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Nicolas Sarkozy victorieux, mais sous surveillance
information fournie par Le Point 30/11/2014 à 10:02

Sans surprise, Nicolas Sarkozy a été élu samedi à la tête de l'UMP. Selon les résultats officiels publiés vers 20 h 15, l'ancien chef de l'État a été élu avec 64,5 % des suffrages exprimés contre 29,18 % pour Bruno Le Maire et 6,32 % pour Hervé Mariton. Sarkozy connaît bien la maison : le 28 novembre 2004, il avait déjà été élu patron du parti et avait organisé une triomphale cérémonie de sacre lors d'un meeting au Bourget, en Seine-Saint-Denis. Dix ans plus tard, la maison n'est plus aussi florissante : avec 70 millions d'euros de dettes et menacée par l'affaire Bygmalion, l'UMP est aussi sérieusement concurrencée par le FN de Marine Le Pen. Quant à Nicolas Sarkozy, il rassemble moins les militants qu'en 2004, lorsqu'il avait réuni 85 % des suffrages exprimés. L'appareil : l'arme capitaleAvec son score de 64,5 % des suffrages exprimés et 100 159 voix, l'ancien chef de l'État réalise un score moins élevé qu'attendu. "C'est un score exceptionnel. Les militants ont fait un choix clair, net et décisif", s'est tout de même réjoui Brice Hortefeux, son fidèle ami. Il faut dire que Sarkozy sauvegarde l'essentiel : il pourra entamer une réforme du parti comme annoncé et se mettre en marche vers la présidentielle de 2017. Pour cela, il compte mettre au tapis ses rivaux Alain Juppé, François Fillon, Bruno Le Maire et Xavier Bertrand. Dans cette bataille, il détient une arme capitale qui est celle de l'appareil : présider un parti, c'est...

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