
Les «anges des affaires» interviennent généralement pour aider l'entreprise à sa naissance, lors de la phase d'amorçage, au moment ou les banques et les fonds de capital-risque sont encore trop frileux pour investir dans le projet. (© Shutterstock)
Financer une start-up en direct, c'est une aventure humaine et la promesse de toucher des gains élevés. Voici les précautions à prendre pour limiter les risques.
Ils ont ça dans le sang. En retraite ou encore en activité, passionnés par l’entreprenariat, bourrés de compétences, ils se sont mis en tête d’accompagner de jeunes entrepreneurs.
On les appelle les investisseurs providentiels ou «business angels». Si l’aventure est surtout humaine, comme le rapportent la plupart d’entre eux, elle est aussi financière. S’embarquer dans un projet d’entreprise exige aussi de prendre des risques.
Les business angels interviennent généralement dès la naissance de l’entreprise, lors de la phase dite d’amorçage, lors des tout premiers tours de table. Alors que les banquiers ne font guère crédit aux sociétés en gestation et que les capitaux apportés par les amis et la famille du créateur d’entreprise au moment de la love money sont souvent insuffisants pour espérer décoller, les business angels interviennent pour financer et aider l’entreprise.
À partir de 10.000 eurosPour devenir business angel, il faut donc aimer prendre des risques. Certes, le ticket d’entrée au capital d’une start-up commence à 10.000 euros, selon France Angels, la fédération nationale des business angels. Mais les montants placés par ces investisseurs dans les sociétés non cotées sont souvent bien supérieurs. Et le jeu en vaut la chandelle. Les perspectives de rendement du capital investissement sont historiquement supérieures à celles des marchés d'actions, selon le
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