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SICAV et FCP : Feu vert pour les minières...

13 févr. 2014 12:02

Depuis le temps espérons que ce démarrage soit le bon!

8 réponses

  • 14 février 2014 01:34

    effectivement on est à près de 15% depuis qques semaines..


  • 15 février 2014 09:01

    Hé hé ...c'est parti, l'or a changé de camps, tout le monde va s'y mettre, cela risque de booster.


  • 15 février 2014 12:22

    Disons que les "gros" ont joué à faire baisser le gold au max alors qu'ils n'avaient pas du tout les quantités physiques en face de ce qui s'échange en papier..
    Ajoutons que certains incultes pensaient que le départ de bernanke allait avoir pour conséquence la fin de l'imprimerie infinie à la fed, et donc si le dollar retrouvait des couleurs, ça se ferait au détriment du gold..
    Sauf que yellen etait déjà vice présidente et a cautionné les méthodes de son prédécesseur.. et elle a bien confirmé cette semaine qu'elle ne couperait pas le robinet... tout simplement parce qu'elle ne peut pas, le systeme est plus que dépendant..
    Alors forcément après avoir fait baisser le gold au maximum les gros (JPM en tete) le font repartir dans l'autre sens.. en s'appuyant sur des news comme la quantité record achetée par la chine, etc..
    La réalité est que tot ou tard ça explosera à la hausse : on ne peut pas "imprimer" d'or, il y a ce qu'on arrive à extraire et c'est très peu..

    ça me rappelle une période des années 70, on avait eu une 1ere envolée, puis les US avaient joué à le faire baisser pendant 1 an ou 2 et ensuite ce fut le décollage..


  • 17 février 2014 12:32

    Tout a fait un de ces 4 cela va très mal tourner, pour le dollar et les autres qui vont suivre...sauf celle des chinois qui va prendre sa place...elle risque d'y mettre du temps mais elle y arrivera, amha.
    En attendant l'or risque rien,au contraire...


  • 17 février 2014 13:46

    Palladium, le métal à suivre en 2014 ?
    Par Jan Skoyles - The Real Asset Co
    Publié le 17 février 2014


    Jetons un œil au plus industriel des métaux précieux, le palladium. Il est le seul des quatre métaux précieux à avoir enregistré des gains en 2013. Continuera-t-il sur sa lancée en 2014 ?

    Compte tenu des obituaires qui ont été écrits au sujet de l’or et de l’argent, on pourrait être pardonné d’avoir pensé que tous les métaux précieux ont mordu la poussière en 2013.

    Bien que je pense qu’aucun d’entre eux ne l’ait fait (s’il est une chose dont je sois certain, c’est que l’or et l’argent se préparent à une poussée vers le haut), il ne fait aucun doute qu’il existe des investisseurs qui cherchent à investir sur un métal précieux capable d’offrir une protection contre le plus monétaire de ses contemporains.

    Puis-je suggérer le palladium ? Il est bien entendu l’enfant-modèle des métaux précieux. Grâce à une industrie automobile en progrès, aux grèves des employés de sociétés minières et aux réserves Russes en déclin, il a été le seul métal précieux à enregistrer des gains en 2013, 4,4% de gains, pour être précis.

    Le palladium semble avoir été négligé dans le rapport publié par Johnson Matthey en novembre. En revanche, pour de nombreux analystes qui établissent aujourd’hui leurs prédictions pour 2014, le palladium est le métal précieux à suivre en 2014.
    L’offre est-elle suffisante ?

    En termes simples, le prix doit être le produit de la demande et de l'offre. Pour le cas du palladium, la demande n’avait rien de spectaculaire en 2013 (j’y reviendrai plus tard), bien que l’offre ait été préoccupante.

    Le marché des métaux précieux a été dominé par des histoires de coûts d’extraction excédant le prix au comptant de l’or. Si le prix de l’or passait en-dessous de 1.100 dollars, il y a de fortes chances qu’il ne soit plus économique d’extraire du métal.

    Bien que le coût de production ne semble pas présenter de problème pour le palladium et le platine, certaines questions demeurent quant au déficit de l’offre et de la pression qu’il imposera sur les prix.

    Un marché sur lequel l’offre n’est pas suffisamment importante contribue à une hausse de prix.

    Le palladium devrait souffrir de déficits d’offre significatifs en 2014, bien plus encore que les autres métaux. L’an dernier, l’offre aurait été 9% inférieure à la demande annuelle.

    Dans son rapport intérimaire pour 2013, Johnson Matthey estimait que le marché du palladium enregistrerait un déficit de l’offre de 740.000 onces en 2013 contre 1,15 millions d’onces l’année précédente, ce grâce à une demande réduite de la part des ETF.

    Le déficit de l’offre sur le marché du palladium devrait perdurer, c’est pourquoi BMO Capital Markets le présente comme le meilleur investissement métal de 2014. ‘Un déficit de plusieurs années devrait en supporter le prix’.

