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Un Montpelliérain obligé de payer les impôts de son homonyme depuis 2006
information fournie par Boursorama avec Newsgene 26/08/2021 à 14:19

L'octogénaire a averti à plusieurs reprises le service des impôts ; en vain. (Pixabay / Robert-Owen-Wahl)

L'octogénaire a averti à plusieurs reprises le service des impôts ; en vain. (Pixabay / Robert-Owen-Wahl)

Depuis quinze ans, un habitant de Montpellier paye les impôts d'un autre homme, portant le même nom et prénom. Malgré les nombreuses démarches pour venir à bout du problème, le problème persiste.

Son calvaire dure depuis 2006. Depuis cette date, Francis Lopez, un Montpelliérain de 83 ans, est victime d'homonymie, rapporte RMC . En effet, au moment de la déclaration de revenus, l’organisme de retraite AG2R se trompe de Francis Lopez. Il attribue au Montpelliérain les revenus d'un autre.

Né le même jour au même endroit

L'autre Francis Lopez, justement, est né le 6 octobre 1938 à Oran... tout comme l'Héraultais. Leurs numéros de sécurité sociale sont quasiment identiques à l'exception des trois derniers chiffres.

« J’ai commencé à avoir des problèmes en 2006 et aujourd’hui c’est moi qui paye ses impôts. L’ennui c’est que si rien ne se passe je serai prélevé sur les années prochaines s’ils font toujours la sourde oreille, s’ils ne veulent pas régler cette affaire », déplore l'octogénaire.

Le problème bientôt réglé ?

Avant que le prélèvement à la source soit mis en place, Francis Lopez déduisait de ses revenus les sommes perçues par son homonyme. Mais la technique s'avère aujourd'hui compliquée. Le malheureux a déjà dû s'acquitter de 700 euros d'impôts pour des sommes qu'il n'a jamais touchées.

L'homme a tenté de joindre par téléphone le service compétent chez AG2R. En vain. Il a également averti à plusieurs reprises le service des impôts. Mais le problème persiste. Contactés par nos confrères, la Direction générale des finances publiques et l'organisme de retraite ont assuré qu'une solution serait trouvée dans les prochains jours.

6 commentaires

  • 26 août 15:46

    en tout cas sans la presse personne ne se presse et le fonctionnaire continue sa sieste pendant que la victime peste .


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