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Panier anti-inflation : la composition du dispositif prévu par le gouvernement se précise
information fournie par Boursorama avec Newsgene 09/02/2023 à 12:49

Dans ce panier, devraient figurer cinq fruits et légumes, deux féculents, de la viande, du poisson ou encore des produits d'hygiène dentaire.  (Tumisu / Pixabay)

Dans ce panier, devraient figurer cinq fruits et légumes, deux féculents, de la viande, du poisson ou encore des produits d'hygiène dentaire.  (Tumisu / Pixabay)

Face à la période inflationniste actuelle, le gouvernement a décidé de mettre en place un panier anti-inflation concernant une cinquantaine de produits vendus dans la grande distribution. L'idée est de fournir une base aux consommateurs afin de suivre l'évolution des prix, mais le cadre paraît trop souple pour permettre une véritable comparaison.

Un panier anti-inflation va être instauré par le gouvernement dans l'objectif de fournir des repères aux consommateurs. L'idée est que les distributeurs puissent piocher dans une liste d'une cinquantaine de produits classés en cinq grandes familles - hygiène, propreté, épicerie, surgelé et frais - pour constituer un panier affichant le « meilleur rapport qualité-prix » de l'enseigne, rapportent nos confrères du Parisien .

« Ce n’est pas un panier au rabais avec des produits vendus à prix cassés. C’est un panier de qualité, avec un intérêt aussi pour la santé, que le distributeur souhaite mettre en avant en respectant un cadre et une transparence » , a assuré le cabinet d’Olivia Grégoire, la ministre déléguée aux petites et moyennes entreprises. Dans cette liste, devraient figurer cinq fruits et légumes, deux féculents, de la viande, du poisson ou encore des produits d'hygiène dentaire.

Des produits différents d'une enseigne à l'autre

En revanche, aucun prix ne sera imposé aux distributeurs comme cela avait été évoqué dans un premier temps. « Dans ce contexte très mouvant, les consommateurs ont besoin de repères. De pouvoir comparer leurs produits du quotidien quand ils font leurs courses » , a ajouté le cabinet de la ministre.

Problème : les produits ne seront pas les mêmes d'une enseigne à l'autre. Ainsi, la comparaison pourra s'avérer pour le moins délicate. De plus, pour l'heure, seuls deux distributeurs, Système U et Lidl, ont accepté de rejoindre le projet, tandis que d'autres sont plus réticents.

2 commentaires

  • 09 février 13:28

    Il va falloir arrêter un jour d'assister les Français ....


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