« pour repondre aux qq questions je ne suis que depuis peu avec mon amie, je dirais ça tient encore un peu "du flirt", avec chacun son chez soi, j'avoue que j'apprecie beaucoup ce côté là de la chose
apres ca a ses avantages et ses inconvenients chacun verra midi a sa porte dc pas de foyer ni de cellule familiale encore a proprement parler... »
Si je comprends bien, vous êtes pour l’instant ce que j’appelle un couple Dutronc, qui s’est caractérisé par, un enfant en période d’union libre, une vie constituée de rencontres plus ou moins longues, avec une avenir que l’on va considérer en voie de stabilisation ; si je comprends bien aussi, vous n’en êtes pas encore à fusionner vos patrimoines dans des enveloppes plus ou moins communes …
« les scpi sont une piste a creuser je crois qu'elles versent de l'ordre de 4,5% par an avant fiscalite mais je ne connais pas bien la fiscalite sur ces revenus annuels ds le cadre d’une assurance vie, »
Cela dépend un peu des secteurs, car certaines Scpi sont dites de plus-value, ce qui fait qu’elles privilégient ct aspect par rapport au rendement annuel ; dans d’autres secteurs, les bureaux, murs de magasins, etablissements de santé optent pour une régularité du rendement annuel qui est effectivement de cet ordre ; ensuite, et même si ces structures ont une obligation de faire périodiquement expertiser la valeur des biens détenus, cette valeur n’est que ponctuellement (voire rarement) prise en compte dans le calcul du rendement annuel …
Le rendement de ces parts, si souscrites en direct, vont se trouver imposées comme des revenus fonciers, revenus qui sont considérés comme distribués annuellement, et donc imposés dans l’année de perception …
Ensuite, et si on investit sur ces Scpi au travers d’un contrat AV, on va pouvoir soumettre les revenus de Scpi comme des revenus d’UC classiques, avec la faculté de ne les percevoir à un rythme qui est le vôtre (et non celui de la Scpi), tout en bénéficiant des spécificités de l’assurance-vie (présence d’un PFL de 7.5% après 8 années de détention, abattement annuel)
Enfin, et selon la Scpi concernée, ces revenus vont se trouver versés soit sous forme de liquidités sur le compariment Euros du contrat, soit réinvesties sous forme de parts additionnelles ; selon ce que vous souhaitez faire plus tard (au moment de la perception des revenus, c’est un point qui me semble important à étudier …
« y a t il un site qui permette de voir les historiques de vl des differentes scpi, afin de voir si elles ne sont pas en tres haut de cycle elles aussi ? »
Pour l’instant, je n’ai pas trouvé d’historiques comparables à ceux des Opcvm ; une solution que j’ai trouvée, c’est de souscrire quelques parts de plusieurs Scpi dans un contrat qui en propose (Linxea en ce qui me concerne), puis de suivre l’évolution de la valeur liquidative … ; j’ai aussi dans une feuille Excel, la mémorisation de la valeur annuelle estimée au 31/12 de l’ensemble des actifs immobiliers de la Scpi concernée ….
A ce jour, cela demande donc un suivi adapté et particulier …
« Les SCPI sont des produits qui se gavent de frais et pas toujours très liquides. »
C’est vrai qu’il existe des frais à de nombreux coins de rues, raison pour laquelle il faut aborder prudemment ce secteur avant de s’y renforcer …
« Il faut donc être sûr de les garder au moins 3 ou 4 ans pour en tirer un bénéfice par rapport à un bon fonds en euros. »
L’incorporation de parts de Scpi dans un contrat d’assurance vie ne se conçoit généralement que sur longue durée (objectif 10 ans, avec un risque de perte en capital lorsque l’on en sort avant …)
Mais rien n’empêche d’y investir graduellement jusqu’à 10 ou 15% d’un contrat, quitte à ce qu’en de besoin de liquidités, les rachats puissent porter sur le fonds Euros (avant ou après arbitrage d’UC financières …)
C’est toujours le même problème, il n’est pas aisé d’avoir à la fois le beurre et l’argent du beurre !