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Présidentielle: le dégagisme, et après?
information fournie par Le Point 24/04/2017 à 08:25

« Big bang », « saut dans le vide » ( Les Échos ) ou encore « séisme » ( La Croix ) : dans la presse de lundi, les éditorialistes cherchent à décrire la déflagration du premier tour de cette élection présidentielle, ce « double 21 avril » qui laisse le PS à terre et « la droite K.-0. ». Sous ce titre, le directeur de la rédaction du Figaro , Alexis Brézet, ne cache pas sa sidération : « Ainsi donc, l'imperdable a été perdu. L'impensable s'est imposé. L'impossible est advenu. La droite, qui pendant cinq ans aura étrillé les socialistes dans tous les scrutins, la droite, dont les idées et les valeurs n'ont jamais été aussi majoritaires dans les profondeurs du pays, cette droite à qui la victoire ne pouvait pas échapper a été, hier, sèchement éliminée. Alors que le désir d'alternance, après un quinquennat unanimement jugé calamiteux, n'a jamais été aussi puissant, elle ne sera pas, pour la première fois de son histoire, représentée au second tour de l'élection présidentielle », écrit-il.

Impensable, vraiment ? Pas selon François Ernenwein qui juge dans La Croix les effets du premier tour « prévisibles ». Reste que « l'élimination des candidats des deux grands partis de gouvernement qui ont structuré la vie politique française depuis soixante ans » est bel et bien « un séisme dont les répliques seront durables ». Même constat de la part de Nicolas...

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