Aller au contenu principal Activer le contraste adaptéDésactiver le contraste adapté
Plus de 40 000 produits accessibles à 0€ de frais de courtage
Découvrir Boursomarkets
Fermer

Immobilier : 5 chiffres pour comprendre la crise du logement
information fournie par Le Revenu 15/06/2023 à 10:15

Les transactions en baisse de 15% sur un an. (© DR)

Les transactions en baisse de 15% sur un an. (© DR)

Le premier semestre 2023 se termine. C'est l’occasion pour la Fnaim de réaliser un bilan du marché immobilier alors que les mauvaises nouvelles continuent de pleuvoir sur les acheteurs et les vendeurs. Résumé en quelques chiffres.

950.000 transactions

C’est le nombre de transactions envisagées cette année par la Fnaim. Un chiffre en baisse de 15% en un an, qui confirme le ralentissement du marché. C’est «la plus forte baisse depuis 1990», selon la Fnaim.

Au printemps, la baisse des transactions sur douze mois glissants (mars 2023 /mars 2022) épargnait six départements (Rhône-Alpes, Puy-de-Dôme, Haute-Loire, Lozère, Haute-Marne et Alpes-Maritimes) tandis que tous les autres voyaient le niveau des ventes diminuer.

Année 1990

Cette année-là, le nombre de transactions était descendu à 508.000 (contre 577.000 un an avant), soit une baisse de 11,95%. Et en 2008, il avait chuté de 14,51% passant de 689.000 à 589.000 ventes en un an.

Avec une probable baisse de 15%, 2023 sera l’année où la baisse sera la plus importante, mais les transactions restent néanmoins encore élevées et ce, malgré les freins qui s’accumulent.

-5% de baisse des prix

Ce ralentissement des transactions s’accompagnerait d’une baisse des prix de -5% sur l’ensemble de l’année 2023 et même de 10% en tenant compte de l’inflation. A la fin du premier semestre, les prix sont pourtant encore en hausse de +2,9%, contre +6,3% il y a un an.

L’impact sur les prix toucherait tout le pays à l’exception des stations de montagne et des bords de mer, qui verraient les prix augmenter sur un an de +0,6%. Un dynamisme qui s’explique par

Lire la suite sur LeRevenu.com

3 commentaires

  • 15 juin 15:41

    adnstep, donc selon vous, le marché immobilier serait le seul don les prix ne chutent pas quand la demande baisse fortement (pas faute de volonté, certes, mais faute de solvabilité) ? C'est une fable, largement répandue par les acteurs du marché, mais c'est une fable.


Signaler le commentaire

Fermer