
Confusions
Dans l'ensemble, le soutien économique reste le moteur majoritaire pour une consommation de produits de l’Hexagone, devant leur qualité et leur fraîcheur. La question environnementale reste un moteur pour 41 % des sondés. Reste que consommer français est davantage favorisé dans les professions aux salaires plus élevés. L'incertitude et les effets de la crise ne permettent pas à tous de dépenser plus. Un problème émane toutefois des sondages d'OpinionWay : la confusion face aux labels (Fabriqué en France, Origine France Garantie ou Made in France) et à leurs sens. Les résultats montrent que leur compréhension n'a pas progressé et pourrait même avoir reculé. Les résultats évoquent le cas de « Origine France Garantie ». 52% des répondants estiment que c'est un produit fabriqué en France, 47 % voient un produit conçu à partir de matières première française et 19 % considèrent que c’est un produit imaginé dans le pays. Ils étaient 4 % à considérer que cette appellation regroupe tous ces critères. Dans les faits, elle demande deux critères cumulatifs : au moins 50 % du prix de revient unitaire du produit et ses caractéristiques essentielles sont français.
Le présent article est rédigé par Labsense pour Boursorama. Cet article ne doit en aucun cas s'apparenter à un conseil en investissement ou une recommandation d'acheter, de vendre ou de continuer à détenir un investissement ou un placement. Boursorama ne saurait être tenu responsable d'une décision d'investissement ou de désinvestissement sur la base de cet article.
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