Aller au contenu principal Activer le contraste adaptéDésactiver le contraste adapté
Plus de 40 000 produits accessibles à 0€ de frais de courtage
Découvrir Boursomarkets
Fermer

Unité nationale face à l'horreur
information fournie par Le Point 18/08/2017 à 14:40

C'est sous le slogan « Je refuse d'avoir peur » (« No tinc por ! », en catalan) que, en cette mi-journée, a lieu sur la place de Catalogne, au c?ur d'un Barcelone meurtri, le recueillement d'une foule immense pour une solennelle minute de silence : autour du roi Felipe VI, du chef du gouvernement Mariano Rajoy et du président de l'exécutif régional Carles Puigdemont, une foule considérable avait une pensée émue pour les 14 morts de la veille, fauchés par la folie meurtrière d'islamistes radicaux, comme pour les quelque 100 blessés. Cette image diffusée sur toutes les télévisions du pays se veut être un symbole d'« union sacrée » dans un pays touché par le djihadisme, 13 ans après les attentats de la gare d'Atocha, à Madrid, et ses 192 morts. Une gageure, alors même que les autorités nationales vivent une terrible confrontation avec celles de Catalogne, séparatistes, qui ont annoncé un référendum d'autodétermination pour le 1er octobre ? refusé par Madrid.

SUIVEZ notre direct sur les attentats en Espagne

Cet hommage a lieu alors que tout danger n'est pas écarté. Certes, les policiers catalans, les Mossos d'Esquadra, peuvent se targuer d'avoir interpellé deux présumés auteurs de l'attentat sur les Ramblas de Barcelone, où une fourgonnette a foncé et tué 14 personnes jeudi soir vers 17 heures, et d'avoir...

0 commentaire

Signaler le commentaire

Fermer