Aller au contenu principal Activer le contraste adaptéDésactiver le contraste adapté
Plus de 40 000 produits accessibles à 0€ de frais de courtage
Découvrir Boursomarkets
Fermer

Touraine presse Hollande d'accélérer le tempo pour 2017
information fournie par Reuters 25/09/2016 à 16:53

MARISOL TOURAINE SOUHAITE QU'HOLLANDE ACCÉLÈRE LE TEMPO EN VUE DE 2017 ET DÉFEND LE BILAN DE LA GAUCHE

MARISOL TOURAINE SOUHAITE QU'HOLLANDE ACCÉLÈRE LE TEMPO EN VUE DE 2017 ET DÉFEND LE BILAN DE LA GAUCHE

PARIS (Reuters) - La ministre de la Santé Marisol Touraine a souhaité dimanche que François Hollande accélère son engagement dans la campagne présidentielle de 2017, affirmant qu'il n'était pas homme à renoncer.

L'ancien ministre de l'Economie Emmanuel Macron, qui a quitté le gouvernement fin août pour se consacrer à son mouvement "En Marche", fait figure de rival du chef de l'Etat bien que ni l'un, ni l'autre, ne se soit encore déclaré.

Selon Le Parisien, il pourrait annoncer sa candidature "entre le 15 novembre et le 15 décembre", soit probablement avant François Hollande, qui a annoncé qu'il dévoilerait ses intentions avant décembre.

"Ceux qui parient sur le fait qu'ils vont pouvoir empêcher le président de la République de se présenter se trompent lourdement", a répliqué Marisol Touraine sur France 3.

"Je souhaite qu'il accélère", a-t-elle ajouté, tout en soulignant que "le moment de la déclaration lui appartient".

Pour Marisol Touraine, François Hollande "n'est pas homme à renoncer ou à être dissuadé" et "assumera ses responsabilités". "Il porte la responsabilité de la gauche de gouvernement, il est seul à pouvoir le faire".

La ministre de la Santé estime que "la gauche a fait le job" et se dit "en colère du procès en trahison" intenté à l'exécutif.

Le commissaire européen aux Affaires économiques Pierre Moscovici, ancien ministre de François Hollande, a dit dimanche ne pas pouvoir "imaginer" que le président de la République française "ne soit pas candidat".

"Tous ses prédécesseurs se sont représentés. Et c’est profondément logique", a-t-il dit dans le cadre du Grand rendez-vous Europe 1/Les Echos/i TELE.

"Quand vous êtes président de la République, vous avez un bilan à défendre, une vision à défendre, une personnalité à assumer. Je pense que le président de la République sortant devrait être candidat à nouveau et se battre", a-t-il ajouté.

Emmanuel Macron, qui était samedi l'invité vedette d'un colloque des "réformistes européens" organisé à Lyon par le maire de la ville, Gérard Collomb, un de ses soutiens, a raillé la fébrilité de ses détracteurs. Voir

Selon un sondage Odoxa paru le 17 septembre, l'ancien ministre apparaît aux yeux des Français comme le meilleur candidat pour représenter la gauche à la présidentielle.

Il est toutefois devancé par Jean-Luc Mélenchon, candidat de "la France insoumise", et l'actuel chef de l'Etat par les seuls sympahisants de gauche.

(Gérard Bon)

1 commentaire

  • 25 septembre 19:04

    Quinquennat le plus sanglant de la 5eme, 600 000 chômeurs de plus qu'en 2012 , la dette à 100% du PIB ; tout va très bien madame la marquise tout va très bien. les français ponctionnés de 45 milliards de taxes et d’impôts de plus en 5 ans , mais à part ça .......


Signaler le commentaire

Fermer