Zuckerberg, l'Américain qui s'est le plus enrichi en 2014

information fournie par Le Figaro •30/09/2014 à 15:03

EN IMAGES - Les Américains fortunés n'ont jamais été aussi riches: la fortune des 400 milliardaires a augmenté de 13 % depuis 2013 à 2290 milliards de dollars, selon le palmarès de Forbes .

Les plus riches gagnent toujours plus aux États-Unis. Les 400 Américains les plus riches se sont globalement enrichis de 13% depuis 2013 et leur fortune cumulée a atteint un niveau inédit à 2290 milliards de dollars, selon le palmarès établi par Forbes . La fortune moyenne de ces ultra-riches s'élève désormais à 5,7 milliards de dollars (4,5 milliards d'euros) contre 5 milliards en 2013 (4 milliards d'euros).

La hausse des indices boursiers américain a constitué le principal facteur d'enrichissement des grandes fortunes américaines. À commencer par Mark Zuckerberg, le milliardaire qui s'est le plus enrichi cette année grâce à l'envolée du titre Facebook. La fortune du fondateur du réseau social est passée de 15 milliards à 34 milliards de dollars en un an, selon le classement du magazine américain. Ainsi, en plus d'être l'un des plus jeunes milliardaires américains, le dirigeant du célèbre réseau social est devenu la 11e fortune américaine.

Plus globalement, les gérants de sociétés high tech sont ceux qui ont le plus gagné l'an passé. Ainsi, le fondateur et gérant de Twitter, Jack Dorsey, a plus que doublé sa fortune qui atteint désormais 2,7 milliards de dollars. De même, l'inventeur de la caméra GoPro, Nick Woodman, a lui triplé le montant de ses avoirs à 3,9 milliards de dollars, alors que le titre GoPro s'est envolé de 120% suite à son introduction en Bourse en juin dernier.

Mais malgré ces progressions, ces milliardaires ne sont pas parvenus à surpasser Bill Gates. Le fondateur de Microsoft est resté l'Américain le plus riche, pour la vingt-et-unième année consécutive! Il faut dire que la fortune de ce dernier s'est accrue de 9 milliards de dollars l'an passé et s'élève désormais à 81 milliards de dollars. Une somme colossale qui laisse encore de la marge au philanthrope pour mener ses actions caritatives.