    Comment la demande en palladium a-t-elle été satisfaite en 2013? Grâce aux inventaires de métal à la surface de la terre. Mais la pression sur ces inventaires devrait s’alourdir en 2014.

    L’an dernier, l’offre de palladium perdait 1,5% pour passer à 6,43 millions d’onces suite au déclin des réserves russes. Les réserves de l’Etat russe devraient chuter pour atteindre 100.000 onces, soit bien moins que le million d’onces enregistré en 2010. Certains analystes prévoient même que l’offre russe tombe jusqu’à zéro.

    Certaines projections pour 2014 prévoient un déficit d’un million à 1,227 million d’onces de palladium. Citigroup prévoit un déficit de 1,139 million d’onces cette année, et note que les réserves de palladium disponibles à la surface de la terre ont chuté de 36% depuis 2008.

    Mais tout n’est pas que mauvaises nouvelles. La production minière de l’Afrique du Sud devrait augmenter cette année, ainsi qu’au Zimbabwe et en Amérique du Nord.

    L’un des principaux problèmes rencontrés l’année dernière par l’industrie a été les grèves dans les plus grosses mines. L’an dernier, il ne s’est pas passé une semaine sans que l’on entende parler de grèves dans des mines de palladium et de platine.

    Avec la Russie, l'Afrique du Sud est l'un des deux plus gros producteurs de palladium du monde. Comme pour le platine, l’industrie s’inquiète de l’avenir de l’offre au vu de l’environnement du travail en Afrique du Sud.

    Ces mêmes problèmes devraient se poursuivre cette année et permettre au prix de continuer de grimper.

    Comme pour les autres métaux précieux, le recyclage contribuera à l’offre. Une partie du déficit de l’offre en palladium pourrait être palliée grâce au recyclage de catalyseurs. Johnson Matthey estime que le recyclage de palladium devrait augmenter de 7,4% pour atteindre 2,46 millions d’onces.
    La demande a-t-elle augmenté ?

    En comparaison aux autres métaux, la demande en palladium n’a pas beaucoup évolué l’an dernier.

    Le palladium est un métal essentiellement industriel connu pour son rôle dans l’industrie automobile. Selon Commerzbank, la demande de l’industrie automobile devrait atteindre 7 millions d’onces en 2014, un niveau encore jamais atteint auparavant.

    Les superpuissances globales que sont les Etats-Unis et la Chine représentent environ 40% de la production automobile mondiale. Bien que de nombreux investisseurs sur l’or et l’argent pensent que la reprise économique américaine n’est qu’une fable, certains éléments suggèrent une certaine part de reprise. Même si l’économie des Etats-Unis est guindée, sa part du marché automobile suggère une hausse de la demande en palladium.

    D’un autre côté, Johnson Matthey pense que le reste de la demande industrielle en palladium devrait chuter cette année, parce que des métaux de base sont aujourd’hui utilisés à la place du métal précieux dans les industries électronique et dentaire.

    La demande en palladium du secteur de la bijouterie a baissé en 2013. En Chine (il n’est pas beaucoup utilisé ailleurs), il aurait perdu 12,4% alors que la demande du secteur de la bijouterie passait de 240.000 à 185.000 onces en 2013.

    Qu’en est-il de la demande en investissement ? C’est après tout l’élément de la demande sur lequel nous pouvons parier. Elle était aussi en déclin l’an dernier, malgré la performance impressionnante du prix du métal. Un rapport publié en novembre 2013 par Johnson Matthey stipulait que les achats d’investissements avaient baissé sur un an.

    Il est intéressant de noter que pour un tel métal, c’est la demande en investissement qui s’avèrera être un facteur clé en 2014. Les problèmes d’offre seront compensés par le recyclage, alors que la hausse de la demande en automobile viendra contrebalancer la baisse de la demande du secteur bijoutier. La demande en investissement sera donc celle à observer de plus près.

    La demande en palladium des ETF

    Le lancement d’un nouvel ETF sur le palladium par Absa Capital, en Afrique du Sud, devrait venir faire pression sur les niveaux de prix. Le succès d’un ETF similaire sur le platine lancé l’an dernier (devenu le plus gros fonds sur le platine du monde) devrait se répéter sur le palladium à une heure où les investisseurs cherchent à s’exposer au métal plutôt qu’aux sociétés minières.

    Les ETF ne sont pas la seule manière d'investir sur le palladium, et les achats alloués sont aussi une option. Et cette dernière semble être avantageuse compte tenu des déficits attendus en 2014.


  • 17 février 2014 20:45

    Très bien pour le palladium.... Mais pour investir en Palladium physique...bonjour la galère!

    C'est quand même plus simple de trouver des pièces d'or ou des lingots...idem pour l'argent.


  • 14 mars 2014 15:58

    Il est encore temps de rentrer...les institutionnels se sont enfin decider à prendre ....l'or!


  • 15 mars 2014 19:57

    33% sur CM-CIC Or et matières 1eres (FR0007390174) depuis le 20 décembre, de 19.42 à 25.78


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